Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 12
Vie et Mort
Publié le 22/05/11 à 22:48:47 par 17XX
Le temps presse, la fenêtre de la salle de bain s'est ouverte il ne reste plus que la porte qui nous sépare de nos assaillants, c'est là que Ced', la voix tremblante, me murmure :
-Ecoute j'ai une idée, tiens nathan prends les clés, je sors en courant et en les attirants vers moi, et vous vous partez avec la caisse, je vous rejoindrais à la chapelle des Arceaux, c'est un endroit surélevé vous n'aurez qu'à m'attendre une dizaine de minutes.
-Non Cédric, il doit y'avoir une autre solution !
-Stop ! On a pas l'choix, j'men sortirais, j'étais bon à la course au lycée, j'vais les griller ces enfoirés.
Cédric se leva alors, l'arme à la main, ouvrit la porte et s'en alla en courant à travers le couloir, sans se retourner.
-Vite nathan on a pas beaucoup d'temps, prends le maximum j'vais chercher la fille !
-Ok dépêche toi !
Ma protégée n'est pas sur le lit. Elle est recroquevillée dans un coin, pleurant toutes les larmes de sont corps.
-Allez viens ! On s'en va ! T'en fais pas, ça va aller.
Elle hésite quelques secondes puis me suis, aussitôt nous courons aussi vite que possible, au loin j'entends des dizaines et des dizaines de hurlements ainsi que les tirs de Cédric, putain mais quel con, je prie pour qu'il s'en sorte...
-Vite vite vite ! Fermes la porte !
Quelques unes de ces créatures nous on reperés au bout de la rue et foncent vers nous.
-Alleeeeez roule roule !
Nathan démarra la golf et nous nous élançons dans les rues étroites de la Croix d'Argent. C'était juste, très juste...
5 minutes après nous arrivons à la Chapelle, on gare la voiture et on se positionne au sommet, pour surveiller les alentours. Mais dans une nuit noire seulement éclairée par Lune, c'est pas chose facile.
Voilà trente minutes que nous attendons. Toujours aucun signe de Cédric. Les tirs ont cessés depuis une dizaine de minutes environ...
-Nathan, dis-je d'une voix triste, il va falloir y aller...
-Noon, attends, attendons encore un peu s'il te plaît...
40 minutes...
-Allez mec, faut y'aller, dis-je en me dirigeant vers la voiture. Nathan me suivit à contre cœur, il n'y a plus d'espoirs à avoir, personne peut tenir 40 minutes dans les rues tout seul, et la nuit. C'est impossible...
Nathan démarre la voiture et je vois les Arceaux s'éloigner au fur et à mesure...
-Hééééé ! Attendez ! Hé ! Stooop !
-Arrête toi arrête toi !
-Cédric ?! Criai-je en direction de la voix. Ce n'était pas Cédric. C'était un militaire Français, couvert de plaies et l'air complètement crevé.
-Euh salut, vous voulez bien me laisser monter il faut surtout pas trainer dans le coin.
-Allez-y lui répondis-je.
-Merci beaucoup.
-Alors ? Qu'est-ce qu'il vous est arrivé euh...
-Sergent Benjamin Mouret, 82e RiMa. Mon unité et moi avons été submergé hier, dans le secteur centre de la ville, je crois que je suis le seul survivant... Je me suis réfugié dans un petit appartement ouvert mais j'ai été harcelé toute la journée par ces saloperies. J'ai tenu jusqu'à cette nuit, je sais pas ce qu'elles ont cette nuit mais elles sont enragées...
-Ouais, nous aussi on a été attaqués..., répondit Nathan. Une silence de quelques secondes s'installa.
Le sergent pris la parole d'une voix à la foix gêné et triste :
-Vous avez perdu quelqu'un ce soir, c'est ça ?
-Ouais, c'est ça.
-J'suis desolé les gars. Sachez que j'vous comprends j'ai perdu 11 de mes frères d'armes hier.
