Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 22
Publié le 11/10/13 à 19:48:36 par Camion2LaGalayr
Le combat était plus difficile qu'il n'y paraissait. Une fois tout les monstres à terre, nous nous sommes regroupés.
« La prochaine fois, il faudra être plus réactifs, dit Maxime
_ Mec c'est moi qui ai élaboré la stratégie et c'est toi qui dis ça ? Nan t'abuses pas un peu là ?:noel :
_ C'est vrai qu'on a de la chance que tu sois là, dis-je.
_ Je ne peux que plussoyer
_ La prochaine fois évite d'envoyer Alice vers les monstres, dit Marie.
_ J'avais pas trop le choix, go combattre un ennemie si tu ne sais pas combien ils sont.
_ Je le referais si il le faut, dit Alice de sa petite voix fluette. »
Marie n'ayant aucune autorité sur la jeune fille n’eut plus rien à redire. Nous avons donc repris notre marche au travers de la forêt. Plus alertes que jamais nous avancions entre les arbres avec pour mot d'ordre de voir sans être vu, repérer les monstres avant qu'ils ne nous voient. Avec cet objectif bien en tête, nous avons pu contourner plusieurs d'entre eux, certains isolés, d'autre pas.
Nous étions en fin d'après-midi quand nous sommes tombés sur ce spectacle macabre : un draugr était cloué à un arbre avec des flèches enfoncées dans les mains et dans les pieds, un vrai martyre pour les monstres. Marie voulu le décrocher pour récupérer les flèches mais je l'en dissuada, ce n'est pas l’œuvre d'un monstre et si c'est celle de l'homme, ce n'est pas celle d'une personne bienveillante, nous ne devions pas laisser de traces de notre passage. Marie avait déjà garnie sont stock de flèches avec trois des flèches des squelettes affrontés, le fait de prendre ces flèches n'étaient en rien indispensable.
La découverte de ce corps nous fit comprendre qu'il n'y avait pas que des monstres dans cette lugubre forêt et qu'ils n'étaient sans doutes pas des enfants de cœur. Il a été convenu, en ce moment là, que si nous tombions sur eux, soit nous les désarmerons d'une quelconque façon, soit nous serions obligés de les exécuter. Ce fut une décision lourde de conséquence à prendre pour nos consciences.
C'était bien anxieusement que nous avons passé notre chemin. Combattre des monstres totalement cons c'est une chose, mais combattre d'autres personnes en est une autre, en plus nous étions encore que des enfants.
« La prochaine fois, il faudra être plus réactifs, dit Maxime
_ Mec c'est moi qui ai élaboré la stratégie et c'est toi qui dis ça ? Nan t'abuses pas un peu là ?:noel :
_ C'est vrai qu'on a de la chance que tu sois là, dis-je.
_ Je ne peux que plussoyer
_ La prochaine fois évite d'envoyer Alice vers les monstres, dit Marie.
_ J'avais pas trop le choix, go combattre un ennemie si tu ne sais pas combien ils sont.
_ Je le referais si il le faut, dit Alice de sa petite voix fluette. »
Marie n'ayant aucune autorité sur la jeune fille n’eut plus rien à redire. Nous avons donc repris notre marche au travers de la forêt. Plus alertes que jamais nous avancions entre les arbres avec pour mot d'ordre de voir sans être vu, repérer les monstres avant qu'ils ne nous voient. Avec cet objectif bien en tête, nous avons pu contourner plusieurs d'entre eux, certains isolés, d'autre pas.
Nous étions en fin d'après-midi quand nous sommes tombés sur ce spectacle macabre : un draugr était cloué à un arbre avec des flèches enfoncées dans les mains et dans les pieds, un vrai martyre pour les monstres. Marie voulu le décrocher pour récupérer les flèches mais je l'en dissuada, ce n'est pas l’œuvre d'un monstre et si c'est celle de l'homme, ce n'est pas celle d'une personne bienveillante, nous ne devions pas laisser de traces de notre passage. Marie avait déjà garnie sont stock de flèches avec trois des flèches des squelettes affrontés, le fait de prendre ces flèches n'étaient en rien indispensable.
La découverte de ce corps nous fit comprendre qu'il n'y avait pas que des monstres dans cette lugubre forêt et qu'ils n'étaient sans doutes pas des enfants de cœur. Il a été convenu, en ce moment là, que si nous tombions sur eux, soit nous les désarmerons d'une quelconque façon, soit nous serions obligés de les exécuter. Ce fut une décision lourde de conséquence à prendre pour nos consciences.
C'était bien anxieusement que nous avons passé notre chemin. Combattre des monstres totalement cons c'est une chose, mais combattre d'autres personnes en est une autre, en plus nous étions encore que des enfants.
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