Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 40
Publié le 06/03/14 à 17:54:21 par Camion2LaGalayr
Quand je me suis réveillé, instinctivement, j'ai caressé l'arrière de mon crâne avant de retirer ma main suite à une vive douleur. Lorsque j'ai reculé, je suis tombé en arrière sur une pierre.
Un peu de sang coule de la plaie mais ça n'a pas l'air grave.
Lentement, je me redresse, je regarde autour de moi quand je remarque un détail : il fait presque nuit !
Je me relevais brusquement, malgré la douleur. Il fallait que je retrouve les autres le plus vite possible.
J'ai commencé à courir en essayant de me souvenir par où je suis arrivé. Mes souvenirs étaient mélangés et je ne savais pas vraiment où j'allais.
La nuit est maintenant tombée. Je n'ai pas réussi à les retrouver. Je marche au hasard dans la forêt, les yeux dans le ciel. Ce n'est pas la première fois que je me retrouvais tout seul mais j'ai, en quelques sorte, pris l'habitude d'être avec les autres.
Je m'arrêtais. J'essayais de réfléchir mais je n'arrivais pas à trouver de solutions. Un certain grognement que je connaît que trop se fit entendre dans mon dos. La peur me fit courir à nouveau.
Pendant un quart d'heure au moins, j'ai couru sans m’arrêter. Je courrais encore quand j'ai brusquement glissé sur quelque chose de gluant. Cette chute me sonna un peu.
Je pris conscience que je ne pouvais pas fuir toute la nuit.
Lentement, je me relève et je prends mon arme en main. L'obscurité cachait les être qui déjà commençaient à approcher, je les entendaient.
Vivement, j'arrachais des branches d'un arbre et je les jetaient sur le sol. Je pris tout aussi rapidement mes allumettes et j'incendiais les combustibles.
Maintenant, je voyais mes ennemis.
Je savais que je n'étais pas courageux mais je savais également que je ne me ferais pas tuer aussi facilement.
« Écoutes moi... mon p'tit pote... enfin mes p'tits potes... Je vais vous PETER LA GUEULE !! ( »
Sur cette phrase, je décidais d'attaquer le premier. L'araignée sur le tronc de l'arbre, que je sentais prête à me bondir dessus, je la pourfend avec mon épée qui lui traverse le crâne. Un draugr approche, je recule et grâce à l'élan, je lui plante l'épée dans la gorge. Son copain qui suit, se fit trancher le buste.
« COMBO BREAKER BANDE D'ENCULÉS ( »
Après cet enchaînement, je me suis mis à couvert derrière un arbre : des squelettes me tiraient dessus depuis le début du combat.
Arbre par arbre, je me rapprochais, ils me rataient de peu, mais ils me rataient. Derrière le dernier arbre avant cette bande de sous-maigres ( ), je repris mon souffle.
Alors, soudainement, je sortis de ma cachette et je balançais mon épée sur mes ennemis qui finissaient en morceau.
J'aurais voulu souffler après cet effort mais ce n'est pas l'avis des autres monstres qui peu à peu arrivaient. Je me doutais déjà que je n'arriverais pas à en finir.
Un peu de sang coule de la plaie mais ça n'a pas l'air grave.
Lentement, je me redresse, je regarde autour de moi quand je remarque un détail : il fait presque nuit !
Je me relevais brusquement, malgré la douleur. Il fallait que je retrouve les autres le plus vite possible.
J'ai commencé à courir en essayant de me souvenir par où je suis arrivé. Mes souvenirs étaient mélangés et je ne savais pas vraiment où j'allais.
La nuit est maintenant tombée. Je n'ai pas réussi à les retrouver. Je marche au hasard dans la forêt, les yeux dans le ciel. Ce n'est pas la première fois que je me retrouvais tout seul mais j'ai, en quelques sorte, pris l'habitude d'être avec les autres.
Je m'arrêtais. J'essayais de réfléchir mais je n'arrivais pas à trouver de solutions. Un certain grognement que je connaît que trop se fit entendre dans mon dos. La peur me fit courir à nouveau.
Pendant un quart d'heure au moins, j'ai couru sans m’arrêter. Je courrais encore quand j'ai brusquement glissé sur quelque chose de gluant. Cette chute me sonna un peu.
Je pris conscience que je ne pouvais pas fuir toute la nuit.
Lentement, je me relève et je prends mon arme en main. L'obscurité cachait les être qui déjà commençaient à approcher, je les entendaient.
Vivement, j'arrachais des branches d'un arbre et je les jetaient sur le sol. Je pris tout aussi rapidement mes allumettes et j'incendiais les combustibles.
Maintenant, je voyais mes ennemis.
Je savais que je n'étais pas courageux mais je savais également que je ne me ferais pas tuer aussi facilement.
« Écoutes moi... mon p'tit pote... enfin mes p'tits potes... Je vais vous PETER LA GUEULE !! ( »
Sur cette phrase, je décidais d'attaquer le premier. L'araignée sur le tronc de l'arbre, que je sentais prête à me bondir dessus, je la pourfend avec mon épée qui lui traverse le crâne. Un draugr approche, je recule et grâce à l'élan, je lui plante l'épée dans la gorge. Son copain qui suit, se fit trancher le buste.
« COMBO BREAKER BANDE D'ENCULÉS ( »
Après cet enchaînement, je me suis mis à couvert derrière un arbre : des squelettes me tiraient dessus depuis le début du combat.
Arbre par arbre, je me rapprochais, ils me rataient de peu, mais ils me rataient. Derrière le dernier arbre avant cette bande de sous-maigres ( ), je repris mon souffle.
Alors, soudainement, je sortis de ma cachette et je balançais mon épée sur mes ennemis qui finissaient en morceau.
J'aurais voulu souffler après cet effort mais ce n'est pas l'avis des autres monstres qui peu à peu arrivaient. Je me doutais déjà que je n'arriverais pas à en finir.
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