Otages!
Par : [no_PGM]
Genre : Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 4
« Vous êtes mes otages »
Publié le 23/08/09 à 22:37:23 par [no_PGM]
Ma classe se dirige vers la salle de sport en bavardant joyeusement. Louper du cours, y a pas mieux pour nous rendre heureux! Si on savait…
Ma classe arrive dans les premières. Sur l’estrade des discours se tiennent deux espèces de gorilles en survêt's et tee-shirts trop grands pour eux et ils ont les mains dans le dos comme des videurs de boites de nuit.
Le directeur n’était nulle part en vue. La salle commence à se remplir et quand elle est pleine, un homme monte sur l’estrade et regarde l’assistance soudain silencieuse:
« - Bien! Puisque tout le monde à l’air d’être là, passons à la suite. »
Alors qu’il frappe dans ses mains, des hommes armés ferment les portes et les condamnes avec des chaînes.
Ma prof regarde l’homme sur l’estrade, à peine un mètre devant elle et demande où est le directeur:
« - Ma chère, notre pauvre directeur se trouve dans l’incapacité de se déplacer. Si vous voyez ce que je veux dire… »
Au sourire carnassier qu’il affiche, aucun doute: cet enfoiré a buté le dirlot!
« - Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, j’ai le plaisir de vous annoncer que vous êtes mes otages! »
Les murmures se répandent dans la salle, partout les questions fusent. Je reste perplexe au milieu de tout ce bruit.
Je sais très peu de choses: ce type est armé, il a étendu notre directeur et il peut recommencer si ça lui plait!
Hugo s’avance vers le gars sur l’estrade:
« - Hey, vous avez un nom? »
Ta gueule! Si tu veux vivre, ferme ta putain de gueule, Hugo!
« - Moi? Je m’appelle Luciano, et toi?
- OSEF de mon nom fils de pute, tout ce que je sais c’est que toi et tes gorilles avec des armes en plastiques, vous me faites pas peur et… »
Une détonation survient, le côté du genou droit de Hugo explose dans une gerbe de sang. Luciano se tient devant lui, un pistolet au canon fumant à la main. Hugo grogne et tombe à genou:
« - N’insultes plus jamais ma mère, petit con! Sinon, tu ne reverras jamais la tienne!
- Ta gueule, enculé! Tu crois que je vais me taire parce que t’as un flingue? T’as cru, garçon! Putain, j’te vois bander d’ici tellement tu t’sens puissant avec un gun! »
J’ai jamais vu un pied aller si vite que celui de Luciano, ni entendre un tel craquement qu’au moment où le pied s’écrase sur le nez de Hugo. Luciano pointe son flingue sur le nez éclaté de Hugo…
« - NON! … »
Ce cri horrifié venait de la bouche de Marine, une fille de ma classe. La pauvre a perdu une occasion de se taire et elle s’en rend compte… trop tard!
« - Comment ça "non"? » demande Luciano.
Il descend de l’estrade et se tient devant Marine. Elle fui son regard, mais il lui attrape le menton et l’oblige à le regarder dans les yeux.
« - Alors comme ça on supporte pas la vue du sang? »
Marine secoue pitoyablement le tête pendant que Luciano la regarde comme un homme d’affaire regarde son nouveau costume.
Il lui met un coup de poing dans l’estomac. Marine tombe à genou, Luciano attrape son tee-shirt et met une droite à la pauvre fille, elle s’écroule, un peu de sang au bord des lèvres. C’en est trop! Je détourne le regard et je vois que tous les terroristes regardent la scène. Parfait.
Je me glisse doucement sur la droite et tout aussi doucement je passe derrière le rideau qui sert normalement à cacher l’estrade des discours. Je me déplace discrètement et j’arrive dans les coulisses. Par une interstice, je regarde si j’ai été repéré. Mais à part Luciano et cette pauvre Marine, je ne vois rien. Je me dirige vers la sortie et j’ouvre la porte…
Ma classe arrive dans les premières. Sur l’estrade des discours se tiennent deux espèces de gorilles en survêt's et tee-shirts trop grands pour eux et ils ont les mains dans le dos comme des videurs de boites de nuit.
Le directeur n’était nulle part en vue. La salle commence à se remplir et quand elle est pleine, un homme monte sur l’estrade et regarde l’assistance soudain silencieuse:
« - Bien! Puisque tout le monde à l’air d’être là, passons à la suite. »
Alors qu’il frappe dans ses mains, des hommes armés ferment les portes et les condamnes avec des chaînes.