Il baissa la tête.
-Et, qu'est-ce que vous comptez faire ? Lui demandais-je.
-Aller à Paris.
-Ecoute j'ai une idée, tiens nathan prends les clés, je sors en courant et en les attirants vers moi, et vous vous partez avec la caisse, je vous rejoindrais à la chapelle des Arceaux, c'est un endroit surélevé vous n'aurez qu'à m'attendre une dizaine de minutes.
-Non Cédric, il doit y'avoir une autre solution !
-Stop ! On a pas l'choix, j'men sortirais, j'étais bon à la course au lycée, j'vais les griller ces enfoirés.
Cédric se leva alors, l'arme à la main, ouvrit la porte et s'en alla en courant à travers le couloir, sans se retourner.
-Vite nathan on a pas beaucoup d'temps, prends le maximum j'vais chercher la fille !
-Ok dépêche toi !
Ma protégée n'est pas sur le lit. Elle est recroquevillée dans un coin, pleurant toutes les larmes de sont corps.
-Allez viens ! On s'en va ! T'en fais pas, ça va aller.
Elle hésite quelques secondes puis me suis, aussitôt nous courons aussi vite que possible, au loin j'entends des dizaines et des dizaines de hurlements ainsi que les tirs de Cédric, putain mais quel con, je prie pour qu'il s'en sorte...
-Vite vite vite ! Fermes la porte !
Quelques unes de ces créatures nous on reperés au bout de la rue et foncent vers nous.
-Alleeeeez roule roule !
Nathan démarra la golf et nous nous élançons dans les rues étroites de la Croix d'Argent. C'était juste, très juste...
5 minutes après nous arrivons à la Chapelle, on gare la voiture et on se positionne au sommet, pour surveiller les alentours. Mais dans une nuit noire seulement éclairée par Lune, c'est pas chose facile.
Voilà trente minutes que nous attendons. Toujours aucun signe de Cédric. Les tirs ont cessés depuis une dizaine de minutes environ...
-Nathan, dis-je d'une voix triste, il va falloir y aller...
-Noon, attends, attendons encore un peu s'il te plaît...
40 minutes...
-Allez mec, faut y'aller, dis-je en me dirigeant vers la voiture. Nathan me suivit à contre cœur, il n'y a plus d'espoirs à avoir, personne peut tenir 40 minutes dans les rues tout seul, et la nuit. C'est impossible...
Nathan démarre la voiture et je vois les Arceaux s'éloigner au fur et à mesure...
-Hééééé ! Attendez ! Hé ! Stooop !
-Arrête toi arrête toi !
-Cédric ?! Criai-je en direction de la voix. Ce n'était pas Cédric. C'était un militaire Français, couvert de plaies et l'air complètement crevé.
-Euh salut, vous voulez bien me laisser monter il faut surtout pas trainer dans le coin.
-Allez-y lui répondis-je.
-Merci beaucoup.
-Alors ? Qu'est-ce qu'il vous est arrivé euh...
-Sergent Benjamin Mouret, 82e RiMa. Mon unité et moi avons été submergé hier, dans le secteur centre de la ville, je crois que je suis le seul survivant... Je me suis réfugié dans un petit appartement ouvert mais j'ai été harcelé toute la journée par ces saloperies. J'ai tenu jusqu'à cette nuit, je sais pas ce qu'elles ont cette nuit mais elles sont enragées...
-Ouais, nous aussi on a été attaqués..., répondit Nathan. Une silence de quelques secondes s'installa.
Le sergent pris la parole d'une voix à la foix gêné et triste :
-Vous avez perdu quelqu'un ce soir, c'est ça ?
-Ouais, c'est ça.
-J'suis desolé les gars. Sachez que j'vous comprends j'ai perdu 11 de mes frères d'armes hier.
Il baissa la tête.
-Et, qu'est-ce que vous comptez faire ? Lui demandais-je.
-Aller à Paris.
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