Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Conte n°1 : Où est ma femme ?


Par : NoneSadique
Genre : Horreur, Sentimental
Statut : Terminée



Chapitre 1 : Un bon départ.


Publié le 26/12/2010 à 02:54:58 par NoneSadique

Bonjour, je me prénomine Marmita MARMA, mes amis m'appellent Patrick. J'ai 34 ans depuis environ deux mois et je perds mes cheveux. J'ai une femme nommée Rita. Nous sommes mariés depuis environ trois jours.
J'écris aujourd'hui car je m'inquiète. En effet, cela fait plus de cinq minutes que ma femme est partie au marché (qui se trouve à environ 10km de notre maison) et elle n'est toujours pas rentrée. Je m'inquiète donc. Il lui est peut être arrivé quelque chose. Peut être s'est elle faite écrasée. Peut être a-t-elle jeté sa voiture du haut d'un pont. Peut être s'est elle étouffée avec un chocolat empoisonné qu'elle aurait acheté la veille à un marchand psychopate. Bref je suis totalement paniqué. Je me prépare à aller la chercher. J'arrête d'écrire pour le moment.
Voilà je suis rentré. Il s'est passé d'effroyables choses. Je suis donc sorti de la maison tout paniqué. J'ai bien sûr emporté ave moi mon fusil : on ne sait jamais qui oui quoi se terre dehors. Bien sûr ma femme a pris la seule voiture que nous possèdons. J'ai donc emprunté le vélo rose de sa soeur de 33 ans (elle vient de sortir de l'hôpital psychiatrique et nous l'hébergeons chez nous. Ma femme et moi l'avons attachée dans le grenier et nous la nourissons d'animaux qui s'égarent dans notre propriétée). Le vélo est un moyen rapide et efficace d'arriver à destination quand on n'a pas de voiture.
Arrivant en sueur au marché j'ai failli écraser un groupe de personnes. Ils me regardaient d'un air louche. Sentant le danger, je leur ait lancé le vélo. Celui-ci atteignit une femme enceinte : elle est morte sur le coups. Comme on dit : une pierre deux coups. Les autres personnes criaient. Je ne pouvais pas toutes les abattres seul. Dans un élant de panique, j'ai pris mes jambes à mon cou et je me suis enfuit dans le marché. Au milieu de gens à peu près normaux, les psychopates ne pouvaient pas me trouver. C'est alors que je l'aperçue, Rita : rayonnante comme toujours. Un peu trop même, ai-je pensé. C'est louche. Je me suis donc, comme toute personne censée, méfié. Je me suis approché d'elle, la main droite prête à dégainer mon arme si le besoin s'en faisait sentir. Rita, où plutôt le psychopate qui voulait se faire passer pour elle, se dirigea vers une allée, loin de la foule. Elle s'apprêtait alors à entrer dans un endroit louche avec un nom bizarre "A la bonne baguette". J'ai tout de suite tilté. Rita, ou plutôt le psychopate, était en fait une sorcière. Elle allait acheter une nouvelle baguette. Dans un mouvement héroïque j'ai sauté sur Rita.
J'ai commencé par lui poser quelques questions :
"Es-tu Rita ?"
Elle me répondit alors que oui. Elle avait la même voix que Rita. Le psychopate avait donc tout prémédité. Il avait même changé sa voix pour prendre celle de ma femme. Mais pour quel obsucre dessein ?
"Tu mens, répondis-je"
J'ai alors frappé Rita/le psychopate avec une force inouie, venant sûrement de la peur.
Elle s'est écroulée sur le coups.
Elle portait avec elle un gros sac qui contenait pleins de tomates, navets, salades. C'est ainsi que je compris le but final du psychopate : préparer une potion magique pour me tuer. Ou un poison qui décimerait la population en quelque jours. J'ai finalement vidé le sac. Au fond, il y avait un couteau de boucher. J'ai alors découpé Rita en plusieurs morceaux que j'ai mis dans le sac vide. Non loin, dans la ruelle, j'aperçu un vélo de Grand-Mère. Vous savez, les vélos avec une petite cagette sur le devant. Je l'ai emprunté. J'ai mis le sac sur la cagette.
Au moment de partir, une vieille dame sortit de la boutique "A la bonne baguette", tenant dans sa main une longue et grosse baguette jaune. Encore une sorcière ! Elle marmonna quelques paroles incompréhensibles visant sûrement à me tuer ou à me transformer en crapeau :
"VooOOuuS n'AvvveEz paASSss lE dRRRroiIt. JeeE vaIsSsss......"
Avant qu'elle ne finisse son incantation, j'ai tiré sur la vielle. Ouf ! Je l'avais encore échappé belle. J'ai découpé la Grand-Mère et ai mis les morceaux dans mon sac désormmais plein. Je suis rentré chez moi.
Ma femme n'y était pas et d'ailleurs, au moment où je vous écris, n'est toujours pas rentrée. J'ai bien sûr donné le contenu du sac à la soeur de Rita qui se précipita dessus et l'engloutit en quelques secondes.
J'ai certes déjoué un plan machiavélique, mais il faut encore que je retrouve ma femme.


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