Welcome in the S.A.S.
Par : BluePuma
Genre : Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 18
Assaut
Publié le 29/09/10 à 01:13:27 par BluePuma
Nous étions en route vers un point de coordonnées précis indiqué par un satellite-espion américain. Les SAS avaient carte blanche pour mener cette opération. Notre but : éradiquer ce groupe terroriste mais nous devions tout d’abord déterminer au plus vite les emplacements des bombes vu qu’il ne restait que 1h30 avant l’explosion.
Cinq Chinooks traversaient le ciel vers le camp terroriste. Une lumière rouge s’alluma alors. Un américain lança alors que la porte arrière du Chinook lui faisait penser à l’ouverture d’une barge de débarquement. Tout le monde s’esclaffa alors qu’il n’y avait rien de drôle, probablement la nervosité. Shark, Lion, Hawk et moi étions prioritaires, tous les soldats devaient nous protéger vu l’importance de notre objectif. Soudain, notre Chinook amorça sa descente pendant que le copilote arrosait le campement ennemi. La lumière tourna alors au vert.
La porte arrière s’ouvrit sur une plaine désertique entourée de hautes montagnes. Nous sortîmes rapidement. Alors que les Chinook repartaient, une roquette vint heurter le rotor arrière de l’un des hélicoptères causant son crash. Nous nous mîmes tous à tirer vers les terroristes. Soudain, mon oreillette grésilla :
- À toutes les unités au sol, veuillez rester en standby, nous allons procéder à un bombardement aérien.
- Bien reçu BravoOneAlpha, répondit Lion.
- Spartan51, nous vous mettons en contact avec les chasseurs.
- Spartan51, ici Titan-6, nous sommes en route.
- Nous attendons votre signal pour pouvoir nous déplacer.
- Fox-Three, Fox-Three, Fire!
Le souffle de la déflagration balaya le sable avec violence devant nous.
- Spartan51, vous avez le feu vert, allez-y.
- Let’s Go les gars, nous hurla alors Lion.
Nous nous mîmes en position et avancions rapidement vers le camp en flammes. Soudain, une dizaine d’hommes débouchèrent sur le côté, ils devaient probablement arriver des montagnes environnantes. Nous ouvrîmes instinctivement le feu. Nous étions en position de force. En arrivant au camp, nous remarquâmes une chose extrêmement préoccupante : il n’y avait pas beaucoup d’hommes ce qui allait à l’encontre des rapports des autorités kazakhs. C’est alors que nous entendîmes des cris provenant des sentiers montagneux débouchant sur le camp.
- Position défensive les gars ! hurla alors Lion.
- Mitrailleuses en place, répondit un américain.
Shark se tourna vers moi :
- Il va falloir trouver la tente du chef et au plus vite.
Nous avançâmes alors vers l’intérieur du camp, laissant les Marines et les SAS en position défensive, qui finissait abruptement sur une énorme crevasse. Près de cette crevasse se trouvait la tente de ce qui semblait être le chef. Soudain, trois hommes en sortirent, nous les abattîmes rapidement puis nous engouffrâmes. Un homme frappa alors Lion au visage, je lui décochai un violent coup de pied dans l’entrejambe, l’homme tomba à genoux, je l’envoyai à terre avec un coup de coude au nez.
- Alexandrov Peterescovitch je suppose, demanda alors Shark en dégainant son M9.
- Exactement, répondit l’homme.
- Où sont les bombes ?, questionna alors Hawk.
Peterescovitch éclata de rire.
- Si vous croyez que je vais vous le dire, dit-il avec son accent.
- Vous avez perdu, votre camp est détruit, tous vos « sponsors » sont capturés.
- Vous mentez, mes hommes ne sont pas tous morts et croyez-moi, le vrai « sponsor », comme vous dîtes, est loin d’être mort.
- Vos hommes sont tous morts, lança Lion.
Soudain, dans nos oreillettes, nous entendîmes un membre du SAS :
- Lion, le périmètre a été pénétré. Nous reculons pour établir une deuxième ligne défensive autour de la tente.
- Quel est le problème, questionnai-je.
- Ils sont beaucoup trop nombreux, nous ne tiendrons pas plus de deux minutes.
- BravoOneAlpha, ici Spartan51, nous avons besoin d’un appui aérien immédiat ainsi que des renforts.
- Impossible avant au moins 4 min Spartan51. Il va falloir tenir.
- Bien reçu. Terminé.
Alexandrov riait aux éclats. N’y tenant plus, Shark lui mit un coup de pied en plein dans les côtes, le terroriste s’effondra sur le côté. Lion ordonna à Hawk de sortir organiser le périmètre de sécurité. Nous nous tournâmes alors vers Alexandrov qui ne rit soudain plus.
