la fic sans fin
Par : hui
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 11
Publié le 23/06/09 à 16:28:19 par hui
La fic sans fin !
Partie 7.
_________________
-Bon les gars, écoutez-moi.
Ce qu'on va faire, c'est rester éveillé toute la nuit, comme ça on saura s'ils nous veulent du mal. C'est pas génial comme plan ?
-Et s'ils entrent dans la chambre pour nous tuer ?
-heu...
-Arbu, tu pourrais les faire fuir.
-Comment il pourrait faire ça ?
-En déployant son imposante musculature
-N'importe quoi...
-Qu'ouïe-je ? Le kikoo est jaloux ?
-Oui, jaloux de toi et de l'autre planche à pain.
-Insulte pas Marie-Clotilde. Elle incarne à elle seul, la plus grande beauté de la femme.
-Bon ! C'est décidé, on dort tous dans la même chambre. On verra s'ils mentent ou pas, et vous arrêtez de me les casser.
Ensemble, les trois jeunes pénétrèrent dans l'imposante mairie, puis s'approchèrent de la réception. Un homme-buisson était assis derrière un bureau de bois, sur une buche d'arbres en...bois.
-Bonsoir, que puis-je pour vous ?
-On voudrait dormir, siouplait.
-Désolé, ce n'est pas un hôtel ici.
-Si, c'est l'hôtel de ville.
-le maire a dit qu'il nous donnait un chambre.
-Attendez, je l'appelle, un instant.
Le réceptionniste quitta quelques instants son perchoir et s'approcha du mur derrière lui. Les adolescents furent stupéfiés de voir le petit homme embrasser ce mur, puis lui murmurer quelques mots. Kevin esquissa un sourire, Marie-Clotilde grimaça, et Arbu se plia de rire.
Il se calma lorsqu'une phrase résonna dans tout le bâtiment « Mr. Le maire, on a besoin de vous ». Le murmure du réceptionniste avait été intensifié et répété dans toute la mairie. Mais comment avait-il fait cela ?
-Qu'est-ce que vous venez de faire ?
-Quand ?
-Là ! A l'instant ! Vous venez d'embrasser le mur, et des phrases sont sorties.
-Vous ne connaissez pas la plantaeaco ?
-La quoi ?
-La plantaeaco, la plante résonnante, le meilleure moyen de communication de la ville.
-Plantaeaco ? Les murs sont faits en plantaeaco ?
-Oui, il suffit de murmurer pour que votre phrase soit amplifiée. Vous ne connaissez pas ?
-Bha non...
-Je sais qu'on vit dans des grottes souterraine, mais quand même.
-Oui, mais nous on viens pas d'ici.
-Pas d'ici ? Vous...vous voulez dire que vous êtes les él...
-QUI M'A APPELE ?
Le maire était apparu en haut d'un escalier, il n'avait pas l'air d'être en colère, il criait seulement pour se faire entendre.
-Moi, monsieur. Moi monsieur. Moi monsieur !
Le réceptionniste essaya d'attirer l'attention du Bibendum en agitant la main et en répétant inlassablement la même phrase. Et cela fonctionna.
-Les élus ? Qu'est-ce que vous faites ici ? Vous vous êtes arrangé pour la chambre ?
-Oui, on va tous dormir dans la même. Mais, à ce sujet...elle est où cette chambre ?
-Elle est ici, non ?
-Ici ? Ohohoh ! Diable, non ! C'est une mairie ici, pas un hôtel.
-Elle est où alors ?
-Le réceptionniste va vous emmener dans la villa des V.I.P.
-UNE VILLA VIP \\
-UNE VILLA VIP
-UNE VILLA VIP /
-Allez, suivez-moi.
Le petit homme-buisson se dirigea vers la porte de sortie et leur demanda de le suivre, ce qu'ils firent sans se faire prier.
-Ohoho ! Bonne nuit mes peutits élus !
