désolé pour la longue attente... j'étais occupé à jouer.... bon voilà bonne lecture !
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Je restais silencieux, j’étais mort de peur. Je ne pouvais bouger. Le moindre mouvement faisait trop de bruit à mon goût, ma propre respiration me paraissait trop bruyante. Ma sueur se mélangeait aux sangs de mes compatriotes. Tout en avançant l’abomination que j’ai libéré parla.

« - ma force en tant qu’être humain est insuffisante. Est-ce que ce corps… sans la moindre valeur… représente le cadeau que Dieu t’a offert ? »

J’avais peur, terriblement peur… je voulais bouger mais mes jambes me supportaient à peine donc les faire bouger ?

« - Pourquoi… pourquoi as-tu peur ? Je suis revenu sur terre comme tu l’as souhaité !
- mais tu n’es pas Dieu !!!
- je ne suis ni Dieu… ni humain l’arrogance de Dieu et l’ambition exacerbée des hommes ont permis ma création… c’est ainsi que je suis de retour ! Je n’ai pas oublié ton dévouement esclave ! Je sais que tu as désiré ma résurrection par-dessus tout ! »

Il leva sa main vers moi. Des larmes ruisselaient sur mes joues. Dieu… qu’ai-je donc fait ?!! Après un instant de silence sa voix revint hanter mes sens.

« - je t’envoie la grâce comme je te l’avais promis dans tes rêves !! »

Une douleur surhumaine monta de mes entrailles. Du sang commença à me sortir par les oreilles. Puis mes yeux devinrent rouges. La douleur ne diminuait pas, elle ne faisait qu’augmenter ! Ma tête me faisait horriblement souffrir. Je me mis à genoux et pris ma tête entre mes mains. La douleur montait toujours enfin je poussais un cri, un seul, cris de désespoir.

« - ne souffre plus esclave ! Ne voulais-tu pas voir mes ambitions se concrétiser ?! »

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Après avoir tué cet esclave je me retournais vers celui qui m’avait délivré.

« - je t’ai entendu, tout ces cris implorant désespérément l’aide de Dieu… »

Je lui enlevais ses chaines et le planta dans une posture qui me fit rire tellement était frappante avec leur ‘saint’ jésus.

« - …jusqu’au dernier de tes supplices, et si Dieu finissait pas t’abandonner, je prendrai possession de ton âme bannie, ainsi que de ton corps !!! »

Je sentis une douleur dans ce corps si fragile, mon bras venait de partir. Je me retournais vers ma prison. Des chaines jaillirent alors. Me transperçant de par et d’autres. Vessiel !!!

« - j’ai enfermé ton pouvoir au prix de mon corps !!! L’aurais-tu oublié Temosare ? »

Deux pierres apparurent pour m’emprisonner ! Il m’avait, moi, à sa merci, le jour de ma renaissance !!!