Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Quand VOUS êtes un lycéen tueur


Par : LePatriarche
Genre : Action, Nawak
Statut : Terminée



Chapitre 52


Publié le 08/06/2014 à 00:17:19 par LePatriarche

La 2) :hap:


Ce mec est d'emblée injurieux, vous constatez ainsi avec effroi que votre groupe terroriste n'a pas l'air très accueillant envers les nouveaux, une honte :honte:

- Et t'es qui en fait ?
- Yé mapel Javier, yé soui oune allié dé twa
- ( Ah ok le putain d'accent, et le prénom sorti tout droit d'une télénovélas )
- Lé boss quiero faire ta rencontr dan lé plou bref délé, mi objectivo cé dé té accompagné

Cool, vous aviez tout juste l'intention de le voir. D'après Javier et les quelques mots que vous avez compris, tout les flics ont été assomés, le commissaire a été virulent en croyant faire face à l'homme à la cagoule et a réussi à opposé une résistance à Javier, pourtant sur-entrainé :(

C'est avec la tête pleine de questions que vous vous trouvez devant la villa de l'autre jour. Une odeur de mort se dégage des couloirs, puis vous descendez au sous-sol, voyant ainsi Giovanni et Gilberto faire une partie de FIFA 13, ainsi, même les dealers de grande renommée s'amusent comme ils peuvent.

- Assied toi, y'a une chaise pour toi, vous fait remarquer Giovanni à fond dans sa partie sans détourner le regard de son écran.
- Mes deux cadavres de l'autre jour ont disparu, comment que cela que ça se fait-il ?? Dites vous plein d'entrain comme un illétré sorti tout droit du Moyen Age.
- Et bien, l'Ordre Noire a eu une légère avance sur mes hommes, et se sont emparés des corps...
- Ah ok j'ai choisi le mauvais camp en fait, c'est pas comme ça qu'on trouvera la boite magique caché je ne sais où :honte:

Les trois membres présents, le boss, son bras droit autiste et Javier le segpa, ne font plus un bruit, se regardent quelques secondes, puis vous regarde avec insistance.

- Dis nous ce que tu sais, car comme me l'a fait remarqué Gilberto l'autre jour, je n'ai pas été clair avec toi, et pour que tu réalises dans quoi tu t'embarques et la noble cause que nous défendons, il nous faut avoir une discussion.
- C'est party ma gueule !

--------------

Au commissariat, c'est le gros foutoir. Durant sa courte visite, Javier s'est déchainé : la serrure de la grande porte d'entrée en bois a volé en l'air, les locaux sont ravagés, chaque policier s'est retrouvé cloué au sol par une puissance venue d'ailleurs, le commissaire, dernier homme debout, n'a pu tenir que quelques minutes, sa technique n'étant pas suffisante pour arrêter Javier.

- Le mec a la cagoule est fort, très fort... Il sera archi dure à coincer là...
- Pourtant nous devons le faire. Relevez vous, on a du boulot qui nous attend les gars
- Chef c'est pas humain, faut appeler la police à ce rythme là :snif:
- On est la police !!! S'exclama leur supérieur furibard du comportement de tafioles de ces hommes. Vous avez peur, je peux le comprendre, mais des familles innocentes craignent pour leur vies, et nous sommes les protecteurs de la justice, de l'égalité, et de toutes les valeurs démocratiques de notre société, nous sommes l'avant garde de notre pays !!
- YAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHOOOOOUUUUUUUU CHEF !!!!
- VOUS ETES LE MEILLEUR !
- Alors maintenant, relevons nous, et allons jusqu'au bout de notre travail, le plus noble qu'il soit.
- Chef, j'voulais vous signalez quelque chose : La dépouille de la surveillante, contenant des échantillons d'ADN que nous comptions analyser de plus près, a mystérieusement disparu il y a de ça quelques heures.
- Putain je mérite pas de bosser avec des bras cassés comme vous, je démissionne bande de fils de pute ! S'exclama le commissaire, laissant derrière lui badge et revolver, outré par le comportement inqualifiable de ces agents, incapable de sauver ne serait-ce qu'une personne ou d'effectuer un travail de manière juste. :nonnon:
- Mais chef, et la justice, qui la défendras, qui pourra
- Va te faire enculé, j'rentre chez moi :honte:

--------

De retour à la villa, après vos explications longues et sans détour sur votre combat epic contre une blondasse, le chef vous félicite d'avoir éliminé un "pion" adverse, et considère alors que vous êtes "quitte" :

- Et là, j'ai bousillé une salope qui s'opposait à ton gang, de quoi on est quitte ?
- Laissez un cadavre à moitié violé à la police, c'est aussi limite comme attitude non ? Et le simple fait d'avoir pris ce cadavre à la police est...
- Ouais j'avoue.

*BAAAM* Bruit d'un coup de pied violent dans le ventre. Le boss n'a pas apprécié que vous lui coupiez la parole, ce coup résonne et fait onduler votre ventre, comme si plusieurs batons de dynamites venaient d'exploser dans votre estomac, même une chute du World Trade Center ne vous aurait pas fait aussi mal :ouch:

- Oublie pas, y'a aussi la fameuse clé que tu dois chercher dans un hotel, pour faire tes preuves, et le combat à mort contre mon bras droit ce samedi.

En s'approchant doucement de votre corps, blessé, au sol, meurtri, l'homme se baisse lentement, les mains croisés, le regard se nourrissant de votre souffrance, une cruauté sans nom se dégage de ces yeux, son sourire diabolique vous pétrifie les organes vitaux. C'est donc ça sa vraie nature au fameux boss de l'Ordre Rouge ?

- Sache que tu es notre allié, mais nous ne te sommes redevable en rien. Les forts ont du courage et sont avides de pouvoir, tandis que les plus forts attendent le moment opportun afin de révéler leur courage. Deviens plus fort en maitrisant ta hargne et ton égo, c'est juste comme ça, que tu pourra vaincre un gars de notre organisation, tu es clairement en dessous de nous, alors apprend ta place. Pigé ?

- Je dois aller en cours. Je vous donne mon numéro... Allez à bientot ! :-)

Une douleur immense s'est emparé de votre bide, il vous faut connaitre le secret de leur puissance, il y a quelque chose, c'est sur, Jess, la fameuse blonde de l'autre Ordre, a signalé que " les membres du groupe reçoivent un pouvoir surhumain après leur adhésion", mais comme vous n'êtes pas encore officiellement dans le groupe, ou encore parce que vos actions ne s'y pretent pas encore, vous n'avez pas accès à cette fameuse puissance. Ils le payeront... TOUS !!

Une fois au lycée, les choses redeviennent comme avant. Patricia, la fameuse blonde, vous lance un regard froid, car oui, le fait de la jeter avec force contre une bagnole lors de votre dernière rencontre l'a refroidit, c'est sur. Arnold, la jeune victime, est assis sur un banc de la cour, mangeant son sandwich avec passion. Une idée vous vient à l'esprit :hap:


1) Lui donner 50 euros, observer sa réaction, puis les reprendre :fete:

2) Aller en boite avec lui à la sortie des cours pour le sociabiliser :cool:

3) Attendre qu'il se lève de son banc pour l'humilier en public d'une balayette maison :sournois:

4) Tenter de le caser avec Patricia, pour avoir un couple destiné à être victimisé par vos soins. :bave:


Commentaires

Aucun commentaire pour ce chapitre.