Ils passèrent la porte et commencèrent à arpenter les rues de la « ville » en suivant le petit réceptionniste. Tout en marchant, Arbu remarqua quelque chose d'étrange.
-Dis, Kevin, tu trouves pas qu'ils se ressemblent tous, les hommes-buissons ?
-T'as de la merde dans les yeux ou quoi ? C'est pas qu'ils se ressemblent tous, c'est qu'il sont IDENTIQUES !
-Des...des CLONES ?
-chut...pas si fort, le gars de la mairie pourrait t'entendre.
Et c'est ainsi qu'ils traversèrent toute la ville sans perdre de vue leur guide. Fatigués d'avoir marché trois quarts d'heure, ils finirent par se stopper devant l'entrée d'une maison,identique à toutes les autres.
-Vous voilà arrivé à la villa des V.I.P.
-ça ? Une villa ?
-C'est moi ou elle ressemble à toutes les autres maison ?
-A Végétapolis, tous les bâtiment sont construits sur le même modèle de construction. Faites comme si c'était une villa
-On s'en souviendra.
-Bonne nuit le nain.
-Bye
…
-Bonne nuit les peutits hinhinhin ! Niark Niark ! Mouhahahha ! Niark Niar...
…
-Bordel, tu peux pas aller « Niark-Niarker » plus loin, on voudrait dormir, dit gentiment Kevin en lui lançant une grosse pierre.
Puis il rentra dans la maison, pour rejoindre les deux autres. Ils décidèrent de tous dormir dans la même pièce, et de rester éveillé toute la nuit, comme le génial plan d'Arbu le conseillait.
-Bon, on va dormir à tour de rôle, le premier montera la garde deux heures, puis réveillera le second, qui restera éveillé pendant deux heures lui aussi.
Je suis second
-Et moi troisième.
-Et moi ? Je suis combien ?
-Toi ? T'es la première.
-Noooooooooooon
Sachant que Marie-Clotilde s'occupait du premier tour de garde, Arbu put sereinement se coucher. Il s'allongea de tout son long sur le matelas moelleux (100% fibres naturels) que lui offrait la chambre, puis ferma lentement ses yeux. Une sensation de légèreté prenait possession de lui, il se laissa faire, le repos lui faisait un bien fou. Il se reposait, mais ne sentait pas la fatigue arriver. Il décida de se lever pour remplacer Marie-Clotilde, peu importe si le temps c'était beaucoup écoulé ou pas.
Il se mit debout sur son lit de feuille et marcha instinctivement vers la fenêtre dénuée de vitre et de volets.
-Mais qu'est-ce qu'il se passe ? Où suis-je ? Dans notre vieille maison ?
Il se pencha à la fenêtre, et aperçu au loin...UN RAZ DE MARÉE QUI LUI ARRIVAIT DESSUS !
-OMAGAD ! MAIS C'EST QUOI CE BORDEL !
Il recula de quelques pas, prêt à s'enfuir une nouvelle fois de cette maison. Mais mit accidentellement le pied dans une flaque d'eau si profonde, que sa jambe entière s'y enfonça.
-AAAAH !
Il tomba en arrière et se cogna la tête contre le parquet, celui-ci fut immaculé par le sang du garçon. Sans la voir, il sentait la « flaque d'eau » qui grandissait. Il fut rapidement immergé, incapable de bouger, comme s'il était pieds et poings liés. L'heure de la noyade était proche.
Ses poumons étaient presque vides, il sentait la mort arriver. C'est sous ces eaux qu'il allait mourir, sans rien comprendre à ce qui lui arrivait. Triste fin.
-BLOUP BLOUBLOUP !
Il résistait et essayait de crier « au secours » sans pouvoir y parvenir, et finalement, il commença à perdre conscience.
Une nouvelle fois, il ouvrit les yeux. Autour de lui, tout était blanc. Il entendit un bruit au dessus de lui et leva la tête.
-
Un groupe de cochons volants lui fonçait dessus.