- Je ne vous dirais rien, cracha-t-il alors.
- Ils ont tous dit ça, répondit alors Lion.
Lion et Shark commencèrent alors à le frapper. Rien n’y faisait, l’homme restait silencieux.
- Le périmètre va être brisé, hurla alors Hawk.
Je sortis alors avec Shark. Les hommes étaient entrain d’être débordé par le nombre affolant de terroristes. Nous nous mîmes à tirer mais ça ne suffisait pas, ils arrivaient toujours en nombre. C’est alors qu’un scintillement attira mon regard. Deux apaches survolaient le campement.
- On n’arrive pas trop tard ?, lâcha alors le pilote au moment où il arrosa de balles les terroristes.
- Juste à temps les gars, dis-je tout en tirant vers les ennemis qui fuyaient vers les montagnes.
Shark et moi retournâmes dans la tente. Le chef du groupe terroriste était livide. Je dégainai alors mon USP.45 et lui mis dans la bouche.
- Où sont les bombes ?
- Combien reste-t-il de temps?, parvint-il à articuler.
- 30 min, répondit Lion.
- Très bien, je vais vous dire où sont les bombes, dit-il alors.
- Pas trop tôt.
- La première se trouve à Washington, la deuxième à Londres, la troisième à Berlin. Chacune proche du Capitole, du Parlement et du Reichstag.
- BravoOneAlpha, ici Puma, vous avez entendu, foncez les désamorcer.
- Bien reçu Puma.
- Vous n’arriverez pas à les désamorcer à temps, ricana Peteroscovitch.
- Nos experts ont déjà identifié le détonateur grâce aux plans présents dans les bureaux de Movrìk.
Le chef devint blanc comme un linge. Il se jeta sur Shark qui lui mit une balle dans la poitrine, il s’effondra. Nous sortîmes rejoindre Hawk.
- Spartan51, ici BravoOneAlpha, les bombes ont été désamorcé. Félicitations.
Des exclamations de joie fusèrent dans le camp. Alors que je me tournai vers mes coéquipiers. Une balle troua le crâne de Hawk et m’éclaboussa de sang.
- Tireur embusqué, hurla alors Lion.
Je me tournai vers la corniche où se tenait l’homme et lui envoya une rafale de balle qui l’élimina.
« BravoOneAlpha, ici Spartan51, Hawk est mort. »
Cinq Chinooks traversaient le ciel vers le camp terroriste. Une lumière rouge s’alluma alors. Un américain lança alors que la porte arrière du Chinook lui faisait penser à l’ouverture d’une barge de débarquement. Tout le monde s’esclaffa alors qu’il n’y avait rien de drôle, probablement la nervosité. Shark, Lion, Hawk et moi étions prioritaires, tous les soldats devaient nous protéger vu l’importance de notre objectif. Soudain, notre Chinook amorça sa descente pendant que le copilote arrosait le campement ennemi. La lumière tourna alors au vert.
La porte arrière s’ouvrit sur une plaine désertique entourée de hautes montagnes. Nous sortîmes rapidement. Alors que les Chinook repartaient, une roquette vint heurter le rotor arrière de l’un des hélicoptères causant son crash. Nous nous mîmes tous à tirer vers les terroristes. Soudain, mon oreillette grésilla :
- À toutes les unités au sol, veuillez rester en standby, nous allons procéder à un bombardement aérien.
- Bien reçu BravoOneAlpha, répondit Lion.
- Spartan51, nous vous mettons en contact avec les chasseurs.
- Spartan51, ici Titan-6, nous sommes en route.
- Nous attendons votre signal pour pouvoir nous déplacer.
- Fox-Three, Fox-Three, Fire!
Le souffle de la déflagration balaya le sable avec violence devant nous.
- Spartan51, vous avez le feu vert, allez-y.
- Let’s Go les gars, nous hurla alors Lion.
Nous nous mîmes en position et avancions rapidement vers le camp en flammes. Soudain, une dizaine d’hommes débouchèrent sur le côté, ils devaient probablement arriver des montagnes environnantes. Nous ouvrîmes instinctivement le feu. Nous étions en position de force. En arrivant au camp, nous remarquâmes une chose extrêmement préoccupante : il n’y avait pas beaucoup d’hommes ce qui allait à l’encontre des rapports des autorités kazakhs. C’est alors que nous entendîmes des cris provenant des sentiers montagneux débouchant sur le camp.
