Chapitre 47

Je n'eu même pas le temps de terminer ma phrase, que ses mains étaient placées autour de mon cou, et sa bouche sur la mienne, sa langue dans ma bouche. Je ne pouvais pas la repousser, je ressentais sans doute toujours quelque chose pour elle, j'étais alors faible devant elle, à l'embrasser langoureusement. Je ne pouvais m'en défaire, mais ce sentiment de plaisir m'envahis complètement. Elle prit alors mes mains pour les mettre sur ses fesses, arrêtant de m'embrasser, je tâtais un peu ( ) puis finalement les retirais par conscience, je ne pouvais pas retomber la dedans. Elle se recula alors, se dirigea vers la porte avant de la fermer à clefs, en me regardant. Son regard ne bougea toujours pas, et c'est alors qu'elle me dit "Vincent, tu veux bien me laisser m'excuser comme il se doit ?"

Elle me regardait toujours, sa main sur la poignée. Je ne savais pas trop comment réagir, j'en avais terriblement envie, je suis un homme, j'ai des besoins. Cependant, je ne pouvais pas oublier ce qu'elle m'avais fait, j'étais encore dégouté par cette attitude si désinvolte qu'elle avait osée adopter avec moi, on me prend pas pour un con moi !

- Vincent, tu veux bien me laisser m'excuser comme il se doit ?
- Tu te prends pour qui franchement ? Tu crois que c'est en te foutant à poil devant moi que tout va repartir ?
- Tu n'as pas compris, c'est juste pour m'excuser, ça n'implique rien du tout, juste à te faire un peu de bien pour combler le mal que je t'ai fait
- En gros tu fais limite la pute gratuite là ?
- Si tu veux le penser, je n'ai rien à dire contre ça, c'est tout à fait légitime .... Mais ose me dire que tu n'en a pas envie ?

Elle se rapprocha alors de moi à la suite de ce discours me laissant assez perplexe. Elle avait raison, j'en avais terriblement envie. Ces cheveux bruns lui retombés délicatement sur le dos et les épaules, ils étaient légèrement courbés, raide, juste comme j'aime. Elle correspondait totalement à mon idéal féminin, belle, bonne, et pas vulgaire physiquement ( je précise bien, physiquement ). Bref, elle avait tout pour être la petite amie parfaite, tout, sauf ce putain de caractère qui lui a fait oser aller coucher avec Clément, blessant Tiffany et moi même Ces souvenirs revinrent en moi comme un boomerang dans laggle d'un joueur de boomerang ( bien la comparaison à la con ? ) J'avais envie de me tirer, si je restais trop prêt d'elle, j'allais lui en coller une je pense, et dire que je lui avais pardonné

- Bon j'me casse tu vaux rien
- Non Vince arrête stp, tu ne comprends vraiment rien ?
- Je ne comprends rien ? Mais tu te fous de ma gueule ou quoi ?
- Je suis vraiment désolée pour tout ce qui s'est passée
- Tes excuses je m'en tape, tu veux juste baiser, et si c'est ça retourne voir l'autre connard

Je la poussa alors légèrement, mais je sentis qu'elle forçait, pourquoi était elle autant obstinée ? Elle lâchait alors mon bras, et revint saison ma bouche pour m'embrasser. Ce baiser ne dura pas longtemps, et juste après ce dernier, elle me dit "Je suis vraiment désolée ... pars si tu veux " Cette phrase était dit avec tellement de sincérité, que je me demandais finalement si elle était si méchante que ça. En tout cas, cette phrase me fit un effet, dingue, une envie soudaine de la toucher, de l'embrasser, de la caresser .. je ne fis d'ailleurs rien attendre, et immédiatement après, je l'embrassais avec passion, je ne pensais plus qu'à une chose, elle :bave

Sa peau était tellement douce, que mes mains glissaient sur ses joues en même temps que je l'embrassais. J'enlevais alors mon t-shirt en même temps que je l'embrassais, c'était dur pour l'enlever cependant ... Je me retrouvais lors en caleçon devant elle, le paynis pointant devant, semblant indiquer son V Son regard n'avait pas changé, elle avait toujours l'air triste. Je n'y prêtais pas attention, et mes mains enlevèrent son t-shirt large, qu'elle m'avais emprunté d'ailleurs. Ses seins doux et délicats jaillirent alors , elle était alors en sous vêtements devant moi, dans la salle de bain. Je dois avouer que c'est un fantasme, l'amour dans la salle de bain ...dans la douche ...

Je m'approchais alors d'elle, mes mains sur sa poitrine très généreuse, sans être exubérante, les faisant rouler, titillant son téton. Son visage se crispait et je l'entendais faire quelques gémissements. Je lui enlevais alors son soutien-gorge avec le peu d'expérience que j'avais alors, et ses seins purent alors se développer. J'enlevais moi aussi mon caleçon, il était temps de passer aux choses sérieuses : J'allais enfin pouvoir refaire l'amour avec elle, j'en avais tellement envie. Elle prit alors mon penis pour la mettre dans sa bouche. Le chaud que procura sa bouche fit augmenter les spasmes dans mon paynis, je n'allais quand même pas tout lâcher maintenant ? IL faut que je tienne, suffisamment pour finir ce que je veux.