Spirit
Par : Snake-suicide
Genre : Action , Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 10
Publié le 20/12/10 à 14:24:50 par Snake-suicide
Chapitre 9 : Emprisonnement
Arthur ouvra les yeux avec peine, tout ce qui était présent autour de lui était flou, il chercha quelqu'un ou quelque chose à tâtons mais ne trouva rien d'autre qu'un étrange liquide, un liquide dans lequel il était entrain de baigner
- Y a... quelqu'un ? Articula t-il difficilement comme si il se réveillait d'un long coma
Aucune réponse... Une fois la vue pleinement rétablit, il vit qu'il était dans une sorte de cellule poisseuse digne d'un égout et que cette cellule était immergé, était il justement dans les égouts ?
- Chloé ? Marine ?
Aucune réponse encore, il regarda autour de lui et affalé sur les barreaux, il y avait quelqu'un, le jeune coursier s'en approcha, il tourna la tête de la personne vers lui, c'était Chloé
Le visage extrêmement pâle, la bouche à moitié ouverte, était elle morte ?
Arthur écouta sa respiration et remarqua que ton était normale, elle devait juste être frigorifié par la froideur de cette eau dans lequel il baignait depuis... longtemps peut-être ?
Il la réveilla en douceur, elle fut saisit d'un sursaut et cracha un peu d'eau
- Arthur... Où on est ?
- Une cellule enfin, je crois...
Il regarda autour de lui et prêta attention au détail
La cellule était assez grande, immergé dans sa quasi totalité ( l'eau arrivait au buste de Arthur ), le plafond était vouté fait avec de vieilles briques sales anciennement rouge qui avait tourné au vert/marron, les barreaux étaient rongé par la rouille et gluant, il s'étalait tout le long de la cellule, il n'y avait pas de mur ( sauf au fond ) quasiment que des barreaux
En face, il y avait un couloir, immergé lui aussi et en face il y avait encore des cellules.
- Au moins, on est en sécurité ! Enfin... Où est Marine ?
- J'en sais rien, ils l'ont emmené et ils nous ont largué ici, je ne me souviens pas de grand chose...
- J'espère qu'il ne lui ai rien arrivé de grave...
La journaliste ouvra lentement les yeux, une lumière violente l'éblouissait, elle aurait voulu placer sa main devant ses yeux pour les protéger mais quelque chose la retenait, des sangles en cuir.
Elle tourna la tête a droite et à gauche pour essayer de savoir où elle était, au paradis ? Drôle de manière d'accueillir les nouveaux
Sa vision devint plus clair et elle vit la pièce, une grande pièce d'un blanc immaculé avec au dessus d'elle un gros spot de laboratoire, elle vit aussi les différentes armoires blanche métallique contenant différents produits et des ustensiles qu'elle n'arrivait pas à discerner.
Par contre, elle vit clairement ceux à côté d'elle, un bistouri, des pinces au bout pointu étrange, un perce membrane, une sorte de burin et un sachet de compresse.
La peur commençait à l'envahir, si tout les ustensiles étaient sur une table près d'elle, c'est que c'était POUR elle et se débattre ne servirait à rien, il fallait trouver une solution intelligente et vite
Elle entendit des bruits de pas, quelqu'un se rapprochait, ce quelqu'un se pencha au dessus d'elle, habillé avec une tenue de chirurgien avec un masque et une sorte de lampe sur la tête
Il allait l'opérer et elle allait souffrir, il fallait qu'elle bouge, maintenant !
- P... Pipi...
- Pardon ? Dit l'homme avec une voix grave
- J'ai besoin... d'aller... au toilette...
L'homme éclata de rire
- J'ai besoin d'aller... Pisser ! S'emporta t-elle
- Vous ne m'aurez pas avec ce coup là !
- S'il vous plaît, je vous jure sur ma vie que j'ai envie d'aller au toilette...
