Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Il n'y a pas qu'une fille


Par : AkwaDoodl
Genre : Sentimental, Réaliste
Statut : Abandonnée



Chapitre 2


Publié le 31/10/2011 à 20:17:59 par AkwaDoodl

Ils partirent et moi Je pris ma veste et sortis avec Vénus au bout de la laisse.
Vénus est un labrador beige âgé d’un an.
Elle a de l’énergie à revendre, super
je vais passer la soirée à courir derrière les chats du quartier
(bien de pas avoir éduqué son chien ? )

Finalement non, elle avait du sentir mon chagrin car elle se tenait tranquillement près de moi.

Il faisait nuit et froid, mais je m’en foutais.
Les rues étaient illuminées par de belles guirlandes qui clignotaient, les vitrines étaient décorées de neige, de rennes ou encore de père-noëls.

Je commençais à sentir le froid et me à me rendre compte que j’étais arrivé au centre ville

Je vais prendre le tram, me dis-je

Je m’assois à l’arrêt, des bruits de bouteilles et de rires s’approchent de moi

C’étaient 3 gars d’une quarantaine d’années qui avaient certainement abusé du vin chaud

Ivrogne 1 : Ouhouhou, regardez le zoli ptit chaton, coucou le clébard.

Je croyais qu’il prenait Venus pour un chaton, mais je pense qu’il parlait de moi finalement

Venus commença à grogner alors qu’un des mecs approchait sa main.
Je n’avais pas vraiment peur puisqu’ils étaient bourrés et semblaient amicaux et la présence de Venus me rassurait.
En plus physiquement je suis plutôt en forme
(c’est grâce à la natation et au karaté).
Moi : attention, elle mord dis-je pour les effrayer.

Ivrogne 2 : Moa aussi hic... je mords hihihi.



Ivrogne 1 : calm toi le cleps… on veux juste voir tes dents.

Moi : P*ta** laissez-la tranquille merde, je me venais de me lever du banc et me mit entre Venus et ces types.

Moi : Bon dégagez !

Ivrogne 3 : eh ! Calm toa mon hic… mon garçon.

Vénus devenait nerveuse, elle aboyait, si le tram n’arrivait pas rapidement, je finirai la nuit au poste parce que l’un d’eux allait passer sous les puissantes mâchoires de mon labrador.

Je ne dois surtout pas lâcher la laisse me dis-je.

Un bruit de ferraille se fit entendre, puis des phares éblouissant s’approchaient.
C’est le tram !
Eux aussi se retournèrent, je montai rapidement avec Vénus.

En théorie, je n’avais pas le droit de voyager avec Venus de plus je n’avais pas de tickets mais vu l’heure personne n'allait me contrôler.

Je m’assis et demanda à Venus de s’asseoir devant moi, ce qu’elle ne fit pas évidemment

Elle vagabondait jusqu’ou la laisse la laissait aller.
Il commençait à être tard (22h35), Venus s’assit tout à coup dans l’allée et remuer la queue nerveusement, elle grognait.

Je me retourne pour voir ce qui la met dans cet état et constate que deux des ivrognes sont là aussi.

Moi : du calme Vénus chuchotais-je pour pas qu’ils viennent par ici.

Le tram s’arrête et une superbe jeune fille d’environ mon âge, avec de beaux cheveux noirs légèrement ondulés vint s’asseoir sur la banquette opposée à la mienne.
Elle a un nez fin tout comme sa bouche et de magnifiques yeux noisettes.
En bref elle a un très jolie minois

Elle : Excuse moi, tu sais à quel arrêt je dois descendre pour arriver à la place Noire ?

Moi : Faut que tu descendes à Mauldrie.

Elle : merci ! Il est beau ton chien, il s’appelle comment ?

Moi : c’est une chienne, elle s’appelle Venus.

Elle : tu as le droit de voyager avec ?

Elle ne peut pas se taire à la fin, d’autres passagers levèrent les yeux dans ma direction attendant surement une explication
.
Moi : Non ! Dis-je tout simplement.

Elle : je m’appelle Ambre, et toi ?

A chacune de ses questions elle affichait un sourire si innocent et si envoutant qu’il était impossible de ne pas lui répondre.
Un sourire de sa part et ma peine ainsi que ma colère disparaissaient.

Moi : Alexandre, enfin Alex quoi
.
A ce moment les deux poivrots qui avaient entendu que je voyagé sans avoir d’autorisation s’approchèrent :

Ivrogne 1 : Nan mais quesque c’est que ça dit-il en s’approchant de Venus.

Ivrogne 2 : M’sieur faut j’ter vote chien sivouplez.

Qu’est ce qu’ils ont avec ma pauvre Venus sérieux.
Et les autres voyageurs qui me laissent me demerder sans rien dire

Pour éviter tout problème (après tout j’étais pas du tout en règle) je descendit à l’arrêt suivant (Mauldrie) avec Ambre.

Ambre : Pourquoi tu fais toujours cette tête d’enterrement ? Tu n’attireras jamais une fille comme ça, crois moi. Dit-elle toujours en souriant.

Moi : ça m’est égal.

Ambre : je suis sur que non.
Ce n’est pas parce que tu t’es fais rembarrer une fois qu’il faut abandonner.

Moi je te trouve plutôt mignon même avec ton visage triste.

Moi : Merci, bon tu vas où comme ça ?

Ambre : A la place Noire, chez une amie
.
Moi : à cette heure-ci ?

Ambre : Oui. Et toi tu vas où ?

Moi : Je rentre chez moi.

Ambre : tu rigole ? C’est vendredi soir viens avec moi, mon amie fait une soirée.

Moi : Je peux pas, en plus j’ai Venus avec moi.

Ambre : elle a un grand jardin.
Qui sait peut-être rencontrera-tu la fille de tes rêves là-bas.

Avec elle tout ce qu’elle disait semblait être une plaisanterie, mais finalement je pense qu’elle était sérieuse dans ses propos.
Cette fille n’était vraiment pas comme les autres.
Quels genres de personnes allais-je rencontrer à cette soirée ?

Moi : Finalement, je veux bien venir avec toi.

Ambre : Genial !!!

Incroyable cette fille avait vraiment réussie à me remonter le moral, je commençais à l’apprécier et enfin à oublier Pauline


Commentaires

Aucun commentaire pour ce chapitre.