Mutation
Par : Neiden
Genre : Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
Massacre
Publié le 28/03/10 à 18:07:09 par Neiden
Ma mère traversa la vitre et tomba sur une autre invitée, Madame Girgan je crois... Une femme obèse en tout cas. Si ça continuait ainsi, nous allions tous finir en casse-croûte puis en affamés. Dehors, André et le conducteur de la voiture s'était déjà relevés et, aidés par mon père et par l'envoyé de la morgue encore debout, s'évertuaient à zombifier les badauts qui furent assez stupides pour s'arrêter et regarder.
Mon regard s'est alors attardé sur l'autre envoyé de la morgue qui gisait encore, le ventre ouvert et plusieurs organes en moins. Cela me rassurait, au moins ils pouvaient mourir.
Enfin... Ma mère semblait en avoir fini avec sa victime et me regardait avec ses yeux révulsés et injectés de sang. Et sa tête explosa...
Derrière moi, l'un des invités, un prénommé Andrew et que je n'avais jamais vu de ma vie, avait réussi à dénicher le fusil de chasse de mon père, un Winchester, et avait tiré sur ma mère, lui arrachant au passage la moitié supérieure du crâne. Elle s'écroula, morte une fois de plus.
Andrew nous guida alors vers la porte arrière. Cette porte-là donnait sur le jardin qui lui-même donnait sur... bah... le reste de la ville... De l'autre côté de la maison, on pouvait encore entendre le bruit du festin des zombies, ainsi que les cris des passants...
Laissant le groupe, et ayant envie de voir l'évolution des évènements, je pris la ruelle longeant ma maison. Devant, je vis que le nombre de zombies avait passablement augmenté et que Madame Girgan essayait de passer par la fenêtre, sa forte corpulence la gênant quelque peu...
Une sirène me tira de ma contemplation. Il semblait que quelqu'un ait pensé à prévenir la police, sûrement l'ancien propriétaire de la main au sol vu que celle-ci tenait un portable. Les voitures arrivèrent, encerclèrent les zombies et les policiers en sortirent. l'un d'eux, portant un porte-voix, argua les zombies d'arrêter là leur massacre. Madame Girgan, ayant enfin réussi a passé la fenêtre, se dirigea vers l'un des policiers par derrière et le mordit au cou.
Les autres policiers, une fois remis de leur surprise, tirèrent sur la zombie. Les balles rentrèrent et ressortirent du corps comme s'ils avaient tiré dans du beurre, mais Madame Grigan, loin d'être arrêté, se rua sur un autre policier et enfonça sa main dans sa bouche.
Un mouvement de panique s'empara des policiers. Certains partirent en laissant leurs armes, d'autres vidèrent leur chargeur sur les zombies. Ceux-ci, ne semblant être gênés outre mesure, se ruèrent sur leurs proies et commencèrent un écoeurant festin.
Le premier policier tué se releva. Et tira. Sa balle passa à quelques centimètres de ma tête.
Oh p*tain! Ils savent se servir de revolver!
Tournant les talons, je partis en courant dans la ruelle, suivi de prêt par le policier zombie. Une autre balle me frôla. Me retournant, je compris pourquoi le policier visait si mal. Et, en effet, il doit être difficile de viser en ayant la tête penché de travers, la gorge à moitié arrachée. Bizarrement, nulle goutte de sang ne coulait de la blessure.
Un coup de feu, plus fort cette fois, partit. La main du policier fut arrachée. Devant moi, Andrew, la winchester à la main.
Il tira une deuxième fois et fit cette fois-ci partir le reste du cou du policier. Et mon poursuivant s'arrêta.
Empli de reconnaissance envers mon sauveur, je me tournai vers lui. Et vis le zombie qui se tenait derrière. Et vis mon père....
Mon regard s'est alors attardé sur l'autre envoyé de la morgue qui gisait encore, le ventre ouvert et plusieurs organes en moins. Cela me rassurait, au moins ils pouvaient mourir.
Enfin... Ma mère semblait en avoir fini avec sa victime et me regardait avec ses yeux révulsés et injectés de sang. Et sa tête explosa...
Derrière moi, l'un des invités, un prénommé Andrew et que je n'avais jamais vu de ma vie, avait réussi à dénicher le fusil de chasse de mon père, un Winchester, et avait tiré sur ma mère, lui arrachant au passage la moitié supérieure du crâne. Elle s'écroula, morte une fois de plus.
Andrew nous guida alors vers la porte arrière. Cette porte-là donnait sur le jardin qui lui-même donnait sur... bah... le reste de la ville... De l'autre côté de la maison, on pouvait encore entendre le bruit du festin des zombies, ainsi que les cris des passants...
Laissant le groupe, et ayant envie de voir l'évolution des évènements, je pris la ruelle longeant ma maison. Devant, je vis que le nombre de zombies avait passablement augmenté et que Madame Girgan essayait de passer par la fenêtre, sa forte corpulence la gênant quelque peu...
Une sirène me tira de ma contemplation. Il semblait que quelqu'un ait pensé à prévenir la police, sûrement l'ancien propriétaire de la main au sol vu que celle-ci tenait un portable. Les voitures arrivèrent, encerclèrent les zombies et les policiers en sortirent. l'un d'eux, portant un porte-voix, argua les zombies d'arrêter là leur massacre. Madame Girgan, ayant enfin réussi a passé la fenêtre, se dirigea vers l'un des policiers par derrière et le mordit au cou.
Les autres policiers, une fois remis de leur surprise, tirèrent sur la zombie. Les balles rentrèrent et ressortirent du corps comme s'ils avaient tiré dans du beurre, mais Madame Grigan, loin d'être arrêté, se rua sur un autre policier et enfonça sa main dans sa bouche.
Un mouvement de panique s'empara des policiers. Certains partirent en laissant leurs armes, d'autres vidèrent leur chargeur sur les zombies. Ceux-ci, ne semblant être gênés outre mesure, se ruèrent sur leurs proies et commencèrent un écoeurant festin.
Le premier policier tué se releva. Et tira. Sa balle passa à quelques centimètres de ma tête.
Oh p*tain! Ils savent se servir de revolver!
Tournant les talons, je partis en courant dans la ruelle, suivi de prêt par le policier zombie. Une autre balle me frôla. Me retournant, je compris pourquoi le policier visait si mal. Et, en effet, il doit être difficile de viser en ayant la tête penché de travers, la gorge à moitié arrachée. Bizarrement, nulle goutte de sang ne coulait de la blessure.
Un coup de feu, plus fort cette fois, partit. La main du policier fut arrachée. Devant moi, Andrew, la winchester à la main.
Il tira une deuxième fois et fit cette fois-ci partir le reste du cou du policier. Et mon poursuivant s'arrêta.
Empli de reconnaissance envers mon sauveur, je me tournai vers lui. Et vis le zombie qui se tenait derrière. Et vis mon père....
08/10/10 à 23:42:37
Sweet
14/04/10 à 18:16:35
Sweet
Par contre quelques fautes
Le passé simple a la 1er personne, c'est -ai et pas -a
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