Riposte Graduée
Par : MassiveDynamic
Genre : Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 10
Publié le 16/08/09 à 22:42:26 par MassiveDynamic
Manquait plus que ça...
*BANG* *BANG*
...Hein ?
Chapitre 10 : No Man's Land, Partie VII : Le réel ennemi.
- Roh la petite enflure, je lui ai fait un ravalement de façade ! Il se prenait pour qui cet abruti ?
Je pousse un soupire. Elle vient de sniper ce mec. Il se trouvait dans la tour des quartiers du directeur, côté haut-parleur. Ces temps-ci je trouve qu'ils deviennent un peu trop des fous de la gâchette elle et Karl... Et j'ai l'impression qu'on n'est pas au bout de nos surprises.
- Génial Roxane. Et on sort comment exactement ? Les portails sont électrifiés et fermés, les autres bâtiments verrouillés...
Elle me regarde, l'air de rien, et me répond.
- Bah t'as entendu le patron non ? Direction l'infirmerie. Et de toute manière notre priorité c'était de trouver des soins pour Tom, non ?
Elle marque un point.
On pousse la porte massive de l'infirmerie. Elle s'ouvre dans un bruit assourdissant de rouille métallique et mécanique. On pénètre dans l'infirmerie... c'est une simple pièce semi-éclairée. Du sang sec est répandu sur le sol. Des marques de griffe sur les murs. Du matériel médical occupe la quasi-totalité de la salle qui n'est vraiment pas grande d'ailleurs. Une dizaine de mètres tout au plus pour un campement tout entier, c'est assez étrange.
Sébastien et Julie installent Tom sur un lit. Julie prend la parole.
- Ok, votre attention s'il vous plait. Je vais m'occuper de Tom, je m'y connais un peu en médecine. Enfin suffisamment pour recoudre quelqu'un. Je tire le rideau le temps qu'il soit retapé et sur pied. Je vous préviendrai quand ça sera terminé, en attendant restez là et profitez-en pour vous reposer un peu.
Elle a raison. On s'assoit sur le sol, puis nous commençons à nous nourrir. Sébastien engage la conversation.
- Alors comme ça t'as travaillé à l'Almo, hein Karl ?
Je reste silencieux et me contente d'observer leur discussion.
- Ouais, mais c'était de force ou de gré hein. J'avais pas le choix, juré sur la vie de spooky
- Ouais mais... pourquoi tu ne nous l'a pas dit plutôt ?
- Bah ça avait pas vraiment d'intérêt. Et puis c'est pas la question de toute manière, ma vie ne vous regarde pas.
Sébastien hausse le ton d'un coup.
- Oh que si ça avait de l'intérêt, qui nous dit que le traître dont tout le monde parle ce n'est pas toi ?
Je m'interpose.
- Sérieusement, arrêtez avec ça toi et Tom, ça devient vraiment lourd. Le traître, c'est très probablement le type qui m'a assommé. Hors toute notre section était présente dans les égoûts lors de ma mission non ? Donc arrête un peu de jouer les détectives, on tirera tout ça au clair une fois à Paris.
Il reste silencieux. Le silence s'installe. On entend Julie qui trifouille le corps de Tom. Des bruits de chair. Beurk.
Karl se lève. Pendant que Julie opère Tom, il nous propose aux quartiers pour déverrouiller le reste du campement. J'en suis. Roxane bien entendu est des nôtres. Cette fille semble avide d'action et d'aventure, elle me fait flipper parfois.
On sort dehors. Ca pue le cadavre. Et vu le massacre, pas étonnant. Merde, c'est comme si le camp avait été décimé il y a très longtemps maintenant. Qu'est ce qu'il s'est passé ici ?!
On rentre dans les quartiers. Ils n'étaient pas verrouillés. On arrive dans un genre de rez de chaussée, avec de la paperasse et des chaises et morceaux de bois jonchant le sol par-ci par-là. Nous montons à l'étage. Au sol repose le corps du soldat abattu par Roxane. Soldat de l'Almo. Alors que l'on examine la pièce, pièce d'une dizaine de mètres avec pleins de boutons électroniques et de leviers, Karl nous interpelle.
