La nuit du jour
Par : CARLOS-PRO_007
Genre : Action , Polar
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Chapitre 1
Publié le 13/04/11 à 21:37:20 par CARLOS-PRO_007
CHAPITRE 1
Un endroit merveilleux
Le destin peut changer une personne et seul quelques uns d’entre eux, puisant au fond de-même, qui arrive à remonter la pente. C’est le cas d’Elizabetha Mario, jeune femme de 23 ans au caractère timide et au mental d’acier. D’origine Italienne, elle avait émigrer en Amérique, plus précisément à San Diego en Californie a l’age de 6 ans. Elle et sa famille étaient pauvre et dans l’espoir de gagné assez d’argent pour survivre, Elizabetha pris la décision de prendre un billet d’avion qui allait à jamais marquer sa vie.
Sous un soleil couchant, un avion atterrissait sur une longue route fortement endommager ou, après quelques instants, les passagers, portant des valises, descendaient et admiraient les alentours avec joie en prenant des photos. Elizabetha descendit a son tour accompagner d’un jeune homme au visage doux et au cheveux doré vêtu d’un simple jeans troué qui laissait ces abdos au vu de tous le monde. La jeune femme était habillé d’une chemise rouge foncer rentrer dans un jeans légèrement serré. Ses long cheveux sombre flottaient contre le vent et ses lèvre finement dessiné, maquillé d’un rouge a lèvre, lui donnait l’air plus mature. A vrai dire, elle avait beaucoup économiser pour s’offrire ce qui était pour elle de beaux vêtements pour paraître assez correcte.
-Nous y voilà enfin, Ray, dit Elizabetha, les yeux pétillants, la ville de tout les rêves.
-Même pour un boxeur ? Demanda le garçon.
-Même pour un boxeur, confirma-t-elle.
Il s’appelait Ray Sabor, il était le meilleur ami de la jeune femme. Tous comme elle il était pauvre et voulait vivre le rêve américain. Tous ce qu’il savait faire c’était boxer. Ray était venu ici, a Los Angeles, pour tenter de décrocher un contrat dans la plus prestigieuse école de boxe.
Ils sortirent de l’aéroport et Elizabetha prit une carte du derrière de son pantalon, la déplia et la regarda avec son ami.
-Je dois aller a Santa Monica, expliqua-t-elle en regardant le papier. Mince, ces pas la porte a coté ! En plus, il est trop tard maintenant.
Ray détacha son regard pour le pointer vers un bâtiment lugubre qui ce trouvait juste en fasse.
-Un hôtel, fit-il en tapotant l’épaule de la jeune femme, on n’a cas passer la nuit ici ?
Elle approuva d’un signe de tête et tous deux passèrent la route et rentrèrent dans l’endroit.
En entrent, ils faillir faire un bond malgré ce qu’il avait déjà vue jusqu’à présent ; les pieds se posaient sur de la poussière collante et des toiles d’araignées se formaient sur les recoins. Une dame derrière un comptoir n’était guère plus propre, et cette dernière dévisageait les jeunes gens dès leur arriver. Elizabetha et Ray s’approchèrent lentement et elle dit :
-Euh…une chambre pour deux avec lit séparer s’il vous plait.
La dame ne répondit pas et attrapa une clé rouillé, emprisonné par la crasse. Puis, elle longea temps bien que mal un couloirs avec quelque porte sur les cotés dont une ou elle s’arrêta avec les jeunes. Celle-ci planta le fer dans la serrure dans un bruit sourd au fur et a mesure qu’elle tourna la poigner pour laisser les nouveaux arrivant entrer. Et la dame repartit dans un grognement incompréhensible.
-Quel accueil ! Firent les deux, jetant leur valise collé contre leur lit respectifs.
Un endroit merveilleux
Le destin peut changer une personne et seul quelques uns d’entre eux, puisant au fond de-même, qui arrive à remonter la pente. C’est le cas d’Elizabetha Mario, jeune femme de 23 ans au caractère timide et au mental d’acier. D’origine Italienne, elle avait émigrer en Amérique, plus précisément à San Diego en Californie a l’age de 6 ans. Elle et sa famille étaient pauvre et dans l’espoir de gagné assez d’argent pour survivre, Elizabetha pris la décision de prendre un billet d’avion qui allait à jamais marquer sa vie.