L'homme s'approche de la table et ouvrit le tiroir, il prit un dossier et commença à le lire
Bon, vu la dose de sédatif que vous avez reçu...
Il posa le dossier et détacha les sangles de la jeune femme, il l'ai a se mettre assise, elle répugna qu'il la touche mais elle se sentait assez faible, trop faible pour tenter une résistance à main nue
- Merci...
Elle commença à descendre du lit du côté de la table, là où tout les ustensiles s'offrait à elle, l'homme était juste à côté, plaçant ses mains autour d'elle pour l'empêcher de tomber. Elle pouvait saisir l'un des outils et le tuer, violemment mais était elle prête à commettre un geste aussi ignoble, une simple journaliste dont la vie avait basculer... Mais il ne s'agissait plus uniquement de sa vie mais aussi de celle de Arthur et de Chloé !
D'un geste rapide, un peu maladroit elle prit le bistouri et dans un hurlement rageur, le planta dans la gorge de l'homme, un liquide chaud commença à couler sur ses doigts, l'homme ouvra la bouche pour hurler mais du sang coupa sa parole et se déversa en dehors de sa bouche, elle enfonça la lame encore plus loin avant de lâcher prise et de laisser tomber l'homme à terre qui repeignait la blancheur immaculé du sol de son sang.
Elle fouilla le corps de l'homme qui agonisait, devait elle l'achever ? Non, il était prêt à l'opérer pour une quelconque raison qui n'était pas bonne... elle prit son pass et se dirigea vers la porte de sortie, aucune caméra dans la pièce, elle pouvait encore s'en sortir discrètement mais il lui faudrait d'abord des vêtements car son seul accoutrement était une sorte de serviette en papier blanc
Elle ouvrit la porte grâce au pass, regarda une dernière fois en arrière avant de bondir vers la liberté.
Arthur ouvra les yeux avec peine, tout ce qui était présent autour de lui était flou, il chercha quelqu'un ou quelque chose à tâtons mais ne trouva rien d'autre qu'un étrange liquide, un liquide dans lequel il était entrain de baigner
- Y a... quelqu'un ? Articula t-il difficilement comme si il se réveillait d'un long coma
Aucune réponse... Une fois la vue pleinement rétablit, il vit qu'il était dans une sorte de cellule poisseuse digne d'un égout et que cette cellule était immergé, était il justement dans les égouts ?
- Chloé ? Marine ?
Aucune réponse encore, il regarda autour de lui et affalé sur les barreaux, il y avait quelqu'un, le jeune coursier s'en approcha, il tourna la tête de la personne vers lui, c'était Chloé
Le visage extrêmement pâle, la bouche à moitié ouverte, était elle morte ?
Arthur écouta sa respiration et remarqua que ton était normale, elle devait juste être frigorifié par la froideur de cette eau dans lequel il baignait depuis... longtemps peut-être ?
Il la réveilla en douceur, elle fut saisit d'un sursaut et cracha un peu d'eau
- Arthur... Où on est ?
- Une cellule enfin, je crois...
Il regarda autour de lui et prêta attention au détail
La cellule était assez grande, immergé dans sa quasi totalité ( l'eau arrivait au buste de Arthur ), le plafond était vouté fait avec de vieilles briques sales anciennement rouge qui avait tourné au vert/marron, les barreaux étaient rongé par la rouille et gluant, il s'étalait tout le long de la cellule, il n'y avait pas de mur ( sauf au fond ) quasiment que des barreaux
En face, il y avait un couloir, immergé lui aussi et en face il y avait encore des cellules.
- Au moins, on est en sécurité ! Enfin... Où est Marine ?
- J'en sais rien, ils l'ont emmené et ils nous ont largué ici, je ne me souviens pas de grand chose...
- J'espère qu'il ne lui ai rien arrivé de grave...
La journaliste ouvra lentement les yeux, une lumière violente l'éblouissait, elle aurait voulu placer sa main devant ses yeux pour les protéger mais quelque chose la retenait, des sangles en cuir.
