CHAPITRE 2
LES S.D.F


Une nuit horrible, dans un hôtel pourri, mais dans une ville magnifique, un drôle de cocktail. Elizabetha et Ray sortirent du bâtiment, respirant la bonne air de Los Angeles et elle prit un taxi seul pour aller a Santa Monica, au bureau du L.A.P.D pour y trouver un travail. La voiture roula brusquement sur les routes avec une jeune femme paniqué a bord. Seul lui trouvait sa drôle et il mit quelques coûts de freins.
-Mais vous êtes fous ! Criait-elle.
-Sa ce voit que vous n?êtes pas du coin, répondait le chauffard, amuser. Tous les taxi sont comme sa.
Il stoppa le véhicule jaune pour que la jeune femme descende et donne le montant de la course dans le bon sens du terme.
-On pourrait se revoir, un de ces jours ? Ironisa-t-il, pencher sur la porte.
-Euh?non, rougit Elizabetha, qui repartit aussitôt par sa timidité.
Un grand établissement se dressais sur son passage et une porte s?ouvrait et se fermait, avec des personnes qui sortaient et l?inverse.
A son entrer elle était émerveillé ; un grand comptoir avec derrière des femmes ressemblant a des hôtesses. A gauche, trois portes en bois cirées s?alignaient et ou il y était inscrit en lettre noir sur des plaques dorées : Détective, Police, Indépendant.
A la lecture de ces mots, un frissons la parcouru et d?un geste maladroit elle s?avança au comptoir.
-Euh?bonjour, gémit la jeune femme, je suis a la recherche d?un emploi dans le droit enfin?plutôt dans l?aide des citoyens, euh?
-Nous avons effectivement besoin de personnel, dit simplement la dame au teint pale. C?est la porte juste a coté de « Indépendant ».
-Pour ne pas vous agacé?j?aimerai avoir des renseignements a ce domaine, reprit l?italienne, gêner.
-Aller le voir, il vous donnera toutes les informations nécessaires. Merci et bonne journée.
Sans vouloir en répondre d?avantage, elle prit la porte indiqué et fit un faible signe de la main au deux hommes qui était présent. L?un assis derrière un bureau, les pieds sur l?objet et l?autre affalé sur une chaise devant le bureau. Ils la saluèrent sans bouger de leur place tendit qu?elle se tenait devant la sortie.
-Je m?appelle David, et voici Larry, dit l?homme derrière le bureau.
-Mario, Elizabetha Mario.
-Alors, comme sa vous voulez aider les autres.
-Entre autre, répondit-elle, se sera quoi mon travail ?
Il pointa du regard l?autre homme.
-Tu va aller avec Larry aider les S.D.F qui traîne la nuit dans les rues. Ces une grande responsabilité, fit-il, l?air supérieur. Tu commence ce soir, je t?appellerai, donne moi ton numéro.
En entrant dans la chambre d?hôtel, Elizabetha découvrit Ray assis sur son lit, triste et fatiguer. Elle appris que le club était pour l?instant fermer et après l?avoir consoler, la jeune femme lui raconta tous.
-Il devait être bien sous ce taxi, riait-il.
La nuit venait de tomber sur la ville et la femme, partie a pied au lieu ou ils étaient donnés rendez-vous au alentours des club de Beverly Hills.
La voilà au coté de Larry devant un des endroit les plus chauds de la ville. Pendant une bonne partie de la nuit qu?elle et l?autre s?occupaient des malheureux qui traînaient. La drogue était source principal pour 80% des S.D.F et alors ils se faisaient plus dangereux. Heureusement, elle n?avait pas eu a faire a de cas trop lourd mais bizarrement elle ne se voyait dans eux, pourtant, la jeune femme se trouvait presque dans la même situation quand elle se trouvait à San Diego. Deux hommes dont un avec une chemise violette se provoquaient a coup de torse près d?une ruelle sombre du club. Des cris commencèrent et elle accouru. Un homme était allonger a terre, la tête couverte de sang?le sien. Elizabetha demanda au gens qui se trouvaient a proximité s?ils avaient quelque chose mais personne ne sut. Elle se pencha sur le corps inerte et inspecta ; un bout de tissu violet, coincer contre le bord de son pantalon puis se rappela de la scène avec les deux personnes qui se provoquaient. Et comme un éclaire un homme a la chemise violette apparu et la jeune femme le pointa et cria :
-Ces lui !
Un gars lui sauta dessus pour le neutraliser et Larry, qui restait planter a rien faire, ne peut s?empêcher de pousser une exclamation de joie avec toutes les personnes.
Ils rentrèrent a l?établissement ou Elizabetha allait recevoir une surprise qui changerai a jamais le cour de sa vie.