The Ax
Par : kosmos
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Highway to hell
Publié le 08/10/11 à 16:21:05 par kosmos
« Allez, au rétablissement de notre Maxwell ! »
Il s'était bien tordu la cheville le Maxwell !
'Faut dire qu'une chute de 4 mètre sans blessure, c'est rare. Le pauvre. Depuis le temps que Madison le tannais pour repeindre la grange et, le jour il le fait, PAF, il tombe. Il a jamais trop eut de chance aussi...
« Et sinon, Tim, toujours pas de copine ? me demanda-t-il.
- Eh non. Et c'est pas faute de chercher. Apparemment, toutes les belles filles sont prises !
- Tu dis ça pour me faire plaisir, dit Madison en commençant à rigoler.
- Je ne pensais pas spécialement à toi ! m'exclamais-je. Mais si ça peut te faire plaisir, on va dire que oui !
- Merci. Bon, mettons-nous à table, tu n'as pas fait de chili con carne pour rien quand même !!!»
Et nous nous mîmes à table. D'abord, nous mangeâmes l'entrée qu'avait faite Maxwell. C'était une sorte de salade de tomate avec des oignons. Je n'aime pas les oignons... Mais j'ai quand même mangé. Ensuite, ce fut le tour de mon chili. Tout est parti. J'étais très content, n'étant pas un cuisinier très brillant. Ensuite, tout a commencé...
Certaines histoires d'amour commencent avec un peut de sucre. On va voir son ou sa voisin/voisine et on lui demande du sucre car « on en a plus ». Et ainsi de suite... Nous, ce n'est pas une histoire d'amour qui a commencé avec du sucre. Bien au contraire.
Madisson avait faire une salade de fruit. Depuis que je suis jeune, chez mes parents, je mangeais des fruits tout le temps. Fils d'agriculteur, difficile de faire autrement. Mais cela ne me dérangeait guère. Aujourd'hui encore, j'en mange très souvent. Alors cette salade de fruit ne pouvait que me réjouir. Elle avait l'air bonne. Dommage... Juste après l'avoir goutée, Maxwell critiqua Madisson :
« Mad ! C'est quoi cette salade de fruit ?! Elle est hyper amère !
- Mais non, ça doit être toi qui ...
- Non, c'est réellement amère. Demande à Tim !
- Attends, je goûte. »
Effectivement, c'était amère... Il devait y avoir trop de citron. Madisson décida d'aller chercher du sucre chez le voisin, car elle n'en avait plus. Réellement plus.
« Attend Mad'. On a qu'à y aller tous ensemble, après on va se balader et on mange ta salade de fruit après. Ça nous fera voir du pays, proposais-je.
- Ouai, bonne idée ça nous rafraichira, il fait vraiment chaud ici. Max, tu pourras marcher ?
- Non, j'ai vraiment mal, allez-y vous deux ! Mais ne faites pas de bêtises !
- Max ! T'as quel âge ?! demandais-je.»
Max avait vraiment le chic pour sortir des trucs pervers. Parfois c'était drôle, mais à la longue ça devenait vraiment lourd. Nous sortîmes donc, Madisson et moi. Il faisait encore assez chaud dehors. Il faut dire qu'on a expédié notre repas : j'étais arrivé à huit heures, et il était huit heures et demie ! Nous marchâmes quelques minutes en silence. Madisson sortît une cigarette, mais se rendît compte qu'elle n'avait pas de briquet.
« T'as du feu ? me demanda-t-elle.
- Non, j'ai oublié mon briquet chez moi, je pensais que toi ou Maxwell en aurait un.
- Mais je n'avais pas prévu de sortir... Je l'ai laissé sur la commode dans l'entrée.
- On en demandera à ton voisin dans ce cas ! »
Et nous continuâmes de marcher. Au bout de la rue, deux enfants jouaient encore au foot. On est passé devant eux, mais ils n'ont pas daignés nous remarquer, tant ils étaient absorbés par leur jeu.
« Ce sont les fils de monsieur et madame Smith. De vrais fanas du foot ! Leurs chambres sont décorées de posters, de maillots et d’écharpes de foot. C'est incroyable ! »
Enfin, nous arrivâmes devant chez le voisin de Madisson et Maxwell. La lumière était allumée. En haut, on voyait une ombre.
« C’est bon, il est là ! déclara Madisson.
- Dans ce cas ... sonnons ! »
Ce que nous fîmmes. Une seconde après avoir sonné, je vis l’ombre se retourner, regarder par la fenêtre, puis descendre les escaliers en courant. Je l’entendis aussi. Mais personne ne nous ouvris la porte.
« Mais il fait quoi ?!
- Je ne sais pas. On pourrait aller faire le tour par l'arrière ?
- Bonne idée ! »
Ce n'était pas une bonne idée. Pas du tout...
Il s'était bien tordu la cheville le Maxwell !
