Chloe et moi
Par : 5xBan
Genre : Sentimental , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 20
Je ne suis pas prêt pour cela.
Publié le 29/08/15 à 08:56:11 par 5xBan
- Votre fille ? Répétai-je ayant du mal a tenir debout
- Oui ma fille, enfin c’était la fille de mon fils mais pour moi je la considère comme ma propre fille.
Je remarquai qu'il avait employé le passé en parlant de son fils et décidai donc de ne pas m’étendre sur ce sujet.
Je pouvais d'ailleurs voir a sa tête qu'il tentait de ne pas y penser.
- Très bien, je vais retourner avec les autres alors. Lui dit-je concluant notre conversation.
Tournant les talons, j’étais en train de m’éloigner quand il me dit :
- Chloé est tout ce qu'il me reste, je suis au moins content de savoir qu'elle est avec une bonne compagnie.
Je ne me retournais pas pour lui répondre et me contentai de hocher simplement la tête en signe de remerciement.
Aussi étrange que cela puisse l’être je ne savais plus ou j'en étais.
Contrairement a ce que mes agissements pouvait laisser penser je n’étais pas quelqu'un de violent, je n'aspirais qu'a la paix et au calme, et cette simple déclaration de mon ancien professeur suffit a me faire hésiter. Ça avait toujours été mon gros problème.. d'avoir pitié de tout.
Retrouvant Chloé est les autres je n’étais pas d'humeur a jouer et rire, j’étais fatigué, c’était le mot, j’étais fatigué ...las et épuisé.
J'avais l'impression d’être une âme ayant déjà trop vécu mais qu'on avait remis dans un nouveau corps pour une nouvelle vie.
Est-ce a ça que Mars m'avait condamné ?
Une lassitude de la vie, l'envie d'en terminer pour pouvoir enfin cesser de faire des cauchemars et de souffrir ?
Même dans le passé au final je restais le même, ce qu'il s’était passé qu'il soit modifié ou pas resterais gravé dans ma tête et rien ne pourrait y changer quoi que ce soit.
J'avais même envie de revenir dans ma réalité a moins, rien de tout ce qui était ici ne faisait partit de ma vie, mes amis allaient bientôt mourir et j'aurais du avec eux.
Plongée dans mes pensées, je me pris une gorgée du coca que je m’étais versé avant que le prof ne m'appelle et m’interpella sur son goût puis me rendis compte que ce n’était plus le même liquide.
Et c'est la que je vis Chloé assise a coté de moi comme toujours qui la ou je pensais qu'elle me regardait bêtement attendait en fait depuis le début que je bois dans ce verre.
Souriant a pleine dents elle me dit :
-Tu m'a bien eu, c’était pas pourrie, je t'en ai mis dans ton verre et tu n'a même pas vu la différence.
Elle partit alors dans un petit rire triomphant tandis.
Pour ma part j’étais en train de m'effondrer sur place.
Pris de panique je lançai le verre le plus loin possible, il s'envola quelques mètres puis s’écrasa sur l'herbe un peu plus loin.
Ce qui eut pour effet de stopper net le rire de Chloé.
Je me levai de ma place en bousculant tout ceux qui se trouvait sur mes cotés y compris Chloé.
-Oh ça va Joëlle, je ne savais pas que tu n'aimais pas le ...
Je la coupai dans sa phrase lui hurlant dessus.
-Espèce de salope, te rend tu seulement compte de ce que tu viens de faire ! Tu m'a condamner avec vous.
Elle ne comprit évidemment pas grand chose de ce que je venais de lui dire, mais tout le groupe me regardait maintenant fixement se demandant pourquoi j’étais comme cela sûrement.
Le prof ne tarda pas a venir ameuté par tout le bruit que je faisais.
En l'apercevant je ne réfléchis même pas et courut en flèche devant moi le bousculant sur ma route.
Tant pis pour les autres, tant pis pour Chloé, je devais me sauver.
Mais alors que j'avais fais quelques mètres après avoir dépassé Mars je sentis que le produit commençait a faire effet.