- C'est pas normal. Comment une escouade de cinq snipers peuvent éradiquer un campement entier de sectionnaires ?
Je lui réponds.
- T'as raison, il s'est passé quelque chose d'autre ici. Et quelque chose d'important j'ai l'impression.
- Je comprends pas... c'est pas logique. Bon dieu de merde c'est pas logique, la section 17 aurait du nous prévenir du massacre engendré ici, on est là que depuis deux jours, on aurait forcément du être au courant de l'attaque !
C'est vrai. Il y a anguille sous roche. Quelque chose se trame dans ce désordre ambiant.
- Merde... c'est pas possible... venez voir ça !
Sébastien nous somme. Il fouille des archives empilés sur des étagères dans la salle d'à côté. Il nous tend un rapport.
- Regardez ! C'est le dernier rapport en date, et il date de l'année dernière ! Le massacre de ce campement a eu lieu il y a plus d'un an !
Merde. C'est pas possible... ça voudrait dire que...
Roxane interrompt mes pensées.
- Attendez une minute vous tous, l'escouade qui nous a rendu visite et qui voulait nous plomber, elle appartenait à qui si ça n'était pas aux sectionnaires ?
Bordel, c'est de pire en pire. On s'est fait entubé. Ce fils de pute, cet enfant de putain, ce chien, ce bâtard s'est foutu de nous tous. On doit dégager et les prévenir immédiatement.
Je coupe court à toutes leur interrogations.
- C'est évident, ce campement était un campement de l'Almo. C'est l'Almo qui nous a rendu visite.
Sébastien me coupe.
- Non, c'est pas possible là Harper, j'ai été en liaison directe avec la section 17, ils m'ont prévenu pour les types qui arrivaient sur nous. Comment auraient-ils pu savoir ça ?...oh merde...
Je reprends mon discours.
- Merde, ouais. Comme tu dis. La station 17 est en liaison directe avec Adam. Ils suivaient ses ordres. Je vais pas y aller par quatre chemins, tout semble indiquer que le traître est Adam, notre leader. Et j'ai bien peur que la résistance ait échouée. Il nous voulait morts, on aurait du mourir sous cette tente, et on le serait sans l'intervention de Sébastien. Il nous envoyait à la mort. La preuve, notre ordre de mission se termine aux collines. On devait prendre contact avec la section pour la suite. Tom voulait se rendre à Rouen, second plus grand rassemblement de sectionnaires et résistants de toutes castes.
Mais Sébastien me pose une colle intelligente.
- Attends une seconde. Donc Adam est le traire, ce qui veut dire que si c'est le cas, notre plan de résistance est mort, et nos intentions sont connus d'avance. Ils savent où on va. Déjà, en partant de ce principe, la mission est déjà compromise. Mais en plus, ce campement c'est donc censé être un lieu rempli de soldats de l'Almo. Hors il a l'air bien vide. Ils sont où les autres ?
Il a raison. Oh merde...
- On doit dégager d'ici, faut aller à Rouen le plus vite possible. Adam nous croit mort, il veut éradiquer le reste de la résistance maintenant, là où ils sont tous rassemblés, à Rouen donc. Il faut arriver à la cathédrale avant eux !
On déverrouille tous les accès du campement. On inspecte le reste des bâtiments. Effectivement, c'est désert, mais plein de ressources. On prend des munitions, des armes en tout genre, de la nourriture, des gadgets, tout ce qui peut être utile pour le raid de Rouen. Les bâtiments étaient dans le même état que le reste du campement, du sang sec un peu partout, une odeur pestilentielle... A croire que l'Almo se complait à vivre dans des environnements crades et salaces.
On est tous un peu secoués. On ne sait pas ce qui nous attend, on ne sait pas si notre fin est proche, on ne sait pas si l'on arrivera à stopper l'Almo et Adam...mais nous n'avons pas le choix. Nous devons arrêter ça.
