Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action , Science-Fiction
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 10
Le village de Labona
Publié le 22/09/13 à 20:47:59 par Camion2LaGalayr
Nous marchions encore plus vite que d'habitude, il fallait absolument atteindre cette ville avant la nuit. Nous marchions si vite qu'Alice dû rapidement se retrouver sur le dos de Maxime, la marche était éprouvante pour nous tous mais c'était une question de vie ou de mort.
Plus nous nous rapprochions de la ville, plus la forêt s’éclaircissait mais ont ne voyait toujours aucun bâtiment, aucune maison, aucune routes. Les heures passèrent et nous ne réduisions pas l'allure, Nous commencions tous à fatiguer, Alice l'avait remarqué depuis un petit moment déjà et descendais du dos de Maxime pour marcher et remontais quand elle n'en pouvait plus.
Le soleil descendais de plus en plus, nous étions inquiétés, on était le soir et nous n'avions pas trouvés la ville., on commençais à croire que ces chasseurs nous avaient mentis. Nous désespérions d'y arriver quand au loin nous apercevions enfin ce qui semblait être des palissades ! Nous avions repris espoir, nous nous dépêchions d'arriver au niveau de ces remparts de bois.
Nous étions maintenant devant la palissade: elle était haute de plus de deux mètres et les rondins de bois qui la composait était taillés en pique vers le haut, la porte, elle, n'était pas en bois, elle était en fer il me semble. Cette porte en fer était une très belle porte, bien solide mais elle était fermée. Il n'y avait personne devant alors nous avons crié pour qu'on nous ouvre. Après avoir demander que l'on nous ouvre, nous avons entendus la voix d'un homme nous dire "L'horaire de fermeture des portes est passé, revenez demain au levé du soleil
_Ouvrez cette putain de porte ! hurla Maxime de rage.
_ Ecoutez, nous sommes des réfugiés de guerre qui se sont perdu sur ces terres, nous ne les connaissons pas assez pour pouvoir nous permettre de rester exposés aux dangers de la nuit, dit Marie.
_ Vous êtes nouveau ? demanda l'homme.
_Oui, ouvrez nous, nous ne savions pas qu'il y avait un horaire de fermeture, répondais-je
_Attendez ici, dit l'homme avant de s'éloigner de la porte.
_Ils vont nous laisser entrer ? demanda Alice.
_ J'espère... lui répondis-je"
Nous avons attendus plusieurs minutes, nous ne voulions vraiment pas nous résinier à dormir dehors. L'homme qui gardait la porte était revenu, on entendait ses pas mais il n'était pas seul. Il nous dit qu'il allait nous ouvrir la porte.
La lourde porte grinçante commença a bouger et s'ouvra petit à petit. Une fois la porte grande ouverte, nous découvrions un homme d'âge avancé avec des cheveux noir et étant visiblement frappé de calvitie. Il était entouré de quatre hommes armés d'une vouge et d'un bouclier en bois. Le vieil homme qui nous souriait jusque là, nous invita à pénétrer dans le village.
Ce village, on aurait dit un vieux village de la France profonde, le genre de vieux trou paumé que l'on trouve en Bretagne ou dans le centre de la France: des maisons principalement en bois, certaines avec des fondations en pierre, les chemins c'était les espaces non occupés par des habitations, ce n'était même pas des chemins en terre ou en pierre.
Le vieil homme nous avait demandés de le suivre, nous traversions le village entourés de gardes. Les habitants de ce village nous regardais comme si nous étions des extra-terrestres, ça devait être à cause de nos vêtements, les leurs étaient simples et de couleurs fades. Après avoir traversés la moitié du village, nous sommes entré dans une battisse plus grande que les autres mais ce n'était pas non plus un château. Nous nous sommes arrêtés dans le hall, le veille homme renvoya les gardes et resta seul avec nous puis nous dit:
"Je suis Marcel Lorient, chef du village de Labona, je vous souhaite la bienvenu.
_Euh... Merci, dit Maxime en hésitant.
_Vous savez jeunes gens, vous êtes pas les premiers à être arrivés dans la ville, il y a deux jours, un jeune homme qui se nomme Matthieu, il était légèrement blessé mais nous l'avons remis sur pied. Nous avons essayés de le questionner sur le nombre de naufragés et aussi sur les événements qui se sont passés à l'extérieur mais nous avons quelques problèmes de communication avec lui, dit le vieil
_Pourquoi vous voulez avoir des informations sur le monde extérieur ? demanda Marie.
_Eh bien voyez vous, nous sommes tous ici fils de naufragés comme vous et nous ne savons rien du monde extérieur actuel, nous apprenons ce qui se passe en dehors de l'île que grâce aux naufragés que nous recueillons.
_D'accord, mais quel est le problème avec la personne que vous avez recueillit ? Elle ne parle pas français ? demandais-je.
_Eh bien je ne sais pas trop, c'est comme si il parlait français mais qu'à moitié, j'espérais que vous pourriez nous aider ou me raconter vous même, répondis le chef du village.
_Vous avez tant besoin d'informations sur le monde extérieur ? demanda Maxime.
_C'est une course au prestige parmi les villages, ceux qui sont les plus productifs, les plus peuplés, les plus forts. Nous c'est notre bibliothèque qui fait notre renommée, dit le vieil homme assez fier de lui.
