Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 26
Publié le 12/10/13 à 21:47:42 par Camion2LaGalayr
Ce qui aurait pu être sans incident ne le fut pas.
Maxime se rapprochait du feu de camp, nous avions froid mais avant qu'il l’atteigne, sortie de nul par, une araignée grosse comme une tête humaine, tomba des cimes pour atterrir violemment sur son épaule ce qui le fit tomber par terre. Il fut prompt à réagir mais ce ne fut pas suffisant, déjà plusieurs autres arachnides se rapprochaient de lui. Je sortis le plus vit possible de ma cachette pour aider mon ami, de l'autre coté je vis Matthieu et Marie en faire autant. Maxime, à terre, essayait tant bien que mal de maintenir les araignées à distance mais elle étaient plusieurs sur lui. Quand nous sommes arrivés auprès de lui, toutes les araignées nous ont attaquées.
Du fait de leur petite taille, elle ne sont pas difficiles à tuée mais elle étaient nombreuses et de plus en plus tombaient des arbres ou sortaient des buissons. En me taillant un chemin dans le flot des créatures grouillantes, j'ai presque atteint le corps, maintenant inerte, de Maxime quand soudain, une de ces horribles bête sauta vers ma gorge.
J'ai lâché mon arme pour attraper à deux mains l'araignée, elle essayait de me mordre au cou. Elle poussait avec une forte incroyable avec quatre pattes sur mon torse pour pouvoir atteindre ma gorge quand tout à coup une flèche se planta dans le crâne de cette dernière. La pointe de la flèche m'avait presque atteinte. Alors que je jetais le corps de la bestiole par terre et reprenais mon épée, je continuais à taillader ses congénères. Après en avoir tuer une quinzaine, les autres prirent la fuite.
Maxime était à terre. Nous nous sommes précipités vers lui. Il avait des traces de morsures et de griffures sur son corps. J'ai vérifié son pouls. Il respirait encore. J'étais rassuré. Je me suis levé et je me suis tourné vers Marie.
« T'es folle ?! T'as faillis me tuer avec ta flèche !
_ Qu'est-ce que tu raconte ? J'ai pas utilisé mon arc !
_ Personne d'autre n'as d'arc à part toi....
_ Hey, elle vraiment pas utilisé son arc, mec, dit Matthieu.
_ Bah qui a tiré alors ? Demandais-je.
_ Moi jeune homme. »
Sortant de l’orée de la clairière, une homme d'un quarantaine d'années, de taille moyenne, cheveux grisonnants, ayant une barbe assez conséquente et avec divers cicatrices sur le visage se rapprocha de nous.
Maxime se rapprochait du feu de camp, nous avions froid mais avant qu'il l’atteigne, sortie de nul par, une araignée grosse comme une tête humaine, tomba des cimes pour atterrir violemment sur son épaule ce qui le fit tomber par terre. Il fut prompt à réagir mais ce ne fut pas suffisant, déjà plusieurs autres arachnides se rapprochaient de lui. Je sortis le plus vit possible de ma cachette pour aider mon ami, de l'autre coté je vis Matthieu et Marie en faire autant. Maxime, à terre, essayait tant bien que mal de maintenir les araignées à distance mais elle étaient plusieurs sur lui. Quand nous sommes arrivés auprès de lui, toutes les araignées nous ont attaquées.
Du fait de leur petite taille, elle ne sont pas difficiles à tuée mais elle étaient nombreuses et de plus en plus tombaient des arbres ou sortaient des buissons. En me taillant un chemin dans le flot des créatures grouillantes, j'ai presque atteint le corps, maintenant inerte, de Maxime quand soudain, une de ces horribles bête sauta vers ma gorge.
J'ai lâché mon arme pour attraper à deux mains l'araignée, elle essayait de me mordre au cou. Elle poussait avec une forte incroyable avec quatre pattes sur mon torse pour pouvoir atteindre ma gorge quand tout à coup une flèche se planta dans le crâne de cette dernière. La pointe de la flèche m'avait presque atteinte. Alors que je jetais le corps de la bestiole par terre et reprenais mon épée, je continuais à taillader ses congénères. Après en avoir tuer une quinzaine, les autres prirent la fuite.
Maxime était à terre. Nous nous sommes précipités vers lui. Il avait des traces de morsures et de griffures sur son corps. J'ai vérifié son pouls. Il respirait encore. J'étais rassuré. Je me suis levé et je me suis tourné vers Marie.
« T'es folle ?! T'as faillis me tuer avec ta flèche !
_ Qu'est-ce que tu raconte ? J'ai pas utilisé mon arc !
_ Personne d'autre n'as d'arc à part toi....
_ Hey, elle vraiment pas utilisé son arc, mec, dit Matthieu.
_ Bah qui a tiré alors ? Demandais-je.
_ Moi jeune homme. »
Sortant de l’orée de la clairière, une homme d'un quarantaine d'années, de taille moyenne, cheveux grisonnants, ayant une barbe assez conséquente et avec divers cicatrices sur le visage se rapprocha de nous.
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