LA PENSÉEDEO DU JOUR : 10 Avril 2009.

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Aller chez le coiffeur.... gnaaaa, expérience très éprouvante pour mon esprit de Nolife.
J'aime pas, j'aime pas, j'aime pas.
En plus quand je prend un rendez- vous j'ai toujours l'impression d'appeler une maison close.

"- Vous voulez que se soit qui qui s'occupe de vous ? "

Alors moi je choisis toujours la blondasse au décolleté plongeant, celle qui vient juste de sortir de CAP coiffure et qui confond le sèche-cheveux et le peigne.

Nan en réalité je choisis toujours le "gars".

Donc je prend un rendez-vous, et je me pointe le jour-j. Le début de la galère commence...

Déjà, première loi de Murphy, quand on arrive il y a minimum 30 minutes d'attente.
Super... si vous avez fait la connerie d'oublier votre Ipod z'êtes mort.
Il ne vous reste plus que deux choix :

- Être assis sur la banquette et regarder en l'air pendant une demi-heure comme un autiste.

- Être assis sur la banquette et lire les magazines intéressants qui sont mis à votre disposition.

Pour moi c'est ça.. sauf que c'est encore pire. Le vice est poussé.
Exact, dans ce putain de salon de coiffure il y a un Super Picsou Geant posé sur la bas de la pile. Le truc c'est que moi j'adore ça, mais que si je le lis c'est la honte suprême.
Donc je fourre mon nez dans un Femme Actuelle en rageant de l'anus.

Une fois cette loooonnngguuues demi-heure passionnante où j'ai appris comment prendre la pilule correctement de passé, je suis enfin sollicité par une jeune stagiaire qui m'amène une belle grosse robe noire.
Ceci annonce l'arrivée ultime du lavage de tête.
J'oublie tout le temps de me laver les cheveux avant.
A chaque fois la pauvre fille qui fait les shampoings a de belles surprise.
(La dernière fois elle a faillit se faire bouffer les doigts par une bête encore non-identifiée par la science. )

Donc, la belle commence à me mouiller les cheveux, celle-ci est nouvelle, elle ne me connait pas. Au bout de 20 secondes, l'eau devenant jaune, elle commence à prendre conscience des dégâts.

"Ça va c'est pas trop chaud ? "
"Ça va. "

J'aime bien le shampoing moi.

La meuf qui a jamais vu ça de tout son CAP en plastique, panique et va appeler ses supérieurs. Là ils sortent un vieux shampoing russe à la cacahuète de leur vieux local.

La pouf m'en étale trois tonnes, me masse (Ruine ses mains à vie par la même occasionne) et me rince. (Quelques mois plus tard, la station d'épuration portera plainte. )

"Ça va c'est pas trop chaud ? "

Après ce doux plaisirs, vint le moment tant redouté et détesté.
La coupe.

Mais ça c'est pour demain les cocos.

La vidéo du jour :

http://www.dailymotion.com/video/x6fp8u_morsaymon-audible_fun