La mélodie de la peine
Par : -AtantoinE-
Genre : Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 1
Publié le 30/09/09 à 02:13:36 par -AtantoinE-
I
C’était la fin des grandes vacances, la rentrée approchait. Ca fait bien longtemps que je suis seul… J’ai toujours eu des amis, bien sûr, mais jamais de petite copine, jamais d’histoire qui en vaille la peine. Ma seule façon de me motiver d’aller en cours était d’espérer voir une fille qui me ressemblerait dans ma future classe.
C’était la première fois que je devais prendre le métro pour aller dans un lycée. Le trajet était plutôt long et étant habitué à des déplacements assez brefs, j’arrivai donc en retard de quelques minutes en cours, d’autant plus qu’il s’agissait d’un tout nouveau lycée pour moi, et que je n’avais donc pas manqué de me perdre un peu dans les couloirs.
Tout le monde était gentiment assis à sa place lorsque j’ouvris timidement la porte. Tous les regards se braquèrent sur moi, il y eu quelques messes-basses, des éclats de rires étouffés… Je rougissais facilement.
-Entre donc, jeune homme. Dépêches-toi ! Tu es nouveau, non ?
-Euh… Oui, je ne connais pas encore le lycée, je me suis perdu.
Autant vous dire qu’une fois assis à ma place, au fond de la classe, j’ai sorti ma petite trousse et me suis fait tout petit. Il paraît qu’en début d’année, ceux à côté de qui on s’assoit, comme ça, à l’instinct, deviendront sans aucun doute nos futurs meilleurs potes. C’est vrai, ça m’es déjà arrivé, mais mon voisin était cette fois-ci particulièrement étrange. Il grognait dans sa barbe en tripotant nerveusement un stylo Bic. Je n’y faisais pas attention et j’écoutais donc la prof.
Comme d’habitude, on nous baratinait à coup de ‘‘…Faut travailler sérieusement pour réussir le BAC…’’ ; ‘‘…Aucun, mais vraiment aucun retard ne sera toléré…’’
Heureusement, un événement vint perturber ce soporifique monologue : La porte cogna, et une ravissante jeune fille entra. Elle était toute gênée d’arriver en retard, et si mignonne avec son petit sac. Elle s’était rapidement excusée d’une voix douce et alla s’asseoir calmement en rougissant. Impossible de retirer mes yeux de cette si gracieuse silhouette… Mais en parcourant la salle des yeux, son visage se ternit quelque peu à la vue de certains visages qui lui étaient sans doute familiers… Peut-être ne voulait-elle pas revoir certaines personnes ?
C’était la fin des grandes vacances, la rentrée approchait. Ca fait bien longtemps que je suis seul… J’ai toujours eu des amis, bien sûr, mais jamais de petite copine, jamais d’histoire qui en vaille la peine. Ma seule façon de me motiver d’aller en cours était d’espérer voir une fille qui me ressemblerait dans ma future classe.
C’était la première fois que je devais prendre le métro pour aller dans un lycée. Le trajet était plutôt long et étant habitué à des déplacements assez brefs, j’arrivai donc en retard de quelques minutes en cours, d’autant plus qu’il s’agissait d’un tout nouveau lycée pour moi, et que je n’avais donc pas manqué de me perdre un peu dans les couloirs.
Tout le monde était gentiment assis à sa place lorsque j’ouvris timidement la porte. Tous les regards se braquèrent sur moi, il y eu quelques messes-basses, des éclats de rires étouffés… Je rougissais facilement.
-Entre donc, jeune homme. Dépêches-toi ! Tu es nouveau, non ?
-Euh… Oui, je ne connais pas encore le lycée, je me suis perdu.
Autant vous dire qu’une fois assis à ma place, au fond de la classe, j’ai sorti ma petite trousse et me suis fait tout petit. Il paraît qu’en début d’année, ceux à côté de qui on s’assoit, comme ça, à l’instinct, deviendront sans aucun doute nos futurs meilleurs potes. C’est vrai, ça m’es déjà arrivé, mais mon voisin était cette fois-ci particulièrement étrange. Il grognait dans sa barbe en tripotant nerveusement un stylo Bic. Je n’y faisais pas attention et j’écoutais donc la prof.
Comme d’habitude, on nous baratinait à coup de ‘‘…Faut travailler sérieusement pour réussir le BAC…’’ ; ‘‘…Aucun, mais vraiment aucun retard ne sera toléré…’’
Heureusement, un événement vint perturber ce soporifique monologue : La porte cogna, et une ravissante jeune fille entra. Elle était toute gênée d’arriver en retard, et si mignonne avec son petit sac. Elle s’était rapidement excusée d’une voix douce et alla s’asseoir calmement en rougissant. Impossible de retirer mes yeux de cette si gracieuse silhouette… Mais en parcourant la salle des yeux, son visage se ternit quelque peu à la vue de certains visages qui lui étaient sans doute familiers… Peut-être ne voulait-elle pas revoir certaines personnes ?
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