Sous un soleil couchant, un avion atterrissait sur une longue route fortement endommager ou, après quelques instants, les passagers, portant des valises, descendaient et admiraient les alentours avec joie en prenant des photos. Elizabetha descendit a son tour accompagner d’un jeune homme au visage doux et au cheveux doré vêtu d’un simple jeans troué qui laissait ces abdos au vu de tous le monde. La jeune femme était habillé d’une chemise rouge foncer rentrer dans un jeans légèrement serré. Ses long cheveux sombre flottaient contre le vent et ses lèvre finement dessiné, maquillé d’un rouge a lèvre, lui donnait l’air plus mature. A vrai dire, elle avait beaucoup économiser pour s’offrire ce qui était pour elle de beaux vêtements pour paraître assez correcte.
-Nous y voilà enfin, Ray, dit Elizabetha, les yeux pétillants, la ville de tout les rêves.
-Même pour un boxeur ? Demanda le garçon.
-Même pour un boxeur, confirma-t-elle.
Il s’appelait Ray Sabor, il était le meilleur ami de la jeune femme. Tous comme elle il était pauvre et voulait vivre le rêve américain. Tous ce qu’il savait faire c’était boxer. Ray était venu ici, a Los Angeles, pour tenter de décrocher un contrat dans la plus prestigieuse école de boxe.
Ils sortirent de l’aéroport et Elizabetha prit une carte du derrière de son pantalon, la déplia et la regarda avec son ami.
-Je dois aller a Santa Monica, expliqua-t-elle en regardant le papier. Mince, ces pas la porte a coté ! En plus, il est trop tard maintenant.
Ray détacha son regard pour le pointer vers un bâtiment lugubre qui ce trouvait juste en fasse.
-Un hôtel, fit-il en tapotant l’épaule de la jeune femme, on n’a cas passer la nuit ici ?
Elle approuva d’un signe de tête et tous deux passèrent la route et rentrèrent dans l’endroit.
En entrent, ils faillir faire un bond malgré ce qu’il avait déjà vue jusqu’à présent ; les pieds se posaient sur de la poussière collante et des toiles d’araignées se formaient sur les recoins. Une dame derrière un comptoir n’était guère plus propre, et cette dernière dévisageait les jeunes gens dès leur arriver. Elizabetha et Ray s’approchèrent lentement et elle dit :
-Euh…une chambre pour deux avec lit séparer s’il vous plait.
La dame ne répondit pas et attrapa une clé rouillé, emprisonné par la crasse. Puis, elle longea temps bien que mal un couloirs avec quelque porte sur les cotés dont une ou elle s’arrêta avec les jeunes. Celle-ci planta le fer dans la serrure dans un bruit sourd au fur et a mesure qu’elle tourna la poigner pour laisser les nouveaux arrivant entrer. Et la dame repartit dans un grognement incompréhensible.
-Quel accueil ! Firent les deux, jetant leur valise collé contre leur lit respectifs.
13/04/11 à 23:42:51
J'apprécit ton conseil très bien détaillé du problème ( j'espère qu'il y aura d'autres coms :) )
Cela ne fait pas 1 ans que j'écrit donc j'ai encore beaucoup a apprendre. Après pour les fautes j'essaye de faire au mieux possible
Mais je vais suivre ton conseil en te remerciant d'avoir autant bien détaillé
Au plaisir d'avoir d'autre com de ta part sur la suite !
13/04/11 à 22:38:19
Houlà !!!
Premier chapitre et voilà
Des fautes , plusieurs fautes d'orthographe, de grammaire et la syntaxe est pas super
De plus, il la un jean troué....qui laisse voir ses abdos ?
Précise qu'il est torse-nu au moins
Et heu... c'est moi ou c'est pas préciser qu'entre la prise du billet et son passé y'a aucune ellipse ?
Si on suit correctement et à la lettre le texte elle à 6ans... Moyen pour prendre seule l'avion et de surcroit le billet...
Et ce Ray, précise au moins qu'il apparait
Ton chapitre pourrait prendre minimum le double de place si tu étofferais ton récit
Et tu pourrais même en faire deux chapitres distincts..
Suis mes conseils, je pense que je ne serais pas le seul à te faire la remarque sinon !
En espérant que tu te rattraperas
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