Quand VOUS êtes un lycéen tueur
Par : LePatriarche
Genre : Action , Nawak
Status : Terminée
Note :
Chapitre 67
Publié le 18/06/14 à 13:56:41 par LePatriarche
La 1)
Debout devant l'entrée du lycée, vous feignez de fumer une clope pour paraitre intéressant tout en restant discret, c'est la manière parfaite avant de suivre une future proie. Ainsi, à sa sortie, la jeune blonde avec qui vous vous étiez frité le jour de la rentrée discute avec une de ses amies, vous savez, comme deux jumelles inséparables qui s'appelent mutuellement "bestah" en mettant toute leurs vies en communs.
Les deux femelles discutent donc en marchant vers un endroit inconnu, vous attendrez le moment opportun pour les arrêter, quand un lieu paumé de toutes vies et de tout témoins se présentera, ça aurait été mieux si Patricia etait seule mais bref, c'est le destin.
Durant près de 90 minutes, le couple du sexe opposé marche, à une allure très lente, elles s'arrêtent parfois pour se caresser les cheveux, puis continuent de nouveau leur discussion, portant probablement sur des vêtements, THE mec BG du lycée ou de sexe, les filles sont toutes des manipulatrices dont la seule envie est d'assouvir leurs pulsions féminines ! : Cette conception fait certes de vous un homme d'esprit très étroit, mais vous n'aimez pas ouvrir votre coeur au monde, vous préférez ouvrir le coeur des gens, au sens propre bien sur, même si cela donne lieu à des scènes assez sales et sordides.
De ce fait, une fois arrivée vers un jardin, Patricia s'asseoit la première tandis que son amie Emilie en fait de même. Vous partez les voir sans une once d'hésitation, et d'un geste de la main, vous demandez poliment à Emilie de diriger son gros cul ailleurs
- Tu veux me parler de quoi ?
Sans dire un mot, vous posez doucement votre main sur sa cuisse. Un contact physique est le meilleur moyen de mettre la femme dans des conditions favorables, ainsi, elle sera plus à l'écoute de vos propos.
- C'est un peu direct non ? Vous fit-elle remarquer.
- Une marque d'affection rien de plus...
- Tu m'as insulté, tu m'as méprisé, tu m'as bousculé, et maintenant tu me portes de " l'affection ", bah tu peux te la foutre où je pense !
- J'ai une "affection" dans mon entrejambe que je préférais mettre dans TON orifice anal, et non dans le mien.
-...
Ce sous-entendu ultra douteux l'a mis au dépourvu. C'est bien. Plus une fille se retrouve troublé par les propos d'un mec, plus son esprit cogitera, plus cela va l'empêcher de réfléchir, et plus elle sera enclin à être en accord avec vous le moment venu.
Ainsi, vous approchez vos lèvres discrètement des siennes. Assez hésitante, elle en fait de même :
- T'es mignon comme garçon, ton traitement envers moi a été difficile, je sais que "Qui aime bien chatie bien", j'ai dejà essayé d'être dure avec toi, mais je n'y arrive pas.
- On ne peut pas lutter contre ces sentiments
- J'ai appris ça a mes dépend. Bizarrement, j'éprouve quelque chose pour toi, mais je risque probablement de souffrir avec toi, alors je ne veux pas de cette vie là, je préfère encore passer à autre chose.
Vous êtes assez choquée par ces propos. En effet, vous avez donc la confirmation qu'elle vous aime, selon elle, plus vous agissez en véritable salopard, plus elle tente de nier ces sentiments, et plus ça les amplifie à votre encontre, cela s'appelle l'amour avec un grand A ( Comme Anus, mais ça, c'est une autre histoire... ) :
Elle prend son portable de sa poche, et commence la suppression des photos compromettantes sur vous, lorsque vous aviez un réel comportement de trisomique en gigotant sur le sol comme un porc à l'agonie, aux cotés d'Arnold, qui lui était sérieux.
- Voilà, tout est supprimé, maintenant laisse moi tranquille...
- Attends. Tu m'aime vraiment ?
- Tu ne sais même pas ce que ça veut dire aimer, j'sais parfaitement comment tu es, t'es mauvais et c'est tout, tu cherche rien d'autre à part la merde. Quelqu'un comme toi pourra jamais tomber amoureux ni se soucier des autres. Ca me fait souffrir de savoir que j'aime un type comme toi alors que d'autres ne rêvent que de ça... Putain...
En fait c'est une fille profonde, et vous qui pensiez avoir affaire à une pute sans valeurs... Directement après, sa "bestah" débarqua, vous vous éloignez donc de ces deux jeunes filles d'un air imbécile, au moins, les choses sont clarifiées.
Une fois à plusieurs dizaines de mètres, vous vous retournez, pour voir une scène surréaliste : Les deux femmes s'embrassent de manière langoureuse, les mains baladeuses, cherchant les hanches de l'autre. Chacune de ces partenaires montre une affection amoureuse à l'autre, par un contact physique, par un contact buccal, par un contact visuel. Leurs gestes témoignent d'amour l'une envers l'autre. Votre fantasme de voir un demi-porno lesbien vient enfin de se réaliser.
