Hurricane
Par : Reiks
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 9
Emerveillement
Publié le 15/05/14 à 22:50:49 par Reiks
L'un des plus beaux jours de ma vie. Déjà que je prend énormément de plaisir à faire de la moto, je vous laisse imaginer celui que je prend actuellement avec la fille que j'aime derrière moi. Le stéréotype du motard avec une bombe sexuelle derrière lui en minijupe m'a donc rattrapé. Au début de notre sortie, elle était vraiment pas sereine et me serrait le ventre à m'en étouffer, à vrai dire c'était pas vraiment déplaisant. Maintenant elle s'y est faite est à mon plus grand regret à retiré sa main gauche pour la déposer sur la poignée faite à cet effet qui était derrière elle.
A un feu rouge je lui demande comment elle se porte :
« Ca va ?
-Ca va ça va » Me dit-elle, souriante. Ou du moins c'est que j'en conclus en me retournant.
La balade dure encore une petite demi heure puis nous rentrons. Je me dévêtis de mon blouson et de mes gants. On s'installe elle et moi dans le salon et je lui sers un coca. En m'installant à coté d'elle je ne peux m'empêcher d'esquisser un grand sourire. Elle m'en demande la raison, et ma réponse est simple :
« C'est rien, simplement que j'arrive toujours pas à m'y faire que je t'ai domptée » J'adopte à ces mots un grand sourire provocateur.
« Si tu crois m'avoir déjà domptée, t'es mal partis mon p'tit mec. » Elle prend le même sourire.
J'aime bien sa façon de répondre. Je préfère ça à un couple de canards qui s'embrasse sans cesse. C'est bien plus drôle d'avoir une copine avec qui on peut converser et additionnellement se taquiner. Enfin bref, le reste de la journée passe extrêmement vite, et elle s'en va, me laissant un dernier baiser. Je me résolu à la laisser partir et vais me poser sur le PC, dans une joie toujours autant présente.
Lendemain, pas le temps de faire la grasse mat', je pars dès 7h30 chez un ami qui a fais de sa maison une putain de gaming room avec 4 autres potes, ces gros sacs sont en train de camper League Of Legends et ce depuis déjà 3 jours, les parents de mon camarade étant partis deux semaines en Espagne. Je suis partis aussi tot car c'est en général l'heure à laquelle ils ne tardent pas à aller se coucher.
Je rentre par la porte de l'arrière cuisine, je connais bien les lieux. A peine la porte est elle entrouverte qu'une odeur de fennec mort me parvient au nez. Bon c'est pas comme si j'avais jamais expérimenté ça dans ma chambre donc je fais avec. Les cinq gorets sont bel et bien tous alignés sur la table de la salle à manger. Ils se retournent un à un pour voir qui est là et comme déçu que ça ne soit pas le livreur de pizza se retournent, continuant leur partie.
« Les mecs ça y est on est ensemble. »
Ils n'entendent pas à cause de leurs casques.
« LES MECS CA Y EST JE SUIS AVEC ELLE ! »
Ils se retournent finalement et enlèvent leurs casques les laissant se fracasser sur le clavier adoptant une air ahurie en me regardant.
« Noraj'
-Connard racontes comment ça s'est passé ! S'exclame l'un deux.
-Bah c'est plutôt simp …
-Mec vas te faire foutre sale yes life, à 6 on aurait pu tryhard sur Bf4 avec un commander.
-J’avoue connard, tu devrais le savoir, « Bros before Hoes »
-Ok vos mères les puceaux, ragez pas »
Ils finissent par gagner leur partie décrochant de leurs ordinateurs respectifs pour venir s'installer avec moi dans le salon. C'est une plutôt belle baraque. Le salon est très moderne, les meubles sont blancs laqués, certains tiroirs afin de contraster eux sont noirs. Pour finir le canapé sur lequel nous sommes installés est un magnifique divan angulaire qui lui aussi laisse présager une sortie d'usine tout récente. Ils interrompent ma contemplation en me servant une cannette de sprite toute droit sortie d'un de leurs nombreux pack de 24.
« Bon alors expliques nous comment ça s'est passé. Et fais vite on va casser notre rythme de sommeil à se coucher si tard. » Je ne peux m'empêcher d'esquisser un énorme sourire à ces mots. Il doit être environ 8h15 du matin.
« C'est plutôt compliqué, mais pour faire simple, je lui ai une première fois avoué mes sentiments et comme je vous l'avais dis, on s'est embrassé. Suite à ça je me suis totalement fait ignorer. J'étais pas mal mad je dois l'avouer. Pendant la séance de sport, j'étais dans l'équipe de Yannis, on a gagné vite fait bien fait puis on a finit l'heure et demi à rester assis sur le banc. Et là t' ...
-Ouais abrège l'histoire de la baston, tout le lycée est au courant.
-Tant que ça ?
-Bah ouais mec, tu sais ça va vite. On t'appelle le prince charmant. Faut dire y avait rien de dur à mettre à terre cette tapette.