'Faut dire qu'une chute de 4 mètre sans blessure, c'est rare. Le pauvre. Depuis le temps que Madison le tannais pour repeindre la grange et, le jour il le fait, PAF, il tombe. Il a jamais trop eut de chance aussi...
« Et sinon, Tim, toujours pas de copine ? me demanda-t-il.
- Eh non. Et c'est pas faute de chercher. Apparemment, toutes les belles filles sont prises !
- Tu dis ça pour me faire plaisir, dit Madison en commençant à rigoler.
- Je ne pensais pas spécialement à toi ! m'exclamais-je. Mais si ça peut te faire plaisir, on va dire que oui !
- Merci. Bon, mettons-nous à table, tu n'as pas fait de chili con carne pour rien quand même !!!»
Et nous nous mîmes à table. D'abord, nous mangeâmes l'entrée qu'avait faite Maxwell. C'était une sorte de salade de tomate avec des oignons. Je n'aime pas les oignons... Mais j'ai quand même mangé. Ensuite, ce fut le tour de mon chili. Tout est parti. J'étais très content, n'étant pas un cuisinier très brillant. Ensuite, tout a commencé...
Certaines histoires d'amour commencent avec un peut de sucre. On va voir son ou sa voisin/voisine et on lui demande du sucre car « on en a plus ». Et ainsi de suite... Nous, ce n'est pas une histoire d'amour qui a commencé avec du sucre. Bien au contraire.
Madisson avait faire une salade de fruit. Depuis que je suis jeune, chez mes parents, je mangeais des fruits tout le temps. Fils d'agriculteur, difficile de faire autrement. Mais cela ne me dérangeait guère. Aujourd'hui encore, j'en mange très souvent. Alors cette salade de fruit ne pouvait que me réjouir. Elle avait l'air bonne. Dommage... Juste après l'avoir goutée, Maxwell critiqua Madisson :
« Mad ! C'est quoi cette salade de fruit ?! Elle est hyper amère !
- Mais non, ça doit être toi qui ...
- Non, c'est réellement amère. Demande à Tim !
- Attends, je goûte. »
Effectivement, c'était amère... Il devait y avoir trop de citron. Madisson décida d'aller chercher du sucre chez le voisin, car elle n'en avait plus. Réellement plus.
« Attend Mad'. On a qu'à y aller tous ensemble, après on va se balader et on mange ta salade de fruit après. Ça nous fera voir du pays, proposais-je.
- Ouai, bonne idée ça nous rafraichira, il fait vraiment chaud ici. Max, tu pourras marcher ?
- Non, j'ai vraiment mal, allez-y vous deux ! Mais ne faites pas de bêtises !
- Max ! T'as quel âge ?! demandais-je.»
Max avait vraiment le chic pour sortir des trucs pervers. Parfois c'était drôle, mais à la longue ça devenait vraiment lourd. Nous sortîmes donc, Madisson et moi. Il faisait encore assez chaud dehors. Il faut dire qu'on a expédié notre repas : j'étais arrivé à huit heures, et il était huit heures et demie ! Nous marchâmes quelques minutes en silence. Madisson sortît une cigarette, mais se rendît compte qu'elle n'avait pas de briquet.
« T'as du feu ? me demanda-t-elle.
- Non, j'ai oublié mon briquet chez moi, je pensais que toi ou Maxwell en aurait un.
- Mais je n'avais pas prévu de sortir... Je l'ai laissé sur la commode dans l'entrée.
- On en demandera à ton voisin dans ce cas ! »
Et nous continuâmes de marcher. Au bout de la rue, deux enfants jouaient encore au foot. On est passé devant eux, mais ils n'ont pas daignés nous remarquer, tant ils étaient absorbés par leur jeu.
« Ce sont les fils de monsieur et madame Smith. De vrais fanas du foot ! Leurs chambres sont décorées de posters, de maillots et d’écharpes de foot. C'est incroyable ! »
Enfin, nous arrivâmes devant chez le voisin de Madisson et Maxwell. La lumière était allumée. En haut, on voyait une ombre.
« C’est bon, il est là ! déclara Madisson.
- Dans ce cas ... sonnons ! »
Ce que nous fîmmes. Une seconde après avoir sonné, je vis l’ombre se retourner, regarder par la fenêtre, puis descendre les escaliers en courant. Je l’entendis aussi. Mais personne ne nous ouvris la porte.
« Mais il fait quoi ?!
- Je ne sais pas. On pourrait aller faire le tour par l'arrière ?
- Bonne idée ! »
Ce n'était pas une bonne idée. Pas du tout...
09/10/11 à 19:58:57
Pas de panique. Mais il faut quand même un début, ça dois pas commencer d'un coup!
09/10/11 à 18:23:51
Suite. Qu'on se fasse une idée du niveau "Horreur" de ton texte
Vous devez être connecté pour poster un commentaire