-------
Au QG de l'Ordre Rouge, le boss Giovanni discute avec l'élite de ces hommes :
- Concernant le cadavre de Carmen, la surveillante tuée par notre nouvel associé ?
- J'ai jeté son corps à l'océan comme convenu chef
- Gilberto, Gilberto, Gilberto... Combien de fois devrais-je t'expliquer qu'il faut dissoudre les cadavres au lieu de les laisser quelque part sur cette terre ?
- Je ferais mieux la prochaine fois boss.
- Ce serait bien que tu aies une intelligence proportionnel à ta force de frappe...
- Chef ?
- Oui ?
- Ca veut dire quoi proportionnel ?
Soudain, le bras droit s'approcha d'un jeune homme, un adolescent, puis posa sa main sur sa tête, fier, heureux de l'avoir à ces cotés :
- Mon fils, tu sera mon futur successeur à la tête de l'Ordre Rouge, tu en es conscient ?
- Je continue d'apprendre, je n'ai toujours pas l'étoffe d'un boss
- Ne t'inquiète pas, ça viendra avec le temps. Sans toi, nous n'en serions pas là aujourd'hui, continue dans cette voie, grâce à chacun de vous, nous écraserons l'Ordre Rouge, nous gagnerons la fameuse boite remplie de secrets et de puissance puis nous bataillerons contre l'Ordre Dorée... Rompez messieurs.
...
- Gilberto, on se fait un ciné ? S'exclama Alexis, fils de Giovanni et futur héritier de l'Ordre.
- Quel nostalgie... Je me souviens encore de toi en train de jouer avec des chats dans ce jardin, et bientot tu sera successeur
- Tu n'as pas interet à perdre samedi hein ! Tu le bats l'autre abruti d'accord ?
- Ne t'inquiète pas, on a un petit compte à regler, et là je veux juste me changer les idées, j'accumule les erreurs ces derniers temps, mais ça sera autre chose ce week-end, je montrerai au boss et à toi petit boss ce dont je suis capable.
- En attendant, profitons de notre temps libre. Et appelle moi Alexis, c'est toujours mieux que "petit boss"
----------
Vous décidez de rentrer chez vous pour changer les choses. Maintenant, votre parole doit être reconnu par la famille, et pour se faire, il vous faut imposer votre respect
1) Gueuler sur votre beau-père pour le fun
2) Donner les 10.000 euros récolté hier soir à votre mère, pour qu'elle arrête ces funestes activités sexuels
3) Voir Caroline, votre soeur, voir si elle s'est améliorée en combat, en ce moment, elle s'entraine avec son coach.
Debout devant l'entrée du lycée, vous feignez de fumer une clope pour paraitre intéressant tout en restant discret, c'est la manière parfaite avant de suivre une future proie. Ainsi, à sa sortie, la jeune blonde avec qui vous vous étiez frité le jour de la rentrée discute avec une de ses amies, vous savez, comme deux jumelles inséparables qui s'appelent mutuellement "bestah" en mettant toute leurs vies en communs.
Les deux femelles discutent donc en marchant vers un endroit inconnu, vous attendrez le moment opportun pour les arrêter, quand un lieu paumé de toutes vies et de tout témoins se présentera, ça aurait été mieux si Patricia etait seule mais bref, c'est le destin.
Durant près de 90 minutes, le couple du sexe opposé marche, à une allure très lente, elles s'arrêtent parfois pour se caresser les cheveux, puis continuent de nouveau leur discussion, portant probablement sur des vêtements, THE mec BG du lycée ou de sexe, les filles sont toutes des manipulatrices dont la seule envie est d'assouvir leurs pulsions féminines ! : Cette conception fait certes de vous un homme d'esprit très étroit, mais vous n'aimez pas ouvrir votre coeur au monde, vous préférez ouvrir le coeur des gens, au sens propre bien sur, même si cela donne lieu à des scènes assez sales et sordides.
De ce fait, une fois arrivée vers un jardin, Patricia s'asseoit la première tandis que son amie Emilie en fait de même. Vous partez les voir sans une once d'hésitation, et d'un geste de la main, vous demandez poliment à Emilie de diriger son gros cul ailleurs
- Tu veux me parler de quoi ?
Sans dire un mot, vous posez doucement votre main sur sa cuisse. Un contact physique est le meilleur moyen de mettre la femme dans des conditions favorables, ainsi, elle sera plus à l'écoute de vos propos.
- C'est un peu direct non ? Vous fit-elle remarquer.
- Une marque d'affection rien de plus...
- Tu m'as insulté, tu m'as méprisé, tu m'as bousculé, et maintenant tu me portes de " l'affection ", bah tu peux te la foutre où je pense !
- J'ai une "affection" dans mon entrejambe que je préférais mettre dans TON orifice anal, et non dans le mien.
-...
Ce sous-entendu ultra douteux l'a mis au dépourvu. C'est bien. Plus une fille se retrouve troublé par les propos d'un mec, plus son esprit cogitera, plus cela va l'empêcher de réfléchir, et plus elle sera enclin à être en accord avec vous le moment venu.
