Quand VOUS êtes un lycéen tueur
Par : LePatriarche
Genre : Action , Nawak
Status : Terminée
Note :
Chapitre 65
Publié le 11/06/14 à 17:38:37 par LePatriarche
La 1)
Vous vous déplacez donc de manière furtive telle un ninja pour atteindre la chambre du futur défunt Johnny, la prochaine fois qu'il essayera de se faire une fille de joie ce sera en enfer, pendant que des flammes lui bruleront les poils du slip
Devant sa chambre, vous ouvrez très délicatement, la porte ne s'ouvre qu'à quelques millimètres par secondes, histoire de rester calme et discrèt. A l'aide de votre portable, vous éclairez la pièce très légèrement. Son lit n'est qu'à quelques centimètres de vote oeil affuté mais ce batard s'est absenté " à cause d'une envie préssante et urgente" comme indiqué sur sa table de chevet.
Vous rebroussez chemin pour vous rendre aux toilettes. Quel ironie du sort, mourir aux chiottes, c'est parfait pour une grosse merde.
Les portes sont grandes ouvertes, et deux cabines fermées se présentent à vous, derrière l'une d'elle, il y a votre proie, mais faut savoir laquelle. Vous attendez donc patiemment, le couteau dégainé, devant chacune de ces mini-room, et après 5 minutes de bruits de gaz en tout genre et de défécation intense, Johnny sort, le zgueg à l'air, heureux. A voir plusieurs fil blancs sur son jean, il a certainement du... Au bordel, la jeunesse n'a donc plus aucune limite
- Putain sale psychopathe chte reconnais !!! T'approche pas !! Infirmièèèèèère !!
- T'es aux toilettes gars, y'a aucune infirmière dans le coin, et pour l'amour du ciel range moi ton engin qui pandouille c'est dégueulasse
Voyant le comique de situation, le jeune homme s'élance à l'abordage contre vous en faisant tournoyer son pénis dans votre direction pour vous troubler... Le fils de chien
- Même les animaux sont plus digne !
- Gobe ma teub salope !!! (
Vous gigotez à votre tour un fin couteau devant ces yeux pour éviter qu'il se rapproche, chacun de vous campe sur ces positions, attendons le faux pas de l'un pour pénétrer l'autre, chacun aura sa manière de le faire m'voyez
- Fais moi mal Johnny Johnny Johnny envoie moi au cieeeeeel zooum, fais moi mal Johnny Johnny Johnny !! Moi j'aime l'amour qui fait boom
En reprenant cette petite mélodie, l'autre homme présent dans la cabine chantonne à son tour ce fameux refrain d'une manière entrainante et grave :
- Il va lui faire mal !
- Il va lui faire mal !
- Il va lui faire mal !
Bref, outre le fait de pousser la chansonnette, il commence à se faire tard et le diner est prévue pour une heure du matin. Tandis que le jeune freluquet nudiste elance son pistolero à votre encontre, et d'un coup tranchant et net, la lame s'abat directement sur ses parties génitales. Vous enchainez à l'aide de deux autres attaques, et le spectacle est surprenant, du sang gicle de partout, du liquide visqueux et tout un tas de produits génitaux naturels s'affalent sur le sol, descendant directement de l'entrejambe de votre ennemi.
Ce dernier vient de voir toute chance d'avoir des enfants disparaitre, ainsi que le fait de copuler avec.
- Un buteur, c'est un goleador, un mec qui coupe des couilles, c'est un castrador !
- Argghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!
- Attends vite fait on peut encore faire quelque chose !
- Comme quoi ?
- Comme ça
D'un nouveau coup de poignard, vous faites pénétrer le couteau dans le torse du jeune homme en le faisant gigoter dans tous les sens comme ce qu'il faisait il y a quelques secondes avec son zizi, ça c'est du retour à l'envoyeur.
Du sang s'échappe de sa bouche, et coule sur tout son corps, son abdomen se déchire sous l'impact de vos incisions, des bouts d'organes intestinaux giclent dans les 4 coins des chiottes, tandis qu'on entend le bruit rafraichissant du monsieur toujours en train de pisser dans la cabine.
Inconscient, l'homme s'écroule, le regard livide, le corps vidé de son sang. Une mort tragique mais au combien ironique :
- Mourir aux chiottes, c'est parfait pour un enculé !... Euh non, pour une grosse merde voilà ! Merde le fail...
Soudain, l'homme sort de sa cabine, l'air décontractée. Il regarde le cadavre avec une indifférence totale, comme si deux enfants jouaient dans une cours de récré. Suite à sa réaction, vous lui demandez ce qu'il ne va pas, car ce con a quand même vu votre visage et à compléter vos paroles d'une chanson en pleine joute physique.
- T'en fais pas gamin, j'ai Alzheimer, parfois je me pisse dessus parce que j'oublie purement et bêtement l'existence des toilettes. Mon p'tit nom c'est Montgomery, ancien général de la seconde guerre mondial, du coté des allemand, car faut le dire, à l'époque personne n'était résistant dans cette France de merde.