Elle tourna la tête a droite et à gauche pour essayer de savoir où elle était, au paradis ? Drôle de manière d'accueillir les nouveaux
Sa vision devint plus clair et elle vit la pièce, une grande pièce d'un blanc immaculé avec au dessus d'elle un gros spot de laboratoire, elle vit aussi les différentes armoires blanche métallique contenant différents produits et des ustensiles qu'elle n'arrivait pas à discerner.
Par contre, elle vit clairement ceux à côté d'elle, un bistouri, des pinces au bout pointu étrange, un perce membrane, une sorte de burin et un sachet de compresse.
La peur commençait à l'envahir, si tout les ustensiles étaient sur une table près d'elle, c'est que c'était POUR elle et se débattre ne servirait à rien, il fallait trouver une solution intelligente et vite
Elle entendit des bruits de pas, quelqu'un se rapprochait, ce quelqu'un se pencha au dessus d'elle, habillé avec une tenue de chirurgien avec un masque et une sorte de lampe sur la tête
Il allait l'opérer et elle allait souffrir, il fallait qu'elle bouge, maintenant !
- P... Pipi...
- Pardon ? Dit l'homme avec une voix grave
- J'ai besoin... d'aller... au toilette...
L'homme éclata de rire
- J'ai besoin d'aller... Pisser ! S'emporta t-elle
- Vous ne m'aurez pas avec ce coup là !
- S'il vous plaît, je vous jure sur ma vie que j'ai envie d'aller au toilette...
L'homme s'approche de la table et ouvrit le tiroir, il prit un dossier et commença à le lire
Bon, vu la dose de sédatif que vous avez reçu...
Il posa le dossier et détacha les sangles de la jeune femme, il l'ai a se mettre assise, elle répugna qu'il la touche mais elle se sentait assez faible, trop faible pour tenter une résistance à main nue
- Merci...
Elle commença à descendre du lit du côté de la table, là où tout les ustensiles s'offrait à elle, l'homme était juste à côté, plaçant ses mains autour d'elle pour l'empêcher de tomber. Elle pouvait saisir l'un des outils et le tuer, violemment mais était elle prête à commettre un geste aussi ignoble, une simple journaliste dont la vie avait basculer... Mais il ne s'agissait plus uniquement de sa vie mais aussi de celle de Arthur et de Chloé !
D'un geste rapide, un peu maladroit elle prit le bistouri et dans un hurlement rageur, le planta dans la gorge de l'homme, un liquide chaud commença à couler sur ses doigts, l'homme ouvra la bouche pour hurler mais du sang coupa sa parole et se déversa en dehors de sa bouche, elle enfonça la lame encore plus loin avant de lâcher prise et de laisser tomber l'homme à terre qui repeignait la blancheur immaculé du sol de son sang.
Elle fouilla le corps de l'homme qui agonisait, devait elle l'achever ? Non, il était prêt à l'opérer pour une quelconque raison qui n'était pas bonne... elle prit son pass et se dirigea vers la porte de sortie, aucune caméra dans la pièce, elle pouvait encore s'en sortir discrètement mais il lui faudrait d'abord des vêtements car son seul accoutrement était une sorte de serviette en papier blanc
Elle ouvrit la porte grâce au pass, regarda une dernière fois en arrière avant de bondir vers la liberté.
10/01/11 à 00:37:02
NIN spotted.
16/12/10 à 18:26:16
bien construit, quelques fautes d'orthographes mais très bon texte dans l'ensemble :)
il semble que tu affectionnes les coups aux parties intimes
suite
03/12/10 à 10:28:28
Quelques fautes d'orthographe par ci par là, mais qui n'en fait pas ?
Sinon niveau construction des phrases, certaines me semblent bizarre, mais après ce n'est peut-être que moi
L'histoire est bien trouvée, et tu en fais bon usage
Suite
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