Je suis un looser.
Par : Pseudoencartoon
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 19
Publié le 07/09/17 à 23:17:26 par Pseudoencartoon
La ville où nous étions se faisait raser par les vaisseaux.
- On se barre ? dis-je.
- On a pas le choix.
- T'as une arme à me filer au moins ?
William sortit quelques secondes de la pièce avant d'en revenir avec un fusil d'assaut dans les mains.
- Un M4a1 de l'armée américaine. dit-il fièrement.
- Il ressemble à celui de "Je suis une légende"
Me ressaisissant je lui déclarai :
- Mais nos armes sont inefficaces faces à vos troupes.
- T'inquiètes, je l'ai un peu customisé : aucun recul, triplement de la vitesse des balles, balles en admonite, un métal de chez nous, poids divisé par 3 et aucun problème de précision. Tu tires où tu vises.
Perso, je préfère vos armes, elles sont beaucoup plus classes que les nôtres.
- File-moi ça.
Il me tendit l'arme avec 5 chargeurs et un sac. Je les rangeai dedans, et prit l'arme à la main.
- J'ai jamais tiré.
- T'en fais pas, il est super facile à prendre en main. me rassura William.
Nous sortîmes dehors. Des cadavres jonchaient les rues. On pouvait identifier certain comme des hommes ou des femmes mais la plupart étaient éclaboussés de tellement de sang qu'on ne pouvait pas le savoir. Il n'était également pas rare de voir le haut d'un corps séparé du bas et les 2 moitiés distantes de 10 mètres, découpées par les fouets lasers des Remags. Après le carnage de Paris, j'étais étonnement stoïque devant pareille boucherie.
Nous traversions une rue plus propre (moins sale) que les autres. Seuls 2 ou 3 cadavres la remplissait. J'arrivai devant un grand bâtiment faisant penser à une école. Pendant ce temps, William m'expliquait qu'il avait sa navette cachée en dehors de la ville. Il nous restait quelque kilomètres à parcourir pour l'atteindre.
- Au moins nous n'avons pas encore rencontré de forces armées. Et... OH ! Quel con !
L'extraterrestre reprit sa forme humaine. Il ne se rendit pas compte que je m'étais arrêté devant l'école. Il me rejoignit.
- Oh ! Mec ! Faut qu'on y aille !
- Sais-tu dans quel ville nous sommes ? demandai-je en tremblant.
- Je sais pas, je prête pas attention. Mais on est dans le centre du pays. Pourquoi ?
Je me mis à courir.
- Hé ! Attend-moi !
Le collège devant lequel je m'étais arrêté s'appelait Montaigne.
- On se barre ? dis-je.
- On a pas le choix.
- T'as une arme à me filer au moins ?
William sortit quelques secondes de la pièce avant d'en revenir avec un fusil d'assaut dans les mains.
- Un M4a1 de l'armée américaine. dit-il fièrement.
- Il ressemble à celui de "Je suis une légende"
Me ressaisissant je lui déclarai :
- Mais nos armes sont inefficaces faces à vos troupes.
- T'inquiètes, je l'ai un peu customisé : aucun recul, triplement de la vitesse des balles, balles en admonite, un métal de chez nous, poids divisé par 3 et aucun problème de précision. Tu tires où tu vises.
Perso, je préfère vos armes, elles sont beaucoup plus classes que les nôtres.
- File-moi ça.
Il me tendit l'arme avec 5 chargeurs et un sac. Je les rangeai dedans, et prit l'arme à la main.
- J'ai jamais tiré.
- T'en fais pas, il est super facile à prendre en main. me rassura William.
Nous sortîmes dehors. Des cadavres jonchaient les rues. On pouvait identifier certain comme des hommes ou des femmes mais la plupart étaient éclaboussés de tellement de sang qu'on ne pouvait pas le savoir. Il n'était également pas rare de voir le haut d'un corps séparé du bas et les 2 moitiés distantes de 10 mètres, découpées par les fouets lasers des Remags. Après le carnage de Paris, j'étais étonnement stoïque devant pareille boucherie.
Nous traversions une rue plus propre (moins sale) que les autres. Seuls 2 ou 3 cadavres la remplissait. J'arrivai devant un grand bâtiment faisant penser à une école. Pendant ce temps, William m'expliquait qu'il avait sa navette cachée en dehors de la ville. Il nous restait quelque kilomètres à parcourir pour l'atteindre.
- Au moins nous n'avons pas encore rencontré de forces armées. Et... OH ! Quel con !
L'extraterrestre reprit sa forme humaine. Il ne se rendit pas compte que je m'étais arrêté devant l'école. Il me rejoignit.
- Oh ! Mec ! Faut qu'on y aille !
- Sais-tu dans quel ville nous sommes ? demandai-je en tremblant.
- Je sais pas, je prête pas attention. Mais on est dans le centre du pays. Pourquoi ?
Je me mis à courir.
- Hé ! Attend-moi !
Le collège devant lequel je m'étais arrêté s'appelait Montaigne.
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