Les autres m'attendent à la sortie du campement. Je vais chercher Julie et Tom. Je rentre. Julie est effondrée, en larme, au beau milieu de la salle. Immédiatement, je lui demande ce qu'il s'est passé ici. Elle ne répond pas, elle ne réagit pas. Elle est en état de choc. Tom ! Je m'avance à petits pas. Le cœur bien accroché, je tire le rideau d'un coup brusque. Tom, inconscient. Mort. Du sang autour de sa bouche et sur son buste. Putain.
Merde. Tom...
Je me sens bizarre. J'ai côtoyé ce mec durant un an, on a vécu des moments difficiles ensemble, et là... j'arrive même pas à verser la moindre larme. Je reste limite insensible. Putain, il m'arrive quoi ?
Et Julie, elle, c'est une véritable fontaine à côté. Merde.
Je sors, l'esprit vide. J'annonce sa mort à la section. Sébastien a les larmes au yeux et fixe le sol, Roxane sort quelques jurons, Karl nous pose des tas de questions sur le comment de sa mort, et moi je me dis merde. Oui, merde. Parce que l'Almo est probablement déjà à Rouen. Parce qu'on est pris de vitesse. Parce qu'ils nous font souffrir.
Bande d'enfoirés.
Julie était inconsolable. On a du passer la nuit au campement, de toute manière on était tous à cran après avoir sauté une nuit de sommeil, alors la mort de Tom nous a achevée.
J'ai passé la nuit à rassurer Julie et à la consoler. Elle disait que c'était de sa faute, qu'elle avait pas su stopper l'hémorragie, qu'il est mort à cause d'elle...
Je me suis tapé ces phrases en boucle pendant 10heures de suite.
Le lendemain, avec des têtes d'enterrement, on repart, plus déterminé que jamais. On touche au but, même si nos chances s'amoindrissent de plus en plus.
HS :
Désolé pour le gros retard, j'ai été super occupé durant cette semaine. Mais me revoilà :)
N'hésitez pas à me dire ce que vous aimez et ce que vous aimez pas dans mes textes, pour que je puisse continuer de m'améliorer.
*BANG* *BANG*
...Hein ?
Chapitre 10 : No Man's Land, Partie VII : Le réel ennemi.
- Roh la petite enflure, je lui ai fait un ravalement de façade ! Il se prenait pour qui cet abruti ?
Je pousse un soupire. Elle vient de sniper ce mec. Il se trouvait dans la tour des quartiers du directeur, côté haut-parleur. Ces temps-ci je trouve qu'ils deviennent un peu trop des fous de la gâchette elle et Karl... Et j'ai l'impression qu'on n'est pas au bout de nos surprises.
- Génial Roxane. Et on sort comment exactement ? Les portails sont électrifiés et fermés, les autres bâtiments verrouillés...
Elle me regarde, l'air de rien, et me répond.
- Bah t'as entendu le patron non ? Direction l'infirmerie. Et de toute manière notre priorité c'était de trouver des soins pour Tom, non ?
Elle marque un point.
On pousse la porte massive de l'infirmerie. Elle s'ouvre dans un bruit assourdissant de rouille métallique et mécanique. On pénètre dans l'infirmerie... c'est une simple pièce semi-éclairée. Du sang sec est répandu sur le sol. Des marques de griffe sur les murs. Du matériel médical occupe la quasi-totalité de la salle qui n'est vraiment pas grande d'ailleurs. Une dizaine de mètres tout au plus pour un campement tout entier, c'est assez étrange.
Sébastien et Julie installent Tom sur un lit. Julie prend la parole.
- Ok, votre attention s'il vous plait. Je vais m'occuper de Tom, je m'y connais un peu en médecine. Enfin suffisamment pour recoudre quelqu'un. Je tire le rideau le temps qu'il soit retapé et sur pied. Je vous préviendrai quand ça sera terminé, en attendant restez là et profitez-en pour vous reposer un peu.
Elle a raison. On s'assoit sur le sol, puis nous commençons à nous nourrir. Sébastien engage la conversation.
- Alors comme ça t'as travaillé à l'Almo, hein Karl ?
Je reste silencieux et me contente d'observer leur discussion.