Ma vue se troubla et mes jambes eurent de plus en plus de mal a me supporter, je ralentis également mon rythme puisé de toutes mes forces. Pris d'une rage contre moi même je me forçai tant bien que mal a continuer.
« Je ne veux pas revivre ça, je n'en suis pas capable, avance bordel, avance »
Mais rien n'y fit et je m'effondrai bientôt a bout de force sur le sol mou et humide des petits bois.
J'entendis très clairement des bruits de pas se rapprochant de moi alors que je perdais connaissance.
Et la boucle se répéta.
Je ne repris connaissance que bien plus tard.
La salle, les autres pleurant a chaudes larmes, le professeur en pleine psychose, tout était exactement comme avant.
La différence, c'est qu'aujourd'hui, j'avais 18 ans, je n’étais plus un enfant. Et avec cet age certains détails qui m'avait autrefois échappé m'apparaissait aujourd'hui comme une évidence.
La salle était une sorte de débarras étrange, le détail insolite c'est qu'il n'y avait aucune porte nul part.
Comme si nous avions était enfermé dans une pièce bétonné.
En fait si, il y avait un renfoncement dans l'un des murs mais elle aussi se terminait par un mur comme si l'on y avait placé des briques, sauf que ce mur la semblait plus ... instable que les autres.
La pièce ne comportait que quelques caisses éventrées gisant ici et la et une seul étagère sans rien dessus.
Mais tout était pareil, nous étions de nouveau ligotés et mis dans un coin de la pièce, me tournant pour voir les autres je constatais que Chloé n’était pas la.
Puis Mars apparut de je ne sais ou, je pouvais voir sur son visage une sorte de détermination forcée... est ce qu'il ...regrettait ce qu'il allait faire ?
Avant qu'il n'attrape le premier d'entre nous je m'adressai tout de suite a lui.
-Monsieur Mars, il faut que ça cesse vous ne comprenez pas !
Il ne répondit même pas et continua sur son élan.
-Je ne suis pas le Joëlle que vous connaissez, vous parliez de mon soudain gain de maturité, eh bien il n'est pas du au hasard.
Cette fois ci, il se stoppa quelques instants, et me fixa dans le blanc des yeux d'un regard que rien ne semblait pouvoir perturber.
-Ce que je vais vous dire va vous semblez dur a croire. Commençai-je. Mais je viens du futur en quelques sortes.
A peine eus-je prononcé le mot « futur » qu'il se désintéressa tout de suite de moi et saisit le premier de notre groupe qui se débattit en hurlant.
-Je sais que c'est difficile a croire, mais alors comment expliquez vous le fait qu'un gamin de mon age utilise un vocabulaire aussi compliqué ?
-Tu raconte n'importe quoi. C'est tout ce que j'eus comme réponse
-Je viens d'un futur ou vos actes ont bousillés ma vie, un monde ou je n'arrive plus a vivre correctement traumatisé par ce qu'il se passe en ce moment même aujourd'hui dans cette putain de pièce. Lui dis-je en haussant le ton sur son obstination a ne pas m’écouter.
Mais non, malgré tout ce que je pus lui dire, il enfonça tout de même sa lame comme il l'avait fait par le passé et les cris qui me hantaient tellement revinrent a la vie.
Je détournai le regard ne pouvant supporter la vue.
-Je ne comprend pas comment quelqu'un comme vous peut être une pourriture pareil ? Osais-je lui dire.
Ma remarque le fit réagir, il jeta le cadavre de ce qui fut mon ami comme un vulgaire sac et se rapprocha de moi la lame dégoulinante de sang et main.
M'attrapant férocement, il me malmena sur quelques mètres puis me plaça la lame juste au niveau de ma gorge.
-Qu'est ce que tu a dis ? Grogna-il d'un air menaçant.
-J'ai passé la journée a vous observez et chaque fois j'y ai vu un homme bon et généreux, j'ai vu l'homme que j'ai autrefois admiré alors je me demande aujourd'hui ce qui a pu tant vous changer.
