Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 14
La petite maison dans la prairie
Publié le 25/09/13 à 18:46:31 par Camion2LaGalayr
Le ciel devenait de plus en plus sombre à mesure que le temps passait. Dans ces plaines, il y a peu d'endroit pour s'abriter. Marie était inquiète de ne pas trouver d'abris pour se protéger de la pluie. Maxime la rappela à l'ordre en lui rappelant notre situation, ce n'était pas le moment de s'inquiéter pour une vulgaire pluie.
La marche n'était pas difficile, l'herbe était basse, la température de l'air idéale mais je n'arrivait pas à profiter de ces conditions de voyage, j'étais à l’affût, je ne voulais pas tomber sur un monstre ou un groupe de pillards.
Les heures passaient, le paysage défilait, le soleil rejoignit peu à peu l'horizon. Plus le temps passait plus nous étions nerveux, il nous fallait vite trouver un abris pour la nuit, autour de nous il n'y avait rien qui pourrait remplir cette fonction: pas d'arbres assez grand et fort pour y monté, pas de grottes pour se cacher. Nous avancions de plus en plus vite, il nous fallait trouver quelque chose.
Au loin on commençaient à distinguer la forme d'une petite cabane. Le visages de mes compagnons et surement de moi même, assombris par le désespoir, éclaircissage. Nous courions vers la maison, il nous restait peu de temps et il fallait persuader le propriétaire de nous héberger pour la nuit.
Arrivés au niveau de la maison, nous constations avec horreur la situation de celle-ci: la porte était défoncée et l'intérieur ravagé. Après un moment d'hésitation, Maxime entra dans ce qui restait de la cabane suivit par ma personne, les filles restaient avec Matthieu à l’extérieur. La battisse avait deux pièces, dans la plus grande, un meuble qui ressemblait à une table était cassé en deux, dans la deuxième c'était une sorte d’entrepôt de provision qui était saccagé.
Avant de faire entrer les autres Moi et Maxime avons sortit les débris de la table par la porte pour les jetés dehors. Une fois les autres entrés nous avons mis ce qui restait de la porte en travers de l'entrée. Une fois installés, nous avons allumé un feu dans la cheminé de la cabane, la soirée était plutôt fraîche mais ça ne nous empêcha pas de manger. Dans l'ancienne réserve de la cabane nous avons trouvé de la viande séchée qui était encore comestible ce qui nous permis de moins gaspiller notre propre nourriture. Nous étions heureux de pouvoir enfin nous détendre après cette longue journée de marche.
La marche n'était pas difficile, l'herbe était basse, la température de l'air idéale mais je n'arrivait pas à profiter de ces conditions de voyage, j'étais à l’affût, je ne voulais pas tomber sur un monstre ou un groupe de pillards.
Les heures passaient, le paysage défilait, le soleil rejoignit peu à peu l'horizon. Plus le temps passait plus nous étions nerveux, il nous fallait vite trouver un abris pour la nuit, autour de nous il n'y avait rien qui pourrait remplir cette fonction: pas d'arbres assez grand et fort pour y monté, pas de grottes pour se cacher. Nous avancions de plus en plus vite, il nous fallait trouver quelque chose.
Au loin on commençaient à distinguer la forme d'une petite cabane. Le visages de mes compagnons et surement de moi même, assombris par le désespoir, éclaircissage. Nous courions vers la maison, il nous restait peu de temps et il fallait persuader le propriétaire de nous héberger pour la nuit.
Arrivés au niveau de la maison, nous constations avec horreur la situation de celle-ci: la porte était défoncée et l'intérieur ravagé. Après un moment d'hésitation, Maxime entra dans ce qui restait de la cabane suivit par ma personne, les filles restaient avec Matthieu à l’extérieur. La battisse avait deux pièces, dans la plus grande, un meuble qui ressemblait à une table était cassé en deux, dans la deuxième c'était une sorte d’entrepôt de provision qui était saccagé.
Avant de faire entrer les autres Moi et Maxime avons sortit les débris de la table par la porte pour les jetés dehors. Une fois les autres entrés nous avons mis ce qui restait de la porte en travers de l'entrée. Une fois installés, nous avons allumé un feu dans la cheminé de la cabane, la soirée était plutôt fraîche mais ça ne nous empêcha pas de manger. Dans l'ancienne réserve de la cabane nous avons trouvé de la viande séchée qui était encore comestible ce qui nous permis de moins gaspiller notre propre nourriture. Nous étions heureux de pouvoir enfin nous détendre après cette longue journée de marche.
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