- Position défensive les gars ! hurla alors Lion.
- Mitrailleuses en place, répondit un américain.
Shark se tourna vers moi :
- Il va falloir trouver la tente du chef et au plus vite.
Nous avançâmes alors vers l’intérieur du camp, laissant les Marines et les SAS en position défensive, qui finissait abruptement sur une énorme crevasse. Près de cette crevasse se trouvait la tente de ce qui semblait être le chef. Soudain, trois hommes en sortirent, nous les abattîmes rapidement puis nous engouffrâmes. Un homme frappa alors Lion au visage, je lui décochai un violent coup de pied dans l’entrejambe, l’homme tomba à genoux, je l’envoyai à terre avec un coup de coude au nez.
- Alexandrov Peterescovitch je suppose, demanda alors Shark en dégainant son M9.
- Exactement, répondit l’homme.
- Où sont les bombes ?, questionna alors Hawk.
Peterescovitch éclata de rire.
- Si vous croyez que je vais vous le dire, dit-il avec son accent.
- Vous avez perdu, votre camp est détruit, tous vos « sponsors » sont capturés.
- Vous mentez, mes hommes ne sont pas tous morts et croyez-moi, le vrai « sponsor », comme vous dîtes, est loin d’être mort.
- Vos hommes sont tous morts, lança Lion.
Soudain, dans nos oreillettes, nous entendîmes un membre du SAS :
- Lion, le périmètre a été pénétré. Nous reculons pour établir une deuxième ligne défensive autour de la tente.
- Quel est le problème, questionnai-je.
- Ils sont beaucoup trop nombreux, nous ne tiendrons pas plus de deux minutes.
- BravoOneAlpha, ici Spartan51, nous avons besoin d’un appui aérien immédiat ainsi que des renforts.
- Impossible avant au moins 4 min Spartan51. Il va falloir tenir.
- Bien reçu. Terminé.
Alexandrov riait aux éclats. N’y tenant plus, Shark lui mit un coup de pied en plein dans les côtes, le terroriste s’effondra sur le côté. Lion ordonna à Hawk de sortir organiser le périmètre de sécurité. Nous nous tournâmes alors vers Alexandrov qui ne rit soudain plus.
- Je ne vous dirais rien, cracha-t-il alors.
- Ils ont tous dit ça, répondit alors Lion.
Lion et Shark commencèrent alors à le frapper. Rien n’y faisait, l’homme restait silencieux.
- Le périmètre va être brisé, hurla alors Hawk.
Je sortis alors avec Shark. Les hommes étaient entrain d’être débordé par le nombre affolant de terroristes. Nous nous mîmes à tirer mais ça ne suffisait pas, ils arrivaient toujours en nombre. C’est alors qu’un scintillement attira mon regard. Deux apaches survolaient le campement.
- On n’arrive pas trop tard ?, lâcha alors le pilote au moment où il arrosa de balles les terroristes.
- Juste à temps les gars, dis-je tout en tirant vers les ennemis qui fuyaient vers les montagnes.
Shark et moi retournâmes dans la tente. Le chef du groupe terroriste était livide. Je dégainai alors mon USP.45 et lui mis dans la bouche.
- Où sont les bombes ?
- Combien reste-t-il de temps?, parvint-il à articuler.
- 30 min, répondit Lion.
- Très bien, je vais vous dire où sont les bombes, dit-il alors.
- Pas trop tôt.
- La première se trouve à Washington, la deuxième à Londres, la troisième à Berlin. Chacune proche du Capitole, du Parlement et du Reichstag.
- BravoOneAlpha, ici Puma, vous avez entendu, foncez les désamorcer.
- Bien reçu Puma.
- Vous n’arriverez pas à les désamorcer à temps, ricana Peteroscovitch.
- Nos experts ont déjà identifié le détonateur grâce aux plans présents dans les bureaux de Movrìk.
Le chef devint blanc comme un linge. Il se jeta sur Shark qui lui mit une balle dans la poitrine, il s’effondra. Nous sortîmes rejoindre Hawk.
- Spartan51, ici BravoOneAlpha, les bombes ont été désamorcé. Félicitations.
Des exclamations de joie fusèrent dans le camp. Alors que je me tournai vers mes coéquipiers. Une balle troua le crâne de Hawk et m’éclaboussa de sang.
- Tireur embusqué, hurla alors Lion.
Je me tournai vers la corniche où se tenait l’homme et lui envoya une rafale de balle qui l’élimina.
« BravoOneAlpha, ici Spartan51, Hawk est mort. »
29/09/10 à 21:03:45
Moi j'adore !! Continue !
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