-C'est quoi ce putain de bordel ? S't'un rêve !? (j'ai jamais vu de cochons volants, mais bon...)
Sans réfléchir, il couru pour leur échapper, sans succès. Les cochons, beaucoup plus rapides que le le jeune homme, lui barrèrent la route pour se retrouver face à lui.
-Heu...on peut discuter ? Qu'est-ce que vous me voulez ?
-Grouïk grouïk !
-Me tuez paaaas
-Spronk grouïk grouink !
-AAAAAAAAAH ! Approchez paaaaas !
Puis l'un des cochons lui fonça dessus. Le jeune se le reçut directement dans l'estomac. Le choc lui fit échapper une larme, il ferma les yeux sous la douleur.
Il ouvrit à nouveau les yeux, cette fois, il semblait être dans un endroit inconnu. A ses cotés, Marie-Clotilde et Kevin étaient ligotés, et en y regardant de plus près, Arbu était dans la même situation qu'eux. Il n'y a que lui pour ne pas l'avoir remarqué.
-Tient...qu'est-ce que vous faites là ?
-C'est maintenant que tu te réveilles, toi ?
-Me réveiller ? Non non non, je suis en train de rêver, là.
-Tu blagues ? Je me suis endormie pendant mon tour de garde, et il nous a capturé.
-Osef, je rêve...
-Non tu ne rêves pas ! C'est la réalité, abruti !
-Admettons...et je dis bien, Admettons, que ce ne soit plus un rêve. Qui vous a capturé ?
-LUI !
-LUI !
Ensemble, ils tournent leur tête vers un homme assit dans un coin de la pièce, un petit être monstrueusement gras.
-Le maire ? Jamais il nous kidnapperait.
-Alors pourquoi est-ce qu'on partageait des tours de gardes ?
-J'avais donné cette idée, juste pour rigoler, je pensais pas qu'il pourrait être méchant.
Bon, attendez, je vais vous détacher.
-MAIS TU PEUX PAS IMBECILE ! T'ES DANS LA MEME SITUATION QUE NOUS !
-Ah voui, j'avais pas vu
Si j'avais su, j'aurais pas v'nu.
-MAIS T'AS PAS EU LE CHOIX, SALE AUTIS...
…
-SILENCE LES ELUS !
-A oui...c'est bien le maire.
-Relâchez nous
-Surement pas, vous allez remplir votre rôle.
-Qui est ?
-Tuer Cheuknaurrice, lui ouvrir le ventre et sortir ses organes de son corps, avant de lui arracher la tête.
-Houlà !
-Je veux plus être élue !
-Relâchez moi (juste moa) et je ferais ça.
-Non, car nous avons besoin de votre sang, pour fabriquer l'arme ultime contre le mal :
-...
-...
-...
-Quoi ? Mes petits choux, il me faut votre sang, s'il vous plait.
-...
-...
-...
-Ohohoho ! Allez, quoi...dîtes quelque chose. (après les lecteurs vont croire que l'auteur essaie de rallonger son texte)
-Si vous voulez du sang, prenez quelques gouttes et foutez nous la paix.
Pas besoin de nous enlever en pleine nuit.
-Non !
-...
-...
-Comment ça, non ?
-Non! Il me faut TOUT VOTRE SANG ! :
- \\
-
- /
Il faut croire que nos trois héros avaient maintenant de bonnes raisons pour s'inquiéter. Ligotés dans ce qui semblait être une cave, face au maire de la ville, devenu fou.
...to be continued.
----------------------
By Droran
Qui osera faire la sweet?
Partie 7.
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-Bon les gars, écoutez-moi.
Ce qu'on va faire, c'est rester éveillé toute la nuit, comme ça on saura s'ils nous veulent du mal. C'est pas génial comme plan ?
-Et s'ils entrent dans la chambre pour nous tuer ?
-heu...
-Arbu, tu pourrais les faire fuir.
-Comment il pourrait faire ça ?