_Vous pouvez nous dire quel est le problème avec ce Matthieu ? demanda Maire.
_Et bien quand je lui ai demander ce qu'il se passait ailleurs que sur l'île, il m'as répondu "BTG", dit le chef du village.
Plus nous nous rapprochions de la ville, plus la forêt s’éclaircissait mais ont ne voyait toujours aucun bâtiment, aucune maison, aucune routes. Les heures passèrent et nous ne réduisions pas l'allure, Nous commencions tous à fatiguer, Alice l'avait remarqué depuis un petit moment déjà et descendais du dos de Maxime pour marcher et remontais quand elle n'en pouvait plus.
Le soleil descendais de plus en plus, nous étions inquiétés, on était le soir et nous n'avions pas trouvés la ville., on commençais à croire que ces chasseurs nous avaient mentis. Nous désespérions d'y arriver quand au loin nous apercevions enfin ce qui semblait être des palissades ! Nous avions repris espoir, nous nous dépêchions d'arriver au niveau de ces remparts de bois.
Nous étions maintenant devant la palissade: elle était haute de plus de deux mètres et les rondins de bois qui la composait était taillés en pique vers le haut, la porte, elle, n'était pas en bois, elle était en fer il me semble. Cette porte en fer était une très belle porte, bien solide mais elle était fermée. Il n'y avait personne devant alors nous avons crié pour qu'on nous ouvre. Après avoir demander que l'on nous ouvre, nous avons entendus la voix d'un homme nous dire "L'horaire de fermeture des portes est passé, revenez demain au levé du soleil
_Ouvrez cette putain de porte ! hurla Maxime de rage.
_ Ecoutez, nous sommes des réfugiés de guerre qui se sont perdu sur ces terres, nous ne les connaissons pas assez pour pouvoir nous permettre de rester exposés aux dangers de la nuit, dit Marie.
_ Vous êtes nouveau ? demanda l'homme.
_Oui, ouvrez nous, nous ne savions pas qu'il y avait un horaire de fermeture, répondais-je
_Attendez ici, dit l'homme avant de s'éloigner de la porte.
_Ils vont nous laisser entrer ? demanda Alice.
_ J'espère... lui répondis-je"
Nous avons attendus plusieurs minutes, nous ne voulions vraiment pas nous résinier à dormir dehors. L'homme qui gardait la porte était revenu, on entendait ses pas mais il n'était pas seul. Il nous dit qu'il allait nous ouvrir la porte.
La lourde porte grinçante commença a bouger et s'ouvra petit à petit. Une fois la porte grande ouverte, nous découvrions un homme d'âge avancé avec des cheveux noir et étant visiblement frappé de calvitie. Il était entouré de quatre hommes armés d'une vouge et d'un bouclier en bois. Le vieil homme qui nous souriait jusque là, nous invita à pénétrer dans le village.
Ce village, on aurait dit un vieux village de la France profonde, le genre de vieux trou paumé que l'on trouve en Bretagne ou dans le centre de la France: des maisons principalement en bois, certaines avec des fondations en pierre, les chemins c'était les espaces non occupés par des habitations, ce n'était même pas des chemins en terre ou en pierre.
Le vieil homme nous avait demandés de le suivre, nous traversions le village entourés de gardes. Les habitants de ce village nous regardais comme si nous étions des extra-terrestres, ça devait être à cause de nos vêtements, les leurs étaient simples et de couleurs fades. Après avoir traversés la moitié du village, nous sommes entré dans une battisse plus grande que les autres mais ce n'était pas non plus un château. Nous nous sommes arrêtés dans le hall, le veille homme renvoya les gardes et resta seul avec nous puis nous dit:
"Je suis Marcel Lorient, chef du village de Labona, je vous souhaite la bienvenu.
_Euh... Merci, dit Maxime en hésitant.
_Vous savez jeunes gens, vous êtes pas les premiers à être arrivés dans la ville, il y a deux jours, un jeune homme qui se nomme Matthieu, il était légèrement blessé mais nous l'avons remis sur pied. Nous avons essayés de le questionner sur le nombre de naufragés et aussi sur les événements qui se sont passés à l'extérieur mais nous avons quelques problèmes de communication avec lui, dit le vieil
_Pourquoi vous voulez avoir des informations sur le monde extérieur ? demanda Marie.
_Eh bien voyez vous, nous sommes tous ici fils de naufragés comme vous et nous ne savons rien du monde extérieur actuel, nous apprenons ce qui se passe en dehors de l'île que grâce aux naufragés que nous recueillons.
_D'accord, mais quel est le problème avec la personne que vous avez recueillit ? Elle ne parle pas français ? demandais-je.
_Eh bien je ne sais pas trop, c'est comme si il parlait français mais qu'à moitié, j'espérais que vous pourriez nous aider ou me raconter vous même, répondis le chef du village.
_Vous avez tant besoin d'informations sur le monde extérieur ? demanda Maxime.
_C'est une course au prestige parmi les villages, ceux qui sont les plus productifs, les plus peuplés, les plus forts. Nous c'est notre bibliothèque qui fait notre renommée, dit le vieil homme assez fier de lui.
_Vous pouvez nous dire quel est le problème avec ce Matthieu ? demanda Maire.
_Et bien quand je lui ai demander ce qu'il se passait ailleurs que sur l'île, il m'as répondu "BTG", dit le chef du village.
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