-NOOOOOOON! ARRETE DE DIRE N'IMPORTE QUOI!

Mon père me regarde et ne dis plus rien. Fou de rage je le suis. Mes yeux sont rouges et je n'arrive pas à retenir mes larmes. Mon frère descend les escaliers et nous regarde, mon père le regard triste et moi fou furieux. Je me dirige vers la porte d'entrée et sort.
Je remonte ma rue musique à plein tube la rage en moi. Les gens me regardent bizarrement mais je m'en fou. Arrivé près de chez Julia une éternelle boule me vient au ventre mais je grimpe quand même les escaliers quatre à quatre. Je sonne.
Après une petite attente Julia m'ouvre la porte. Apparemment elle sort de la douche, ses cheveux pas tout à fait sec et une mini jupe et un t-shirt font offices de vêtement.

Elle me regarde l'air hébété mais je ne lui laisse pas le temps de parler:

-Qu'elle que soit ta maladie, même si il ne te reste peut être que quelques années à vivre je m'en fiche, je veux les passer à tes côtés. Oui Julia, je t'aime plus que tout au monde et ce depuis le premier jour où je t'ai vu. Et ça rien ni personne, pas même ta présumée maladie.

Elle me regarde la bouche entre ouverte, les yeux grands ouverts. A partir de ce moment tout s'est passé très vite.
J'ai approché mes lèvres des siennes et elle ma embrassée longuement, passionnément. Puis l'excitation est montée. Je l'ai soulevée pour la déposer sur le canapé. Tout en l'embrassant j'ai commencé à la déshabiller...