Ma coloc', cette folle
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental , Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 29
Publié le 05/08/14 à 03:25:35 par LePatriarche
Habillée d'un minishort moulant son petit cul très légèrement bombé et d'un t-shirt jaune sans manche laissant apercevoir ces douces épaules blanches, Cécilia semble dérangée par ma venue.
- Alors ? Tu voulais juste une baffe et repartir hein ?
Elle a pas l'air commode. M'enfin, j'lui ai "pris" sa copine en même temps, ça peut se comprendre. Je suis aussi surpris qu'énervé par sa réaction, je voulais faire preuve de sympathie et de bon-sens pour l'aider, et avant même que je ne puisse exposer mes intentions, elle m'explose d'une baffe. Charmant.
Une envie de lui gueuler dessus ou encore de lui faire la morale me prend dans un premier temps, mais c'est la solution de facilitée. La première qui me vient à l'esprit généralement. C'est la mauvaise solution. Avec les filles, faut se montrer assez flou sur nos sentiments, nos intentions, ne pas laisser paraitre ce qui est négatif, ne jamais transmettre sa mauvaise humeur à une demoiselle, c'est une devise pour moi. Pour la simple et bonne raison que je ne peux pas me permettre de perdre la face, ça fait mauvais genre, et j'aime trop Ego pour être rabaisser au rang de "plaignant" ou "pleurnichard".
Bon ok voyons ça du point de vue de Raison : Garde ta rancune pour après, et fais ce pourquoi tu es venu. Raison ne m'a jamais trahi, il sait me donner les bons conseils pour pas faire de conneries...
- Alors ? Tu compte rester planter là encore longtemps ? Tu peux t'en aller hein !
Fidélité veut l'humilier pour ce ton condescendant, il hurle depuis le fond de sa niche :"T'es bonne ! T'es plate mais bonne !!". Le con veut se promener mais c'est ni le moment ni l'endroit, allez, à la niche ! ! Il est intenable celui-là.
- Je vois très bien que tu me méprise, mais attends un peu, je pouvais pas savoir moi ! Dis moi comment je peux le deviner ? C'est pas évident, c'est pas moi qu'il faut blâmer, c'est Sabrina ( oups merde ça fait lâche dis comme ça ), non. En fait ce que j'veux dire, c'est que Sabrina regrette ce qu'elle a fait hier. Sous le coup de la panique et du manque, elle m'a sauté dans les bras, rien de plus ( bon on va pas lui dire que Fidélité s'est promené sur le corps de sa dulcinée quand même )
-...
Elle reste un instant passive. Après quelques secondes, elle se décide à me laisser ouvrir, je pars m'asseoir dans son charmant petit jardin en félicitant celui qui l'entretient, en tout cas, c'est hyper plaisant de s'y poser l'été, l'herbe est fraiche et humide, ça rafraichit les miches d'un coup.
Alors que je suis assis parterre en l'attendant, elle fit de même, se posant juste à coté de moi.
Je déballe mon argumentaire préparé au cours du trajet jusqu'ici, comme quoi ce serait dommage de mettre fin à une relation aussi intense que la leur à cause d'un quiproquo, que les couples les plus forts se relèvent malgré tout, vivant ces difficultés comme des tests, des obstacles à enjamber pour être plus fort, forgeant ainsi le caractère des deux partenaires pour la suite de leur vie commune.
Je lui parle ensuite de Sabrina, ce qu'elle ressent, son caractère changeant et lunatique, qu'elle n'avait pas autrefois me précise la séduisante fille d'un mètre 75 assise à mes cotés. J'utilise ce qu'elle me dit pour rebondir dessus, lui montrant bien que c'est une preuve d'amour de Sabrina envers elle, que l'éloignement dont Cécilia a fait preuve a mal été vécu par ma propre coloc', montrant ainsi les réels sentiments qu'elle avait et qui existe toujours, l'amour perturbe notre sens critique, et c'est ce qui arrive à Sabrina en ce moment là.
Après une dizaine de minutes où Cécilia me fait aussi part de ces inquiétudes, on arrive finalement à un accord. Elle consent à revoir Sabrina, cool ! Finalement j'ai réussi mon coup, ça valait bien la peine d'écraser ma fierté et mon orgueil après sa gifle pour arriver à se résultat, tant mieux.
Sans même rester plus longtemps chez elle à réfléchir, Cécilia prend son sac à main et se décide à me rejoindre à l'appart, en tong, t-shirt et minishort très très court, ces cuisses ravissantes sont dévoilés à tout le monde, pour le plus grand plaisir de Fidélité, qui me remercie de mes efforts, c'est rare qu'il donne sa bénédiction.