-En déployant son imposante musculature
-N'importe quoi...
-Qu'ouïe-je ? Le kikoo est jaloux ?
-Oui, jaloux de toi et de l'autre planche à pain.
-Insulte pas Marie-Clotilde. Elle incarne à elle seul, la plus grande beauté de la femme.
-Bon ! C'est décidé, on dort tous dans la même chambre. On verra s'ils mentent ou pas, et vous arrêtez de me les casser.
Ensemble, les trois jeunes pénétrèrent dans l'imposante mairie, puis s'approchèrent de la réception. Un homme-buisson était assis derrière un bureau de bois, sur une buche d'arbres en...bois.
-Bonsoir, que puis-je pour vous ?
-On voudrait dormir, siouplait.
-Désolé, ce n'est pas un hôtel ici.
-Si, c'est l'hôtel de ville.
-le maire a dit qu'il nous donnait un chambre.
-Attendez, je l'appelle, un instant.
Le réceptionniste quitta quelques instants son perchoir et s'approcha du mur derrière lui. Les adolescents furent stupéfiés de voir le petit homme embrasser ce mur, puis lui murmurer quelques mots. Kevin esquissa un sourire, Marie-Clotilde grimaça, et Arbu se plia de rire.
Il se calma lorsqu'une phrase résonna dans tout le bâtiment « Mr. Le maire, on a besoin de vous ». Le murmure du réceptionniste avait été intensifié et répété dans toute la mairie. Mais comment avait-il fait cela ?
-Qu'est-ce que vous venez de faire ?
-Quand ?
-Là ! A l'instant ! Vous venez d'embrasser le mur, et des phrases sont sorties.
-Vous ne connaissez pas la plantaeaco ?
-La quoi ?
-La plantaeaco, la plante résonnante, le meilleure moyen de communication de la ville.
-Plantaeaco ? Les murs sont faits en plantaeaco ?
-Oui, il suffit de murmurer pour que votre phrase soit amplifiée. Vous ne connaissez pas ?
-Bha non...
-Je sais qu'on vit dans des grottes souterraine, mais quand même.
-Oui, mais nous on viens pas d'ici.
-Pas d'ici ? Vous...vous voulez dire que vous êtes les él...
-QUI M'A APPELE ?
Le maire était apparu en haut d'un escalier, il n'avait pas l'air d'être en colère, il criait seulement pour se faire entendre.
-Moi, monsieur. Moi monsieur. Moi monsieur !
Le réceptionniste essaya d'attirer l'attention du Bibendum en agitant la main et en répétant inlassablement la même phrase. Et cela fonctionna.
-Les élus ? Qu'est-ce que vous faites ici ? Vous vous êtes arrangé pour la chambre ?
-Oui, on va tous dormir dans la même. Mais, à ce sujet...elle est où cette chambre ?
-Elle est ici, non ?
-Ici ? Ohohoh ! Diable, non ! C'est une mairie ici, pas un hôtel.
-Elle est où alors ?
-Le réceptionniste va vous emmener dans la villa des V.I.P.
-UNE VILLA VIP \\
-UNE VILLA VIP
-UNE VILLA VIP /
-Allez, suivez-moi.
Le petit homme-buisson se dirigea vers la porte de sortie et leur demanda de le suivre, ce qu'ils firent sans se faire prier.
-Ohoho ! Bonne nuit mes peutits élus !
Ils passèrent la porte et commencèrent à arpenter les rues de la « ville » en suivant le petit réceptionniste. Tout en marchant, Arbu remarqua quelque chose d'étrange.
-Dis, Kevin, tu trouves pas qu'ils se ressemblent tous, les hommes-buissons ?
-T'as de la merde dans les yeux ou quoi ? C'est pas qu'ils se ressemblent tous, c'est qu'il sont IDENTIQUES !
-Des...des CLONES ?
-chut...pas si fort, le gars de la mairie pourrait t'entendre.