- Ouais, mais c'était de force ou de gré hein. J'avais pas le choix, juré sur la vie de spooky
- Ouais mais... pourquoi tu ne nous l'a pas dit plutôt ?
- Bah ça avait pas vraiment d'intérêt. Et puis c'est pas la question de toute manière, ma vie ne vous regarde pas.
Sébastien hausse le ton d'un coup.
- Oh que si ça avait de l'intérêt, qui nous dit que le traître dont tout le monde parle ce n'est pas toi ?
Je m'interpose.
- Sérieusement, arrêtez avec ça toi et Tom, ça devient vraiment lourd. Le traître, c'est très probablement le type qui m'a assommé. Hors toute notre section était présente dans les égoûts lors de ma mission non ? Donc arrête un peu de jouer les détectives, on tirera tout ça au clair une fois à Paris.
Il reste silencieux. Le silence s'installe. On entend Julie qui trifouille le corps de Tom. Des bruits de chair. Beurk.
Karl se lève. Pendant que Julie opère Tom, il nous propose aux quartiers pour déverrouiller le reste du campement. J'en suis. Roxane bien entendu est des nôtres. Cette fille semble avide d'action et d'aventure, elle me fait flipper parfois.
On sort dehors. Ca pue le cadavre. Et vu le massacre, pas étonnant. Merde, c'est comme si le camp avait été décimé il y a très longtemps maintenant. Qu'est ce qu'il s'est passé ici ?!
On rentre dans les quartiers. Ils n'étaient pas verrouillés. On arrive dans un genre de rez de chaussée, avec de la paperasse et des chaises et morceaux de bois jonchant le sol par-ci par-là. Nous montons à l'étage. Au sol repose le corps du soldat abattu par Roxane. Soldat de l'Almo. Alors que l'on examine la pièce, pièce d'une dizaine de mètres avec pleins de boutons électroniques et de leviers, Karl nous interpelle.
- C'est pas normal. Comment une escouade de cinq snipers peuvent éradiquer un campement entier de sectionnaires ?
Je lui réponds.
- T'as raison, il s'est passé quelque chose d'autre ici. Et quelque chose d'important j'ai l'impression.
- Je comprends pas... c'est pas logique. Bon dieu de merde c'est pas logique, la section 17 aurait du nous prévenir du massacre engendré ici, on est là que depuis deux jours, on aurait forcément du être au courant de l'attaque !
C'est vrai. Il y a anguille sous roche. Quelque chose se trame dans ce désordre ambiant.
- Merde... c'est pas possible... venez voir ça !
Sébastien nous somme. Il fouille des archives empilés sur des étagères dans la salle d'à côté. Il nous tend un rapport.
- Regardez ! C'est le dernier rapport en date, et il date de l'année dernière ! Le massacre de ce campement a eu lieu il y a plus d'un an !
Merde. C'est pas possible... ça voudrait dire que...
Roxane interrompt mes pensées.
- Attendez une minute vous tous, l'escouade qui nous a rendu visite et qui voulait nous plomber, elle appartenait à qui si ça n'était pas aux sectionnaires ?
Bordel, c'est de pire en pire. On s'est fait entubé. Ce fils de pute, cet enfant de putain, ce chien, ce bâtard s'est foutu de nous tous. On doit dégager et les prévenir immédiatement.
Je coupe court à toutes leur interrogations.
- C'est évident, ce campement était un campement de l'Almo. C'est l'Almo qui nous a rendu visite.
Sébastien me coupe.
- Non, c'est pas possible là Harper, j'ai été en liaison directe avec la section 17, ils m'ont prévenu pour les types qui arrivaient sur nous. Comment auraient-ils pu savoir ça ?...oh merde...
Je reprends mon discours.
- Merde, ouais. Comme tu dis. La station 17 est en liaison directe avec Adam. Ils suivaient ses ordres. Je vais pas y aller par quatre chemins, tout semble indiquer que le traître est Adam, notre leader. Et j'ai bien peur que la résistance ait échouée. Il nous voulait morts, on aurait du mourir sous cette tente, et on le serait sans l'intervention de Sébastien. Il nous envoyait à la mort. La preuve, notre ordre de mission se termine aux collines. On devait prendre contact avec la section pour la suite. Tom voulait se rendre à Rouen, second plus grand rassemblement de sectionnaires et résistants de toutes castes.