Après un trajet assez long où on discute un peu de nous deux, nos rêves, nos envies et tout ça, on arrive devant l'appart. Je la sens très enthousiaste à l'idée de retrouver sa copine, elle a l'air à l'aise de nouveau et non renfermée sur elle-même comme hier ou encore tout à l'heure, elle est vraiment hyper mignonne quand elle sourit, ça fait plaisir de savoir que c'est grâce à moi... Ego, une autre de mes facettes, adore ramener tous les succès à sa personne, vraiment, ils sont tous agités ces temps-ci...
J'ouvre la porte doucement. Furtivement, j'imagine Sabrina se faire déboiter l'anus par un grand black d'1,90m pour calmer sa peine à tout jamais, sous les yeux ébahis de moi et de Cécilia, ces deux précédentes "conquêtes"... Maintenant le Spielberg en moi commence à déconner aussi...
Bref, la porte s'ouvre, Sabrina est assise dans le salon, en faisant la mou, je viens la voir, et quelques secondes après, Cécilia entre aussi, affichant un grand sourire provocateur, la mine de Sabrina change instantanément. Elle me regarde d'abord incomprise, puise lève rapidement pour se jeter dans les bras de sa copine. J'ai pu tirer un coup et réconcilier deux filles en perte de vitesse en même pas un jour, la classe.
Après ces retrouvailles chaleureuses, les deux filles viennent s'asseoir à coté de moi, l'une à ma droite, l'autre à ma gauche, et chacune m'embrasse sur la joue. Sous le coup de la stupeur, c'est limite mes joues s'affolent et deviennent rouge, et je me décide de briser ce silence gênant pour moi :
- Je me souviens d'un pari où deux personnes devaient obéir au gagnant... Au final fallait dormir dans son lit mais on a pas eu le temps de le faire...
- Alors ça te dit qu'on aille se coucher maintenant Cécilia ?
- Ouais carrément, je suis exténuée en plus.
- Prévenez moi de vous réconcilier souvent alors.
- C'est pas un plan à 3, juste dormir ensemble cette nuit comme convenu hier, rien de plus... Précise Cécilia, joueuse sur le coup, mais pas énormément non plus.
Les deux sont contentes de se retrouver, et moi je suis content de les retrouver dans mon lit ce soir. Putain que rêvez de plus beau ?
- Alors ? Tu voulais juste une baffe et repartir hein ?
Elle a pas l'air commode. M'enfin, j'lui ai "pris" sa copine en même temps, ça peut se comprendre. Je suis aussi surpris qu'énervé par sa réaction, je voulais faire preuve de sympathie et de bon-sens pour l'aider, et avant même que je ne puisse exposer mes intentions, elle m'explose d'une baffe. Charmant.
Une envie de lui gueuler dessus ou encore de lui faire la morale me prend dans un premier temps, mais c'est la solution de facilitée. La première qui me vient à l'esprit généralement. C'est la mauvaise solution. Avec les filles, faut se montrer assez flou sur nos sentiments, nos intentions, ne pas laisser paraitre ce qui est négatif, ne jamais transmettre sa mauvaise humeur à une demoiselle, c'est une devise pour moi. Pour la simple et bonne raison que je ne peux pas me permettre de perdre la face, ça fait mauvais genre, et j'aime trop Ego pour être rabaisser au rang de "plaignant" ou "pleurnichard".
Bon ok voyons ça du point de vue de Raison : Garde ta rancune pour après, et fais ce pourquoi tu es venu. Raison ne m'a jamais trahi, il sait me donner les bons conseils pour pas faire de conneries...
- Alors ? Tu compte rester planter là encore longtemps ? Tu peux t'en aller hein !
Fidélité veut l'humilier pour ce ton condescendant, il hurle depuis le fond de sa niche :"T'es bonne ! T'es plate mais bonne !!". Le con veut se promener mais c'est ni le moment ni l'endroit, allez, à la niche ! ! Il est intenable celui-là.
- Je vois très bien que tu me méprise, mais attends un peu, je pouvais pas savoir moi ! Dis moi comment je peux le deviner ? C'est pas évident, c'est pas moi qu'il faut blâmer, c'est Sabrina ( oups merde ça fait lâche dis comme ça ), non. En fait ce que j'veux dire, c'est que Sabrina regrette ce qu'elle a fait hier. Sous le coup de la panique et du manque, elle m'a sauté dans les bras, rien de plus ( bon on va pas lui dire que Fidélité s'est promené sur le corps de sa dulcinée quand même )
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Elle reste un instant passive. Après quelques secondes, elle se décide à me laisser ouvrir, je pars m'asseoir dans son charmant petit jardin en félicitant celui qui l'entretient, en tout cas, c'est hyper plaisant de s'y poser l'été, l'herbe est fraiche et humide, ça rafraichit les miches d'un coup.
