<h1>Noelfic</h1>

Les prisonniers de l'île


Par : Camion2LaGalayr

Genre : Action , Science-Fiction

Status : Abandonnée

Note :


Chapitre 17

Une nouvelle forêt

Publié le 29/09/13 à 11:31:31 par Camion2LaGalayr

Pas la peine de me demander ce qui est arrivé pendant mon court sommeil. Heureusement les autres ne sont pas encore réveillés. Je sortis alors sans faire de bruits à la recherche de Matthieu. A peine je franchis le seuil de la porte, mon caleçon me tombe sur la tête. Après avoir enlevé mon sous-vêtement de ma tête je regardais au-dessus de moi: Matthieu était là, sur le toit de la cabane en train de rigoler. Je vous dispense du traitement que j'ai infligé à Matthieu et de la manière dont j'ai dû escalader la cabane pour récupérer mon pantalon...

Le soleil était bientôt à mi-chemin de son zénith. Tout le monde était réveillé et prêt à partir. Notre long voyage ne faisait que débuter. La marche commença alors en cette fraîche matinée: le soleil me caressais la peau, la petite brise qui venais de derrière me poussais légèrement vers l'avant. Devant c'était encore et encore ce paysage dégagé bordé par bosquets et petites forêts. La cadence de marche était allégée, ont n'étaient pas vraiment pressés mais ont avançaient bien. C'était comme un balade entre amis, on discutaient, ont rigolaient, ont parlaient de notre passé, notre maison, notre famille. Bien sûr j'ai évité l'histoire de l'incident de ce matin. Pour une fois tout allait bien.

Le temps passait, il devait être près de midi, le soleil était juste au-dessus de nos têtes, nous avons fait une pause pour manger et nous reposer. La marche était fatigante à la longue.

Une fois la pause fini nous avons repris notre route, toujours tout droit. Après quelques heures nous avons aperçus une forêt droit sur notre itinéraire. Elle était profonde, on ne pouvait pas la contournée mais d'un autre coté elle pourrais nous servir d'abris pour la nuit.

"Bon, on y va ou on y va pas ? demandais-je aux autres.

_Moi j'la sent moyen cette forêt :peur: dit Matthieu.

_On pourra dormir dedans, alors moi je suis pour, dit Max.

_J'aurais préféré dormir dans une maison comme hier mais j'imagine que l'on a pas le choix, dit Marie

_ Moi je veux pas dormir dans les arbres, j'ai peur de tomber ! s'exclama Alice.

_ Je plussoie la gamine :hap: ajouta Matthieu.

_ Ecoute Alice, on a pas vraiment le choix, c'est ça ou dormir par terre avec le risque de rencontrer des monstres, expliquais-je à la petite fille en me mettant à sa taille.

_ Nan mais je crois que la petite à raison, son opinion se défend :hap: dit Matthieu.

_Toi t'es pas censé avoir peur, t'es grand, envoya Alice à Matthieu.

_ Owned comme tu dis ! dit Maxime en riant.

_ Taggle + go -15 la p'tite :noel:

_ Bon on va pas attendre la nuit ici, s'impatienta Marie.

_ Aller on y va, dis-je en ouvrant la marche.

_ :peur: "

Malgré le réticences de certains nous sommes entrer dans cette forêt. Elle ne nous rappelait pas de bon souvenirs et puis envisager de dormir dans un arbre n'enchante personne dans le groupe. La forêt est sombre et lugubre. Nous marchions tout droit, quand tout à coups, nous somme tombés nez à nez avec un de ces nids d'araignées. Cette fois les toiles étaient plus proches du sol et au cœur du nid se trouvait un trou creuser dans le terre, il avait l'air assez profond, c'était sans aucun doute le repaire des résidentes.

Nous avons reculés de quelques pas tout en ne perdant pas le trou des yeux. C'est à ce moment là qu'un lapin s'est mit à traverser le nid. Il s'est dirigé vers le trou est brusquement une araignée de la taille d'une tête humaine est sortie pour l'attaquer. L'arachnide avait attrapée une de ses pattes avec ses énormes mandibules mais alors qu'elle allait lâcher prise, une deuxième araignée est tombée des cimes pour sauter sur le petit mammifère, puis une autre est sortie des buissons pour passer à l'attaque à son tour.

Après quelques coups elles se sont reculé, le lapin était toujours vivant mais comme paralysé. Ses agresseuses étaient certes des araignées géantes mais elles étaient plus petites et pas noires mais verdâtres, elle faisaient à peu près la taille d'une tête humaine.

La bête sortie du trou tira le lapin dans sa tanière. Les deux autres se sont tournées vers nous puis sont parties dans les arbres.

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