-J'aurais bien voulu t'y voir, avec ton corps de fragile.
-Raclure. »
On sourit tout les six, ça fait des années qu'on se côtoie et ça fait toujours plaisir de leur parler, ces mecs sont vraiment cool. Je continue donc de leur compter mon histoire même si ils somnolent déjà tous. Faut dire leur temps de sommeil par jour doit se compter sur les doigts d'une main.
« Le lendemain elle était devant ma porte et on s'est encore embrassés puis elle a du y aller je pensais que c'était en fin dans la poche mais ensuite à la soirée on s'est engueulé pour une connerie. Enfin je lui ai gueulé dessus. Je me suis ensuite excusé me rendant compte de ma connerie et je suis rentré chez moi. Enfin chez moi … J'avoue que je me suis endormis comme une loque sur le trottoir. Le lendemain matin j'étais finalement de retour à la maison et elle est encore venue, on s'est embrassés pour la troisième fois et là c'était officiel. Je l'ai ensuite amenée en moto, et j'suis désolé mais toutes les balades avec vous ne vaudront jamais celle que j'ai faite avec elle derrière moi. »
Pour clarifier, ils étaient eux aussi tous détenteurs d'une 125 et c'est vrai que c'était un grand plaisir de faire régulièrement des sorties en bande. Je finis donc de raconter mon histoire sachant que tôt ou tard ils s'endormiraient comme des larves sur le canapé.
A un feu rouge je lui demande comment elle se porte :
« Ca va ?
-Ca va ça va » Me dit-elle, souriante. Ou du moins c'est que j'en conclus en me retournant.
La balade dure encore une petite demi heure puis nous rentrons. Je me dévêtis de mon blouson et de mes gants. On s'installe elle et moi dans le salon et je lui sers un coca. En m'installant à coté d'elle je ne peux m'empêcher d'esquisser un grand sourire. Elle m'en demande la raison, et ma réponse est simple :
« C'est rien, simplement que j'arrive toujours pas à m'y faire que je t'ai domptée » J'adopte à ces mots un grand sourire provocateur.
« Si tu crois m'avoir déjà domptée, t'es mal partis mon p'tit mec. » Elle prend le même sourire.
J'aime bien sa façon de répondre. Je préfère ça à un couple de canards qui s'embrasse sans cesse. C'est bien plus drôle d'avoir une copine avec qui on peut converser et additionnellement se taquiner. Enfin bref, le reste de la journée passe extrêmement vite, et elle s'en va, me laissant un dernier baiser. Je me résolu à la laisser partir et vais me poser sur le PC, dans une joie toujours autant présente.
Lendemain, pas le temps de faire la grasse mat', je pars dès 7h30 chez un ami qui a fais de sa maison une putain de gaming room avec 4 autres potes, ces gros sacs sont en train de camper League Of Legends et ce depuis déjà 3 jours, les parents de mon camarade étant partis deux semaines en Espagne. Je suis partis aussi tot car c'est en général l'heure à laquelle ils ne tardent pas à aller se coucher.
Je rentre par la porte de l'arrière cuisine, je connais bien les lieux. A peine la porte est elle entrouverte qu'une odeur de fennec mort me parvient au nez. Bon c'est pas comme si j'avais jamais expérimenté ça dans ma chambre donc je fais avec. Les cinq gorets sont bel et bien tous alignés sur la table de la salle à manger. Ils se retournent un à un pour voir qui est là et comme déçu que ça ne soit pas le livreur de pizza se retournent, continuant leur partie.
« Les mecs ça y est on est ensemble. »
Ils n'entendent pas à cause de leurs casques.
« LES MECS CA Y EST JE SUIS AVEC ELLE ! »
Ils se retournent finalement et enlèvent leurs casques les laissant se fracasser sur le clavier adoptant une air ahurie en me regardant.
« Noraj'
-Connard racontes comment ça s'est passé ! S'exclame l'un deux.
-Bah c'est plutôt simp …
-Mec vas te faire foutre sale yes life, à 6 on aurait pu tryhard sur Bf4 avec un commander.
-J’avoue connard, tu devrais le savoir, « Bros before Hoes »
-Ok vos mères les puceaux, ragez pas »
Ils finissent par gagner leur partie décrochant de leurs ordinateurs respectifs pour venir s'installer avec moi dans le salon. C'est une plutôt belle baraque. Le salon est très moderne, les meubles sont blancs laqués, certains tiroirs afin de contraster eux sont noirs. Pour finir le canapé sur lequel nous sommes installés est un magnifique divan angulaire qui lui aussi laisse présager une sortie d'usine tout récente. Ils interrompent ma contemplation en me servant une cannette de sprite toute droit sortie d'un de leurs nombreux pack de 24.
« Bon alors expliques nous comment ça s'est passé. Et fais vite on va casser notre rythme de sommeil à se coucher si tard. » Je ne peux m'empêcher d'esquisser un énorme sourire à ces mots. