Agents de voyage
Par : Marco84
Genre : Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Publié le 27/03/10 à 13:44:21 par Marco84
C’était l’homme du bar. Je pris ma serviette, les numéros correspondaient.
« Mais… Axel…
- L’homme que j’ai poursuivi hier, c’était lui. Il m’a demandé de t’amener à cette heure et à cet endroit, puis il est parti. »
Toujours sous le choc, nous entrâmes dans a villa. L’homme nous emmena devant la double porte, qui, je suppose, donne sur un bureau, de ministre vu la taille de la porte. L’homme ouvrit la porte et la lumière ne s’empressa pas de m’éblouir. Quand je pus enfin voir, la pièce était énormément grande. Sur les murs étaient accrochées des horloges de plusieurs villes différentes. Et sur le bureau, situé au fond de la salle, il y avait des stylos, agrafeuses, tampons, et autres papiers administratifs, je suppose. Sur une chaise, un homme, à la chevelure noire et éblouissante, portant une chemise rayée. Cet homme se leva et s’approcha de nous.
« Vous êtes à l’heure, messieurs.
- Qui êtes-vous ?
- Je suis votre futur employeur.
- Quoi ? Mais… Comment ça ? J’ai déjà un travail et il me plaît.
- Je le sais, mais vous avez le profil idéal pour devenir notre meilleur élément.
- Meilleur élément ? De quoi parlez-vous ? Je ne vous comprend pas. »
L’homme demanda à Axel de sortir, puis il se rasseya à son bureau.
« Écoutez , dit-il, tout ce que nous dirons ici est confidentiel, vous ne devrez le dire à personne.
- Euh… Oui.
- Bon, je ne vais pas passer par quatre chemin, nous connaissons le futur.
- Ah… Et en quoi cela me concerne ? Pour l’instant je sais juste que je suis dans une villa paumée de tous, devant un bureau, écoutant parler un fou qui croit connaitre le futur, QUELLE VIE !
- Vous ne me croyez pas ? Alors regardez derrière vous. »
Je me retournai, et derrière moi, au-dessus de la porte, se trouvait un panneau digital, comme un compte à rebours. Il était en marche, et il ne restait plus que trente secondes restantes.
« Dans vingt-sept secondes, il se passera quelque chose, dit l’homme, très confiant.
- Mais que va-t-il se passer ?
- Vous verrez. »
Une trentaine de secondes plus tard, i ne restait plus qu’une seule seconde avant qu’il ne se produise quelque-chose. Mais qu’allait-il se passer ? Un séisme ? Un vase qui tombe et qui se brise en mille morceaux ? Mais au moment où le compte à rebours s’arrêta…
« Mais… Axel…
- L’homme que j’ai poursuivi hier, c’était lui. Il m’a demandé de t’amener à cette heure et à cet endroit, puis il est parti. »
Toujours sous le choc, nous entrâmes dans a villa. L’homme nous emmena devant la double porte, qui, je suppose, donne sur un bureau, de ministre vu la taille de la porte. L’homme ouvrit la porte et la lumière ne s’empressa pas de m’éblouir. Quand je pus enfin voir, la pièce était énormément grande. Sur les murs étaient accrochées des horloges de plusieurs villes différentes. Et sur le bureau, situé au fond de la salle, il y avait des stylos, agrafeuses, tampons, et autres papiers administratifs, je suppose. Sur une chaise, un homme, à la chevelure noire et éblouissante, portant une chemise rayée. Cet homme se leva et s’approcha de nous.
« Vous êtes à l’heure, messieurs.
- Qui êtes-vous ?
- Je suis votre futur employeur.
- Quoi ? Mais… Comment ça ? J’ai déjà un travail et il me plaît.
- Je le sais, mais vous avez le profil idéal pour devenir notre meilleur élément.
- Meilleur élément ? De quoi parlez-vous ? Je ne vous comprend pas. »
L’homme demanda à Axel de sortir, puis il se rasseya à son bureau.
« Écoutez , dit-il, tout ce que nous dirons ici est confidentiel, vous ne devrez le dire à personne.
- Euh… Oui.
- Bon, je ne vais pas passer par quatre chemin, nous connaissons le futur.
- Ah… Et en quoi cela me concerne ? Pour l’instant je sais juste que je suis dans une villa paumée de tous, devant un bureau, écoutant parler un fou qui croit connaitre le futur, QUELLE VIE !
- Vous ne me croyez pas ? Alors regardez derrière vous. »
Je me retournai, et derrière moi, au-dessus de la porte, se trouvait un panneau digital, comme un compte à rebours. Il était en marche, et il ne restait plus que trente secondes restantes.
« Dans vingt-sept secondes, il se passera quelque chose, dit l’homme, très confiant.
- Mais que va-t-il se passer ?
- Vous verrez. »
Une trentaine de secondes plus tard, i ne restait plus qu’une seule seconde avant qu’il ne se produise quelque-chose. Mais qu’allait-il se passer ? Un séisme ? Un vase qui tombe et qui se brise en mille morceaux ? Mais au moment où le compte à rebours s’arrêta…
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