Ainsi, vous approchez vos lèvres discrètement des siennes. Assez hésitante, elle en fait de même :
- T'es mignon comme garçon, ton traitement envers moi a été difficile, je sais que "Qui aime bien chatie bien", j'ai dejà essayé d'être dure avec toi, mais je n'y arrive pas.
- On ne peut pas lutter contre ces sentiments
- J'ai appris ça a mes dépend. Bizarrement, j'éprouve quelque chose pour toi, mais je risque probablement de souffrir avec toi, alors je ne veux pas de cette vie là, je préfère encore passer à autre chose.
Vous êtes assez choquée par ces propos. En effet, vous avez donc la confirmation qu'elle vous aime, selon elle, plus vous agissez en véritable salopard, plus elle tente de nier ces sentiments, et plus ça les amplifie à votre encontre, cela s'appelle l'amour avec un grand A ( Comme Anus, mais ça, c'est une autre histoire... ) :
Elle prend son portable de sa poche, et commence la suppression des photos compromettantes sur vous, lorsque vous aviez un réel comportement de trisomique en gigotant sur le sol comme un porc à l'agonie, aux cotés d'Arnold, qui lui était sérieux.
- Voilà, tout est supprimé, maintenant laisse moi tranquille...
- Attends. Tu m'aime vraiment ?
- Tu ne sais même pas ce que ça veut dire aimer, j'sais parfaitement comment tu es, t'es mauvais et c'est tout, tu cherche rien d'autre à part la merde. Quelqu'un comme toi pourra jamais tomber amoureux ni se soucier des autres. Ca me fait souffrir de savoir que j'aime un type comme toi alors que d'autres ne rêvent que de ça... Putain...
En fait c'est une fille profonde, et vous qui pensiez avoir affaire à une pute sans valeurs... Directement après, sa "bestah" débarqua, vous vous éloignez donc de ces deux jeunes filles d'un air imbécile, au moins, les choses sont clarifiées.
Une fois à plusieurs dizaines de mètres, vous vous retournez, pour voir une scène surréaliste : Les deux femmes s'embrassent de manière langoureuse, les mains baladeuses, cherchant les hanches de l'autre. Chacune de ces partenaires montre une affection amoureuse à l'autre, par un contact physique, par un contact buccal, par un contact visuel. Leurs gestes témoignent d'amour l'une envers l'autre. Votre fantasme de voir un demi-porno lesbien vient enfin de se réaliser.
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Au QG de l'Ordre Rouge, le boss Giovanni discute avec l'élite de ces hommes :
- Concernant le cadavre de Carmen, la surveillante tuée par notre nouvel associé ?
- J'ai jeté son corps à l'océan comme convenu chef
- Gilberto, Gilberto, Gilberto... Combien de fois devrais-je t'expliquer qu'il faut dissoudre les cadavres au lieu de les laisser quelque part sur cette terre ?
- Je ferais mieux la prochaine fois boss.
- Ce serait bien que tu aies une intelligence proportionnel à ta force de frappe...
- Chef ?
- Oui ?
- Ca veut dire quoi proportionnel ?
Soudain, le bras droit s'approcha d'un jeune homme, un adolescent, puis posa sa main sur sa tête, fier, heureux de l'avoir à ces cotés :
- Mon fils, tu sera mon futur successeur à la tête de l'Ordre Rouge, tu en es conscient ?
- Je continue d'apprendre, je n'ai toujours pas l'étoffe d'un boss
- Ne t'inquiète pas, ça viendra avec le temps. Sans toi, nous n'en serions pas là aujourd'hui, continue dans cette voie, grâce à chacun de vous, nous écraserons l'Ordre Rouge, nous gagnerons la fameuse boite remplie de secrets et de puissance puis nous bataillerons contre l'Ordre Dorée... Rompez messieurs.
...
- Gilberto, on se fait un ciné ? S'exclama Alexis, fils de Giovanni et futur héritier de l'Ordre.
- Quel nostalgie... Je me souviens encore de toi en train de jouer avec des chats dans ce jardin, et bientot tu sera successeur
- Tu n'as pas interet à perdre samedi hein ! Tu le bats l'autre abruti d'accord ?
- Ne t'inquiète pas, on a un petit compte à regler, et là je veux juste me changer les idées, j'accumule les erreurs ces derniers temps, mais ça sera autre chose ce week-end, je montrerai au boss et à toi petit boss ce dont je suis capable.
- En attendant, profitons de notre temps libre. Et appelle moi Alexis, c'est toujours mieux que "petit boss"
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Vous décidez de rentrer chez vous pour changer les choses. Maintenant, votre parole doit être reconnu par la famille, et pour se faire, il vous faut imposer votre respect
1) Gueuler sur votre beau-père pour le fun
2) Donner les 10.000 euros récolté hier soir à votre mère, pour qu'elle arrête ces funestes activités sexuels
3) Voir Caroline, votre soeur, voir si elle s'est améliorée en combat, en ce moment, elle s'entraine avec son coach.
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