Il ne resta pas indifférent, et abaissa la lame fixant le vide comme il l'avait fait tout a l'heure, j'y vu une sorte de lueur d'espoir, un moyen de l’empêcher de faire une connerie.
-Vous n’êtes pas comme ça Monsieur Mars.
Je fis exprès de l'appeler comme j'avais eu l'habitude de le faire pour éveiller en lui ce qui restait d'humain, tout nos bons souvenirs ne devait pas lui être indifférent j'en étais sur désormais.
-Vous allez bousillez votre vie et la notre en faisant cela, mais rien n'est encore trop tard, vous posez cette lame et nous pourrons en discuter.
Même si c’était moche je faisais abstraction du corps de mon ami qui gisait plus loin, il n’était pas temps de l’énerver d'avantage.
-Tu ne comprend pas Joëlle, pas encore tout du moins. Dit-il en réponse.
Et a cet instant tout la haine qu'il avait s'enflamma de nouveau et il leva de nouveau sa lame.
-Vous voulez me tuez ? Eh bien va y putain de vieillard, tu ne te rend pas compte du service que tu me rendra en m’épargnant la misérable vie qui m'attend a cause du fait que TU étais un putain de psycho pas capable de contrôler ses pulsions meurtrières.
J’éclatai moi aussi de rage contre cet enfoiré qui ne voulait rien comprendre, j’étais pourtant sur d'y avoir vu une lueur d'espoir, mais ça n'avait pas duré longtemps.
Et ma demande, il l'accepta sans réfléchir.
Il enfonça la lame dans ma gorge, sentant le morceau de métal dans mon gosier, je m'accrocha a sa main tentant de le faire reculer mais avec mes maigres forces rien n'y fit.
La lame se cala encore plus loin, et quand a moi je sentis un froid m'envahir tout le corps.
La douleur était tel que je ne la ressentais même plus.
Quand mon corps ne répondit plus ne laissant que mes yeux pour voir, Mars me lâcha enfin, je m'effondrai comme un pantin désarticulé, la dernière chose que je vis c’était mon groupe qui me regarda d'un air horrifié, le visage gonflé par les larmes.
Et tout doucement je fermai les yeux, le froid laissant place a la chaleur et a l'obscurité...
- Oui ma fille, enfin c’était la fille de mon fils mais pour moi je la considère comme ma propre fille.
Je remarquai qu'il avait employé le passé en parlant de son fils et décidai donc de ne pas m’étendre sur ce sujet.
Je pouvais d'ailleurs voir a sa tête qu'il tentait de ne pas y penser.
- Très bien, je vais retourner avec les autres alors. Lui dit-je concluant notre conversation.
Tournant les talons, j’étais en train de m’éloigner quand il me dit :
- Chloé est tout ce qu'il me reste, je suis au moins content de savoir qu'elle est avec une bonne compagnie.
Je ne me retournais pas pour lui répondre et me contentai de hocher simplement la tête en signe de remerciement.
Aussi étrange que cela puisse l’être je ne savais plus ou j'en étais.
Contrairement a ce que mes agissements pouvait laisser penser je n’étais pas quelqu'un de violent, je n'aspirais qu'a la paix et au calme, et cette simple déclaration de mon ancien professeur suffit a me faire hésiter. Ça avait toujours été mon gros problème.. d'avoir pitié de tout.
Retrouvant Chloé est les autres je n’étais pas d'humeur a jouer et rire, j’étais fatigué, c’était le mot, j’étais fatigué ...las et épuisé.
J'avais l'impression d’être une âme ayant déjà trop vécu mais qu'on avait remis dans un nouveau corps pour une nouvelle vie.
Est-ce a ça que Mars m'avait condamné ?
Une lassitude de la vie, l'envie d'en terminer pour pouvoir enfin cesser de faire des cauchemars et de souffrir ?
Même dans le passé au final je restais le même, ce qu'il s’était passé qu'il soit modifié ou pas resterais gravé dans ma tête et rien ne pourrait y changer quoi que ce soit.
J'avais même envie de revenir dans ma réalité a moins, rien de tout ce qui était ici ne faisait partit de ma vie, mes amis allaient bientôt mourir et j'aurais du avec eux.