1) Dialoguer avec lui pour avoir sous vos ordres un VRAI général
2) Ca sent le piège, tenter de le finir sur place ?
Vous vous déplacez donc de manière furtive telle un ninja pour atteindre la chambre du futur défunt Johnny, la prochaine fois qu'il essayera de se faire une fille de joie ce sera en enfer, pendant que des flammes lui bruleront les poils du slip
Devant sa chambre, vous ouvrez très délicatement, la porte ne s'ouvre qu'à quelques millimètres par secondes, histoire de rester calme et discrèt. A l'aide de votre portable, vous éclairez la pièce très légèrement. Son lit n'est qu'à quelques centimètres de vote oeil affuté mais ce batard s'est absenté " à cause d'une envie préssante et urgente" comme indiqué sur sa table de chevet.
Vous rebroussez chemin pour vous rendre aux toilettes. Quel ironie du sort, mourir aux chiottes, c'est parfait pour une grosse merde.
Les portes sont grandes ouvertes, et deux cabines fermées se présentent à vous, derrière l'une d'elle, il y a votre proie, mais faut savoir laquelle. Vous attendez donc patiemment, le couteau dégainé, devant chacune de ces mini-room, et après 5 minutes de bruits de gaz en tout genre et de défécation intense, Johnny sort, le zgueg à l'air, heureux. A voir plusieurs fil blancs sur son jean, il a certainement du... Au bordel, la jeunesse n'a donc plus aucune limite
- Putain sale psychopathe chte reconnais !!! T'approche pas !! Infirmièèèèèère !!
- T'es aux toilettes gars, y'a aucune infirmière dans le coin, et pour l'amour du ciel range moi ton engin qui pandouille c'est dégueulasse
Voyant le comique de situation, le jeune homme s'élance à l'abordage contre vous en faisant tournoyer son pénis dans votre direction pour vous troubler... Le fils de chien
- Même les animaux sont plus digne !
- Gobe ma teub salope !!! (
Vous gigotez à votre tour un fin couteau devant ces yeux pour éviter qu'il se rapproche, chacun de vous campe sur ces positions, attendons le faux pas de l'un pour pénétrer l'autre, chacun aura sa manière de le faire m'voyez
- Fais moi mal Johnny Johnny Johnny envoie moi au cieeeeeel zooum, fais moi mal Johnny Johnny Johnny !! Moi j'aime l'amour qui fait boom
En reprenant cette petite mélodie, l'autre homme présent dans la cabine chantonne à son tour ce fameux refrain d'une manière entrainante et grave :
- Il va lui faire mal !
- Il va lui faire mal !
- Il va lui faire mal !
Bref, outre le fait de pousser la chansonnette, il commence à se faire tard et le diner est prévue pour une heure du matin. Tandis que le jeune freluquet nudiste elance son pistolero à votre encontre, et d'un coup tranchant et net, la lame s'abat directement sur ses parties génitales. Vous enchainez à l'aide de deux autres attaques, et le spectacle est surprenant, du sang gicle de partout, du liquide visqueux et tout un tas de produits génitaux naturels s'affalent sur le sol, descendant directement de l'entrejambe de votre ennemi.
Ce dernier vient de voir toute chance d'avoir des enfants disparaitre, ainsi que le fait de copuler avec.
- Un buteur, c'est un goleador, un mec qui coupe des couilles, c'est un castrador !
- Argghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!
- Attends vite fait on peut encore faire quelque chose !
- Comme quoi ?
- Comme ça
D'un nouveau coup de poignard, vous faites pénétrer le couteau dans le torse du jeune homme en le faisant gigoter dans tous les sens comme ce qu'il faisait il y a quelques secondes avec son zizi, ça c'est du retour à l'envoyeur.
Du sang s'échappe de sa bouche, et coule sur tout son corps, son abdomen se déchire sous l'impact de vos incisions, des bouts d'organes intestinaux giclent dans les 4 coins des chiottes, tandis qu'on entend le bruit rafraichissant du monsieur toujours en train de pisser dans la cabine.
Inconscient, l'homme s'écroule, le regard livide, le corps vidé de son sang. Une mort tragique mais au combien ironique :
- Mourir aux chiottes, c'est parfait pour un enculé !... Euh non, pour une grosse merde voilà ! Merde le fail...
Soudain, l'homme sort de sa cabine, l'air décontractée. Il regarde le cadavre avec une indifférence totale, comme si deux enfants jouaient dans une cours de récré. Suite à sa réaction, vous lui demandez ce qu'il ne va pas, car ce con a quand même vu votre visage et à compléter vos paroles d'une chanson en pleine joute physique.
- T'en fais pas gamin, j'ai Alzheimer, parfois je me pisse dessus parce que j'oublie purement et bêtement l'existence des toilettes. Mon p'tit nom c'est Montgomery, ancien général de la seconde guerre mondial, du coté des allemand, car faut le dire, à l'époque personne n'était résistant dans cette France de merde.
1) Dialoguer avec lui pour avoir sous vos ordres un VRAI général
2) Ca sent le piège, tenter de le finir sur place ?
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