Et c'est ainsi qu'ils traversèrent toute la ville sans perdre de vue leur guide. Fatigués d'avoir marché trois quarts d'heure, ils finirent par se stopper devant l'entrée d'une maison,identique à toutes les autres.
-Vous voilà arrivé à la villa des V.I.P.
-ça ? Une villa ?
-C'est moi ou elle ressemble à toutes les autres maison ?
-A Végétapolis, tous les bâtiment sont construits sur le même modèle de construction. Faites comme si c'était une villa
-On s'en souviendra.
-Bonne nuit le nain.
-Bye
…
-Bonne nuit les peutits hinhinhin ! Niark Niark ! Mouhahahha ! Niark Niar...
…
-Bordel, tu peux pas aller « Niark-Niarker » plus loin, on voudrait dormir, dit gentiment Kevin en lui lançant une grosse pierre.
Puis il rentra dans la maison, pour rejoindre les deux autres. Ils décidèrent de tous dormir dans la même pièce, et de rester éveillé toute la nuit, comme le génial plan d'Arbu le conseillait.
-Bon, on va dormir à tour de rôle, le premier montera la garde deux heures, puis réveillera le second, qui restera éveillé pendant deux heures lui aussi.
Je suis second
-Et moi troisième.
-Et moi ? Je suis combien ?
-Toi ? T'es la première.
-Noooooooooooon
Sachant que Marie-Clotilde s'occupait du premier tour de garde, Arbu put sereinement se coucher. Il s'allongea de tout son long sur le matelas moelleux (100% fibres naturels) que lui offrait la chambre, puis ferma lentement ses yeux. Une sensation de légèreté prenait possession de lui, il se laissa faire, le repos lui faisait un bien fou. Il se reposait, mais ne sentait pas la fatigue arriver. Il décida de se lever pour remplacer Marie-Clotilde, peu importe si le temps c'était beaucoup écoulé ou pas.
Il se mit debout sur son lit de feuille et marcha instinctivement vers la fenêtre dénuée de vitre et de volets.
-Mais qu'est-ce qu'il se passe ? Où suis-je ? Dans notre vieille maison ?
Il se pencha à la fenêtre, et aperçu au loin...UN RAZ DE MARÉE QUI LUI ARRIVAIT DESSUS !
-OMAGAD ! MAIS C'EST QUOI CE BORDEL !
Il recula de quelques pas, prêt à s'enfuir une nouvelle fois de cette maison. Mais mit accidentellement le pied dans une flaque d'eau si profonde, que sa jambe entière s'y enfonça.
-AAAAH !
Il tomba en arrière et se cogna la tête contre le parquet, celui-ci fut immaculé par le sang du garçon. Sans la voir, il sentait la « flaque d'eau » qui grandissait. Il fut rapidement immergé, incapable de bouger, comme s'il était pieds et poings liés. L'heure de la noyade était proche.
Ses poumons étaient presque vides, il sentait la mort arriver. C'est sous ces eaux qu'il allait mourir, sans rien comprendre à ce qui lui arrivait. Triste fin.
-BLOUP BLOUBLOUP !
Il résistait et essayait de crier « au secours » sans pouvoir y parvenir, et finalement, il commença à perdre conscience.
Une nouvelle fois, il ouvrit les yeux. Autour de lui, tout était blanc. Il entendit un bruit au dessus de lui et leva la tête.
-
Un groupe de cochons volants lui fonçait dessus.
-C'est quoi ce putain de bordel ? S't'un rêve !? (j'ai jamais vu de cochons volants, mais bon...)
Sans réfléchir, il couru pour leur échapper, sans succès. Les cochons, beaucoup plus rapides que le le jeune homme, lui barrèrent la route pour se retrouver face à lui.
-Heu...on peut discuter ? Qu'est-ce que vous me voulez ?
-Grouïk grouïk !
-Me tuez paaaas
-Spronk grouïk grouink !
-AAAAAAAAAH ! Approchez paaaaas !
