Le soleil allait bientôt se lever.
Je préparais mon bagage.
J' emportais en hâte mes diverses drogues et substances étonnantes.
J' avalais rapidement mon bol de champis puis descendis de ma hutte haut perchée pour prendre la route.
J' enfourchais solidement ma mule et démarra en gallot.
Mon sac était plus lourd que d' habitude, car les soumis de la reine m' avaient précédemment apportés de nombreuses drogues.
J' avais aussi une dague en souffle-acier, une épée en sombre cuivre et un manteau de discrétion en cuir des plaines qui complétait habilement ma panoplie de voleur elfe.
J' arrivais dans un village de pixies quand les champis commencèrent leur destruction de ma perception rationnelle.

(!attention!: les passage suivant sera une retranscription des pensées folles et psychotiques du héros.
Il y aura donc moult hallucinations et délires.)

Un putain de coléoptère corse commença a assiéger ma divine chevelure.
Je lui tranchait la gorge puis songeait a dévorer les excréments contenus dans ses intestins quand deux phacochères ailés vinrent me saluer.
Ils bavèrent des chenilles.
Je leur présentait mon anus pour le salut rituel.
Ils durent prendre cela pour une invitation car ils me sodomisèrent violemment.
Ceux que j' avais d' abord pris pour des pachydermes aux ailes de pigeon étaient en fait de gros pixies.
En réalité, tout les pixies étaient d' immondes tas de graisses informes car car ils mangeaient constamment des nougats aux graines de pavot.
Je me demandai comment de si frêles ailes pouvaient soutenir une telle masse.
J' interrompis les indigènes dans leur allègre labeur pour aller vaquer dans une petite hutte qui ne m' appartenait pas, puis je pris involontairement 48 pilules de GHB, plus une glande surrénale d' orc puis m' injecta du liquide séminal de chat.
Je m' évanouis.