Mais Sébastien me pose une colle intelligente.
- Attends une seconde. Donc Adam est le traire, ce qui veut dire que si c'est le cas, notre plan de résistance est mort, et nos intentions sont connus d'avance. Ils savent où on va. Déjà, en partant de ce principe, la mission est déjà compromise. Mais en plus, ce campement c'est donc censé être un lieu rempli de soldats de l'Almo. Hors il a l'air bien vide. Ils sont où les autres ?
Il a raison. Oh merde...
- On doit dégager d'ici, faut aller à Rouen le plus vite possible. Adam nous croit mort, il veut éradiquer le reste de la résistance maintenant, là où ils sont tous rassemblés, à Rouen donc. Il faut arriver à la cathédrale avant eux !
On déverrouille tous les accès du campement. On inspecte le reste des bâtiments. Effectivement, c'est désert, mais plein de ressources. On prend des munitions, des armes en tout genre, de la nourriture, des gadgets, tout ce qui peut être utile pour le raid de Rouen. Les bâtiments étaient dans le même état que le reste du campement, du sang sec un peu partout, une odeur pestilentielle... A croire que l'Almo se complait à vivre dans des environnements crades et salaces.
On est tous un peu secoués. On ne sait pas ce qui nous attend, on ne sait pas si notre fin est proche, on ne sait pas si l'on arrivera à stopper l'Almo et Adam...mais nous n'avons pas le choix. Nous devons arrêter ça.
Les autres m'attendent à la sortie du campement. Je vais chercher Julie et Tom. Je rentre. Julie est effondrée, en larme, au beau milieu de la salle. Immédiatement, je lui demande ce qu'il s'est passé ici. Elle ne répond pas, elle ne réagit pas. Elle est en état de choc. Tom ! Je m'avance à petits pas. Le cœur bien accroché, je tire le rideau d'un coup brusque. Tom, inconscient. Mort. Du sang autour de sa bouche et sur son buste. Putain.
Merde. Tom...
Je me sens bizarre. J'ai côtoyé ce mec durant un an, on a vécu des moments difficiles ensemble, et là... j'arrive même pas à verser la moindre larme. Je reste limite insensible. Putain, il m'arrive quoi ?
Et Julie, elle, c'est une véritable fontaine à côté. Merde.
Je sors, l'esprit vide. J'annonce sa mort à la section. Sébastien a les larmes au yeux et fixe le sol, Roxane sort quelques jurons, Karl nous pose des tas de questions sur le comment de sa mort, et moi je me dis merde. Oui, merde. Parce que l'Almo est probablement déjà à Rouen. Parce qu'on est pris de vitesse. Parce qu'ils nous font souffrir.
Bande d'enfoirés.
Julie était inconsolable. On a du passer la nuit au campement, de toute manière on était tous à cran après avoir sauté une nuit de sommeil, alors la mort de Tom nous a achevée.
J'ai passé la nuit à rassurer Julie et à la consoler. Elle disait que c'était de sa faute, qu'elle avait pas su stopper l'hémorragie, qu'il est mort à cause d'elle...
Je me suis tapé ces phrases en boucle pendant 10heures de suite.
Le lendemain, avec des têtes d'enterrement, on repart, plus déterminé que jamais. On touche au but, même si nos chances s'amoindrissent de plus en plus.
HS :
Désolé pour le gros retard, j'ai été super occupé durant cette semaine. Mais me revoilà :)
N'hésitez pas à me dire ce que vous aimez et ce que vous aimez pas dans mes textes, pour que je puisse continuer de m'améliorer.
18/08/09 à 23:14:15
Je pense que ça serait encore mieux si tu développais plus les sentiments et états d'âme des personnages.
Mais bon, déjà là ça roxx
Need sweet
16/08/09 à 22:59:58
sweet
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