Puis l'un des cochons lui fonça dessus. Le jeune se le reçut directement dans l'estomac. Le choc lui fit échapper une larme, il ferma les yeux sous la douleur.
Il ouvrit à nouveau les yeux, cette fois, il semblait être dans un endroit inconnu. A ses cotés, Marie-Clotilde et Kevin étaient ligotés, et en y regardant de plus près, Arbu était dans la même situation qu'eux. Il n'y a que lui pour ne pas l'avoir remarqué.
-Tient...qu'est-ce que vous faites là ?
-C'est maintenant que tu te réveilles, toi ?
-Me réveiller ? Non non non, je suis en train de rêver, là.
-Tu blagues ? Je me suis endormie pendant mon tour de garde, et il nous a capturé.
-Osef, je rêve...
-Non tu ne rêves pas ! C'est la réalité, abruti !
-Admettons...et je dis bien, Admettons, que ce ne soit plus un rêve. Qui vous a capturé ?
-LUI !
-LUI !
Ensemble, ils tournent leur tête vers un homme assit dans un coin de la pièce, un petit être monstrueusement gras.
-Le maire ? Jamais il nous kidnapperait.
-Alors pourquoi est-ce qu'on partageait des tours de gardes ?
-J'avais donné cette idée, juste pour rigoler, je pensais pas qu'il pourrait être méchant.
Bon, attendez, je vais vous détacher.
-MAIS TU PEUX PAS IMBECILE ! T'ES DANS LA MEME SITUATION QUE NOUS !
-Ah voui, j'avais pas vu
Si j'avais su, j'aurais pas v'nu.
-MAIS T'AS PAS EU LE CHOIX, SALE AUTIS...
…
-SILENCE LES ELUS !
-A oui...c'est bien le maire.
-Relâchez nous
-Surement pas, vous allez remplir votre rôle.
-Qui est ?
-Tuer Cheuknaurrice, lui ouvrir le ventre et sortir ses organes de son corps, avant de lui arracher la tête.
-Houlà !
-Je veux plus être élue !
-Relâchez moi (juste moa) et je ferais ça.
-Non, car nous avons besoin de votre sang, pour fabriquer l'arme ultime contre le mal :
-...
-...
-...
-Quoi ? Mes petits choux, il me faut votre sang, s'il vous plait.
-...
-...
-...
-Ohohoho ! Allez, quoi...dîtes quelque chose. (après les lecteurs vont croire que l'auteur essaie de rallonger son texte)
-Si vous voulez du sang, prenez quelques gouttes et foutez nous la paix.
Pas besoin de nous enlever en pleine nuit.
-Non !
-...
-...
-Comment ça, non ?
-Non! Il me faut TOUT VOTRE SANG ! :
- \\
-
- /
Il faut croire que nos trois héros avaient maintenant de bonnes raisons pour s'inquiéter. Ligotés dans ce qui semblait être une cave, face au maire de la ville, devenu fou.
...to be continued.
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By Droran
Qui osera faire la sweet?
04/10/09 à 23:02:15
omagad, il a jamais vu de cochon volant, vas voir Marie, elle t'en montrera
je veux bien ... ah bah non en fait, elle est déjà faite
24/06/09 à 11:49:29
C'est posté **
Saloperie d'ipod.
24/06/09 à 11:48:42
Moi je veux bien faire la suite !
Maximum demain c'est pas poste emballé et pesé.
Steupleeeeeeeeeeeeeee.
24/06/09 à 11:11:39
Besoin de quelqu'un pour la sweet ? Pensez à moi :)
Pour toutes vos fics collectives, pensez malin, pensez Arno
23/06/09 à 22:32:09
Faut ban ip tout ces cons sérieux...
23/06/09 à 19:30:02
no sweet
23/06/09 à 18:17:47
OMAGAD.
23/06/09 à 17:08:02
Rien de bien méchant, mais il y a quelques fautes . Je corrigerais ce soir
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