Nous traversions donc la ville d'Adélaïde, qui était superbe...mes 2 acolytes me firent la présentation des monuments, des rues et de la ville en général mais je leur fit comprendre que j'en avait marre de leur tour de manége et qu'il se faisait tard. Je serais mieux au calme chez eux...

J'y suis peut etre allez fort car j'ai crut entendre " Arrogant french "(français arrogant) sortir de la bouche du père qui ronchonna de plus belle quand le feu passa au rouge.

J'ai réussi en 15 minutes: à me ridiculiser et me faire insulter. Médaille d'or!

Ils m'amenèrent ensuite vers la mer ...là je commençait à perdre patience, je leur ai donc expliquer encore une fois que je voulais me reposer et que j'avais rien a battre de leurs hotels....

Halley se retourna en rigolant et me lança d'un air jovial.
-"Not an hotel, its my house " Et il se fout de moi en plus
Donc on arrive devant une baraque énorme avec des palmiers, un accès à la plage par l'arriere de la maison. Je pense que niveau gavage, j'étais bien nourris sur ce coup là.

L'interieur était aussi grandiose et entretenu que l'exterieur...
Halley me fit la visite, son père laissa mes valises dans le hall de la "maison". Puis pendant la visite, une belle blonde aux yeux verts se dirigeait vers nous d'un pas assuré se recoiffant presque au ralentis.

-"Hey Mum!"
-"Bienvenue en Australie Marc" puis la maman d'Halley me fit de gros bisous. J'étais aux anges.

Halley à une soeur mais il m'expliqu'a que sa soeur n'était pas là car elle était interne dans une école de médecine de Sydney.

Halley me montra sa chambre.
Sa chambre devait faire à quelques choses près la taille du salon de ma maison. Elle était super spacieuse ,avec un lit enorme, une planche de surf dans un coin, un gros macbook pro, TV plasma, PS3, 360, WII...et sur le bureau...des clefs de mercedes.

Très subtilement je lui demande:
-"You have a Mercedes car????!!! "(t'as une mercedes!!)
-"Yeah, this is for my licence I've got it "(c'est pour mon permis que je l'ai eue)

Y a pas à dire les parents doivent avoir de bon "petit" métiers...

En parlant de parent, je n'ai toujours pas prévenu que j'étais bien arrivé.
-"Can I phone to my parents??"
-"shure "
Aussitôt il me tendais un telephone en souriant. Sa bienveillance me mettais mal à l'aise et je restais sur mes gardes. Bref, je me faisait un scénario digne des plus gros thriller américains.
Je saisie le combiné et composa le numéro...