Plongée dans mes pensées, je me pris une gorgée du coca que je m’étais versé avant que le prof ne m'appelle et m’interpella sur son goût puis me rendis compte que ce n’était plus le même liquide.
Et c'est la que je vis Chloé assise a coté de moi comme toujours qui la ou je pensais qu'elle me regardait bêtement attendait en fait depuis le début que je bois dans ce verre.
Souriant a pleine dents elle me dit :
-Tu m'a bien eu, c’était pas pourrie, je t'en ai mis dans ton verre et tu n'a même pas vu la différence.
Elle partit alors dans un petit rire triomphant tandis.
Pour ma part j’étais en train de m'effondrer sur place.
Pris de panique je lançai le verre le plus loin possible, il s'envola quelques mètres puis s’écrasa sur l'herbe un peu plus loin.
Ce qui eut pour effet de stopper net le rire de Chloé.
Je me levai de ma place en bousculant tout ceux qui se trouvait sur mes cotés y compris Chloé.
-Oh ça va Joëlle, je ne savais pas que tu n'aimais pas le ...
Je la coupai dans sa phrase lui hurlant dessus.
-Espèce de salope, te rend tu seulement compte de ce que tu viens de faire ! Tu m'a condamner avec vous.
Elle ne comprit évidemment pas grand chose de ce que je venais de lui dire, mais tout le groupe me regardait maintenant fixement se demandant pourquoi j’étais comme cela sûrement.
Le prof ne tarda pas a venir ameuté par tout le bruit que je faisais.
En l'apercevant je ne réfléchis même pas et courut en flèche devant moi le bousculant sur ma route.
Tant pis pour les autres, tant pis pour Chloé, je devais me sauver.
Mais alors que j'avais fais quelques mètres après avoir dépassé Mars je sentis que le produit commençait a faire effet.
Ma vue se troubla et mes jambes eurent de plus en plus de mal a me supporter, je ralentis également mon rythme puisé de toutes mes forces. Pris d'une rage contre moi même je me forçai tant bien que mal a continuer.
« Je ne veux pas revivre ça, je n'en suis pas capable, avance bordel, avance »
Mais rien n'y fit et je m'effondrai bientôt a bout de force sur le sol mou et humide des petits bois.
J'entendis très clairement des bruits de pas se rapprochant de moi alors que je perdais connaissance.
Et la boucle se répéta.
Je ne repris connaissance que bien plus tard.
La salle, les autres pleurant a chaudes larmes, le professeur en pleine psychose, tout était exactement comme avant.
La différence, c'est qu'aujourd'hui, j'avais 18 ans, je n’étais plus un enfant. Et avec cet age certains détails qui m'avait autrefois échappé m'apparaissait aujourd'hui comme une évidence.
La salle était une sorte de débarras étrange, le détail insolite c'est qu'il n'y avait aucune porte nul part.
Comme si nous avions était enfermé dans une pièce bétonné.
En fait si, il y avait un renfoncement dans l'un des murs mais elle aussi se terminait par un mur comme si l'on y avait placé des briques, sauf que ce mur la semblait plus ... instable que les autres.
La pièce ne comportait que quelques caisses éventrées gisant ici et la et une seul étagère sans rien dessus.
Mais tout était pareil, nous étions de nouveau ligotés et mis dans un coin de la pièce, me tournant pour voir les autres je constatais que Chloé n’était pas la.
Puis Mars apparut de je ne sais ou, je pouvais voir sur son visage une sorte de détermination forcée... est ce qu'il ...regrettait ce qu'il allait faire ?
Avant qu'il n'attrape le premier d'entre nous je m'adressai tout de suite a lui.
-Monsieur Mars, il faut que ça cesse vous ne comprenez pas !
Il ne répondit même pas et continua sur son élan.
-Je ne suis pas le Joëlle que vous connaissez, vous parliez de mon soudain gain de maturité, eh bien il n'est pas du au hasard.
Cette fois ci, il se stoppa quelques instants, et me fixa dans le blanc des yeux d'un regard que rien ne semblait pouvoir perturber.