Alors que je suis assis parterre en l'attendant, elle fit de même, se posant juste à coté de moi.
Je déballe mon argumentaire préparé au cours du trajet jusqu'ici, comme quoi ce serait dommage de mettre fin à une relation aussi intense que la leur à cause d'un quiproquo, que les couples les plus forts se relèvent malgré tout, vivant ces difficultés comme des tests, des obstacles à enjamber pour être plus fort, forgeant ainsi le caractère des deux partenaires pour la suite de leur vie commune.
Je lui parle ensuite de Sabrina, ce qu'elle ressent, son caractère changeant et lunatique, qu'elle n'avait pas autrefois me précise la séduisante fille d'un mètre 75 assise à mes cotés. J'utilise ce qu'elle me dit pour rebondir dessus, lui montrant bien que c'est une preuve d'amour de Sabrina envers elle, que l'éloignement dont Cécilia a fait preuve a mal été vécu par ma propre coloc', montrant ainsi les réels sentiments qu'elle avait et qui existe toujours, l'amour perturbe notre sens critique, et c'est ce qui arrive à Sabrina en ce moment là.
Après une dizaine de minutes où Cécilia me fait aussi part de ces inquiétudes, on arrive finalement à un accord. Elle consent à revoir Sabrina, cool ! Finalement j'ai réussi mon coup, ça valait bien la peine d'écraser ma fierté et mon orgueil après sa gifle pour arriver à se résultat, tant mieux.
Sans même rester plus longtemps chez elle à réfléchir, Cécilia prend son sac à main et se décide à me rejoindre à l'appart, en tong, t-shirt et minishort très très court, ces cuisses ravissantes sont dévoilés à tout le monde, pour le plus grand plaisir de Fidélité, qui me remercie de mes efforts, c'est rare qu'il donne sa bénédiction.
Après un trajet assez long où on discute un peu de nous deux, nos rêves, nos envies et tout ça, on arrive devant l'appart. Je la sens très enthousiaste à l'idée de retrouver sa copine, elle a l'air à l'aise de nouveau et non renfermée sur elle-même comme hier ou encore tout à l'heure, elle est vraiment hyper mignonne quand elle sourit, ça fait plaisir de savoir que c'est grâce à moi... Ego, une autre de mes facettes, adore ramener tous les succès à sa personne, vraiment, ils sont tous agités ces temps-ci...
J'ouvre la porte doucement. Furtivement, j'imagine Sabrina se faire déboiter l'anus par un grand black d'1,90m pour calmer sa peine à tout jamais, sous les yeux ébahis de moi et de Cécilia, ces deux précédentes "conquêtes"... Maintenant le Spielberg en moi commence à déconner aussi...
Bref, la porte s'ouvre, Sabrina est assise dans le salon, en faisant la mou, je viens la voir, et quelques secondes après, Cécilia entre aussi, affichant un grand sourire provocateur, la mine de Sabrina change instantanément. Elle me regarde d'abord incomprise, puise lève rapidement pour se jeter dans les bras de sa copine. J'ai pu tirer un coup et réconcilier deux filles en perte de vitesse en même pas un jour, la classe.
Après ces retrouvailles chaleureuses, les deux filles viennent s'asseoir à coté de moi, l'une à ma droite, l'autre à ma gauche, et chacune m'embrasse sur la joue. Sous le coup de la stupeur, c'est limite mes joues s'affolent et deviennent rouge, et je me décide de briser ce silence gênant pour moi :
- Je me souviens d'un pari où deux personnes devaient obéir au gagnant... Au final fallait dormir dans son lit mais on a pas eu le temps de le faire...
- Alors ça te dit qu'on aille se coucher maintenant Cécilia ?
- Ouais carrément, je suis exténuée en plus.
- Prévenez moi de vous réconcilier souvent alors.
- C'est pas un plan à 3, juste dormir ensemble cette nuit comme convenu hier, rien de plus... Précise Cécilia, joueuse sur le coup, mais pas énormément non plus.
Les deux sont contentes de se retrouver, et moi je suis content de les retrouver dans mon lit ce soir. Putain que rêvez de plus beau ?
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