Ma prof regarde l’homme sur l’estrade, à peine un mètre devant elle et demande où est le directeur:
« - Ma chère, notre pauvre directeur se trouve dans l’incapacité de se déplacer. Si vous voyez ce que je veux dire… »
Au sourire carnassier qu’il affiche, aucun doute: cet enfoiré a buté le dirlot!
« - Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, j’ai le plaisir de vous annoncer que vous êtes mes otages! »
Les murmures se répandent dans la salle, partout les questions fusent. Je reste perplexe au milieu de tout ce bruit.
Je sais très peu de choses: ce type est armé, il a étendu notre directeur et il peut recommencer si ça lui plait!
Hugo s’avance vers le gars sur l’estrade:
« - Hey, vous avez un nom? »
Ta gueule! Si tu veux vivre, ferme ta putain de gueule, Hugo!
« - Moi? Je m’appelle Luciano, et toi?
- OSEF de mon nom fils de pute, tout ce que je sais c’est que toi et tes gorilles avec des armes en plastiques, vous me faites pas peur et… »
Une détonation survient, le côté du genou droit de Hugo explose dans une gerbe de sang. Luciano se tient devant lui, un pistolet au canon fumant à la main. Hugo grogne et tombe à genou:
« - N’insultes plus jamais ma mère, petit con! Sinon, tu ne reverras jamais la tienne!
- Ta gueule, enculé! Tu crois que je vais me taire parce que t’as un flingue? T’as cru, garçon! Putain, j’te vois bander d’ici tellement tu t’sens puissant avec un gun! »
J’ai jamais vu un pied aller si vite que celui de Luciano, ni entendre un tel craquement qu’au moment où le pied s’écrase sur le nez de Hugo. Luciano pointe son flingue sur le nez éclaté de Hugo…
« - NON! … »
Ce cri horrifié venait de la bouche de Marine, une fille de ma classe. La pauvre a perdu une occasion de se taire et elle s’en rend compte… trop tard!
« - Comment ça "non"? » demande Luciano.
Il descend de l’estrade et se tient devant Marine. Elle fui son regard, mais il lui attrape le menton et l’oblige à le regarder dans les yeux.
« - Alors comme ça on supporte pas la vue du sang? »
Marine secoue pitoyablement le tête pendant que Luciano la regarde comme un homme d’affaire regarde son nouveau costume.
Il lui met un coup de poing dans l’estomac. Marine tombe à genou, Luciano attrape son tee-shirt et met une droite à la pauvre fille, elle s’écroule, un peu de sang au bord des lèvres. C’en est trop! Je détourne le regard et je vois que tous les terroristes regardent la scène. Parfait.
Je me glisse doucement sur la droite et tout aussi doucement je passe derrière le rideau qui sert normalement à cacher l’estrade des discours. Je me déplace discrètement et j’arrive dans les coulisses. Par une interstice, je regarde si j’ai été repéré. Mais à part Luciano et cette pauvre Marine, je ne vois rien. Je me dirige vers la sortie et j’ouvre la porte…
24/08/09 à 00:12:24
Sweet
23/08/09 à 23:41:27
je gonfle tes com comm sur un sr 1skyblog
23/08/09 à 23:41:06
j'ai recopié tout le texte sans fair éxpré
23/08/09 à 23:40:52
oups
23/08/09 à 23:40:41
Ma classe se dirige vers la salle de sport en bavardant joyeusement. Louper du cours, y a pas mieux pour nouer rendre heureux! Si on savais…
Ma classe arrive dans les premières. Sur l’estrade des discours se tiennent deux espèce de gorilles en survêts et tee-shirts trop grands pour eux et ils ont les mains dans le dos comme des videurs de boites de nuit.
Le directeur n’était nulle part en vue. La salle commençe à se remplir et quand elle est pleine, un homme monte sur l’estrade et regarde l’assista soudain silencieuse:
« - Bien! Puisque tout le monde à l’air d’être là, passons à la suite. »
Alors qu’il frappe dans ses mains, des hommes armés ferment les portes et les condamnes avec des chaînes.
Ma prof regarde l’homme sur l’estrade à a peine un mètre d’elle et demande où est le directeur:
« - Ma chère, notre pauvre directeur se trouve dans l’incapacité de se déplacé. Si vous voyez ce que je veux dire… »
Au sourire carnassier qu’il affiche, aucun doute: cet enfoiré a buté le dirlot!
« - Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, j’ai le plaisir de vous annoncer que vous êtes mes otages! »
Les murmures se répandent dans la salle, partout les questions fusent. Je reste perplexe au milieu de tout se bruit. Je sais très peu de choses: ce type est armé, il a étendu notre directeur et il peut recommencé si ça lui plait!
Hugo s’avance vers le gars sur l’estrade:
« - Hey, vous avez un nom? »
Ta gueule! Si tu veux vivre, ferme ta putain de gueule!
« - Moi? Je m’appelle Luciano, et toi?
- OSEF de mon nom fils de pute, tout ce que je sais c’est toi et tes gorilles avec des armes en plastiques, vous me faites pas peur et… »
Une détonation survient, le côté du genou droit de Hugo explose dans une gerbe de sang. Luciano se tient devant lui, un pistolet au canon fumant à la main. Hugo grogne et tombe à genou:
« - N’insulte plus jamais ma mère, petit con! Sinon, tu ne reverras jamais la tienne!
- Ta gueule enculé! Tu crois que je vais ma taire parce que t’as un flingue? T’as cru, garçon! Putain, j’te vois bander d’ici tellement tu t’sens puissant avec un gun! »
J’ai jamais vu un pied aller si vite que celui de Luciano, ni entendre un tel craquement qu’au moment où le pied s’écrase sur le nez de Hugo. Luciano pointe son flingue sur le nez éclaté de Hugo…
« - NON! … »
Ce cri horrifié venait de la bouche de Marine, une fille de ma classe. La pauvre a perdu une occasion de se taire et elle s’en rend compte… trop tard!
« - Comment ça ‘non‘? » demande Lunciano.
Il descend de l’estrade et se tient devant Marine. Elle fui son regard, mais il lui attrape le menton et l’oblige à le regarder dans les yeux.
« - Alors comme ça on supporte pas la vue du sang? »
Marine secoue pitoyablement le tête pendant que Luciano la regarde comme un homme d’affaire regarde son nouveau costume.
« - T’es pas mal foutue, toi. Déshabille toi! »
Une nouvelle fois, Marine secoue la tête de droite à gauche. L’inconsciente!
« - Non? »
Luciano lui met un coup de poing dans l’estomac. Marine tombe à genou, Luciano attrape son tee-shirt et le déchire.
« - M’obliges pas à faire tout tout seul, tu le regretterait. Et puisque t’es à la bonne hauteur, tu sais ce qu’il te reste à faire. »
Marine se déshabille et une fois nue devant l’assista déboutonne le pantalon de Luciano et… C’en est trop! Je détourne le regard et je vois que tous les gardes regardes la scène. Parfait. Je me glisse doucement sur la droite et tout aussi doucement je passe derrière le rideau qui sert normalement à cacher l’estrade des discours. Je me déplace discrètement et j’arrive dans les coulisses. Par une interstice, je regarde si j’ai été repéré mais à part Luciano et cette pauvre Marine, je ne vois rien. Je me dirige vers la sortie et j’ouvre la porte…
La salle commençe à se remplir et
« - Comment ça ‘non‘? » demande Lunciano. (Lunciano et ')
Louper du cours, y a pas mieux pour nouer rendre heureux
23/08/09 à 23:05:19
Si c'est pour les fautes de français, c'est fait exprès: je veux que sa passe pour les pensées des persos. Si c'est pas de ça que tu parlais, bah, pourtant j'ai le correcteur...
23/08/09 à 22:58:02
.. encore plus puisque j'ai mis le lien du com directement
23/08/09 à 22:57:31
Putain chui fatigué..
http://www.noelfic.fr/voir_com.php?chap=11903
23/08/09 à 22:57:16
Regarde mes commentaires dans le 1er chapitre. Retiens ce que j'y ai dis pour les fautes.
23/08/09 à 22:47:36
tu clique sur administration en haut à droite
23/08/09 à 22:46:26
comment faire pour poster la suite d'une fic?
23/08/09 à 22:42:48
Aïe! Désolé pour les fautes, mais je suis pas un PGM en orthographe. Et oui, la suite est prévue pour demain!
23/08/09 à 22:40:57
Y a trop de fautes et d'oublis...
La sweet demain, hein ?
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