-Ce que je vais vous dire va vous semblez dur a croire. Commençai-je. Mais je viens du futur en quelques sortes.
A peine eus-je prononcé le mot « futur » qu'il se désintéressa tout de suite de moi et saisit le premier de notre groupe qui se débattit en hurlant.
-Je sais que c'est difficile a croire, mais alors comment expliquez vous le fait qu'un gamin de mon age utilise un vocabulaire aussi compliqué ?
-Tu raconte n'importe quoi. C'est tout ce que j'eus comme réponse
-Je viens d'un futur ou vos actes ont bousillés ma vie, un monde ou je n'arrive plus a vivre correctement traumatisé par ce qu'il se passe en ce moment même aujourd'hui dans cette putain de pièce. Lui dis-je en haussant le ton sur son obstination a ne pas m’écouter.
Mais non, malgré tout ce que je pus lui dire, il enfonça tout de même sa lame comme il l'avait fait par le passé et les cris qui me hantaient tellement revinrent a la vie.
Je détournai le regard ne pouvant supporter la vue.
-Je ne comprend pas comment quelqu'un comme vous peut être une pourriture pareil ? Osais-je lui dire.
Ma remarque le fit réagir, il jeta le cadavre de ce qui fut mon ami comme un vulgaire sac et se rapprocha de moi la lame dégoulinante de sang et main.
M'attrapant férocement, il me malmena sur quelques mètres puis me plaça la lame juste au niveau de ma gorge.
-Qu'est ce que tu a dis ? Grogna-il d'un air menaçant.
-J'ai passé la journée a vous observez et chaque fois j'y ai vu un homme bon et généreux, j'ai vu l'homme que j'ai autrefois admiré alors je me demande aujourd'hui ce qui a pu tant vous changer.
Il ne resta pas indifférent, et abaissa la lame fixant le vide comme il l'avait fait tout a l'heure, j'y vu une sorte de lueur d'espoir, un moyen de l’empêcher de faire une connerie.
-Vous n’êtes pas comme ça Monsieur Mars.
Je fis exprès de l'appeler comme j'avais eu l'habitude de le faire pour éveiller en lui ce qui restait d'humain, tout nos bons souvenirs ne devait pas lui être indifférent j'en étais sur désormais.
-Vous allez bousillez votre vie et la notre en faisant cela, mais rien n'est encore trop tard, vous posez cette lame et nous pourrons en discuter.
Même si c’était moche je faisais abstraction du corps de mon ami qui gisait plus loin, il n’était pas temps de l’énerver d'avantage.
-Tu ne comprend pas Joëlle, pas encore tout du moins. Dit-il en réponse.
Et a cet instant tout la haine qu'il avait s'enflamma de nouveau et il leva de nouveau sa lame.
-Vous voulez me tuez ? Eh bien va y putain de vieillard, tu ne te rend pas compte du service que tu me rendra en m’épargnant la misérable vie qui m'attend a cause du fait que TU étais un putain de psycho pas capable de contrôler ses pulsions meurtrières.
J’éclatai moi aussi de rage contre cet enfoiré qui ne voulait rien comprendre, j’étais pourtant sur d'y avoir vu une lueur d'espoir, mais ça n'avait pas duré longtemps.
Et ma demande, il l'accepta sans réfléchir.
Il enfonça la lame dans ma gorge, sentant le morceau de métal dans mon gosier, je m'accrocha a sa main tentant de le faire reculer mais avec mes maigres forces rien n'y fit.
La lame se cala encore plus loin, et quand a moi je sentis un froid m'envahir tout le corps.
La douleur était tel que je ne la ressentais même plus.
Quand mon corps ne répondit plus ne laissant que mes yeux pour voir, Mars me lâcha enfin, je m'effondrai comme un pantin désarticulé, la dernière chose que je vis c’était mon groupe qui me regarda d'un air horrifié, le visage gonflé par les larmes.
Et tout doucement je fermai les yeux, le froid laissant place a la chaleur et a l'obscurité...
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