Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

[Nofake] Les jours qui changent une vie.


Par : Tobimaru
Genre : Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 18


Publié le 16/11/2009 à 15:33:28 par Tobimaru

Comment définir le futur ? Une longue attente pour vous, une glande et un train de vie qui s’est accélérée pour ma part, on obtient ainsi le coktail de plusieurs mois d’attente en témoigne la parution des chapitres. :p)
Comment s’y projeter ? Reprenons une histoire, et attendez cette fameuse soirée ...

Après avoir rencontré cette si belle demoiselle, j’avais entrepris sa connaissance me rapprochant d’elle de façon à m'imaginer une idylle communne, et lier grands sentiments .. l’amour. Ou du moins, je le rêvais.

Mon « ennemi » n’était plus, Samantha m’appréciait, c’était inéluctable. Tout semblait donc en harmonie pour une avancée positive et une soirée de qualité, les chances d’être en sa compagnie étant élevées.
Le lieu de rendez-vous était le même, la cause différente : il s’agissait d’un anniversaire de mariage ou quelque chose du genre, peu m’importait de toute manière. La soirée se ferait à côté du grand jardin sur une grande table, une trentaine de personnes présentes.

Patientant perchés devant star ac avec mon meilleur pote de l’époque ( qui se fichait éperdument de cette bouse soit dit en passant.. il n’était pas kikoo comme son pote le bonhomme), je n’attendais que le signal de départ de mes parents.
19h30, pub sur tf1, le grec Nikos Aliagos l’ostrogloss disparaît, c’est le moment ! (quelle famille de kikoo, problème, ça n’a pas changé des années plus tard, m’enfin passons.)
Route habituelle, questionnements habituels, attente habituelle. Une certaine routine de ces jours particuliers où Samantha et moi nous croisions s’installait.

Cette soirée-la, le temps était à nouveau au beau fixe, le ciel dégagé enivré par le soleil couchant. L’herbe était fraîche, on y sentait cette odeur d'été accompagnée du bruit d’oisillons et cigales. Le genre de jours paradisiaques plutôt rares dont vous profitez agréablement. :oui:

La mémoire ne filme pas, la mémoire photographie. Pour autant, l’arrivée qui va suivre est gravée dans celle-ci comme les scènes de films que l’on se repasse en boucle sans en oublier ses détails. Ces mots, ceux que je ne réentendrais plus si souvent dans ma vie, exceptés peut-être à effets inverses. Vous vous dites « je t’aime » .. Oui mais non ! .. :non2:

Arrivés sur place avec mes parents, la table déjà bondée de monde, ornée de faibles lumières alentours pour nous éclairer la nuit étant tombée rapidement, Il fallait dire bonjour à tout ce peuple, chose détestable quand on est ado qui est de se coltiner la bise aux vieux.
J’étais gêné comme d’habitude, d’aspect plutôt timide avec les gens inconnus ou me semblant étranger. Puis j’étais anxieux, je n’avais pas repéré Samantha.. Jusqu’au moment ou nous arrivions à moitié table. Elle se trouvait en effet quelques places plus loin. Une princesse :coeur:

Revêtue de blanc, sa chevelure et son visage toujours aussi séduisant, elle était indescriptible, parfaite..:
Avant elle, Je ne puis trouver parmi ces pâles roses, une fleur qui ressemble à mon rouge idéal. Cette fois-là, celle qu'il faut à ce coeur profond comme une abîme, était présente face à mes pupilles.

Le monde s’arrêtait, et le fit une seconde fois lorsque ma mère et moi-même nous rapprochions de ce rêve. Samantha n’était pas seule, une amie se tenait en sa compagnie, et la première chose qu’elle fit à ma vu furent ces quelques mots, encore ancrés comme si ceux-ci se répétaient inlassablement encore aujourd’hui :
« Olala qu’il est beau ! »
A cet instant, je ne compris pas ce qu’il venait d’arriver, je regardai autour de moi, cherchant une autre personne. Samantha elle, me souriait en même temps. Elle se fiche de moi, c’est sur … sa copine présente, elle décidait surement de m’enfoncer…
Sa copine justement, restait de marbre. Je ne l’avais qu’à peine remarquée et de son côté, elle ne semblait pas du même goût que Samantha qu’en à ma « beauté »..
Je fis la bise et m’installa devant elles, ou une place m’était apparemment réservée. J’étais tendu, ou plutôt anxieux de me retrouver comme ça face à deux filles, aussi soudainement, suite à de telles paroles et devant la personne qui les avait prononcées..


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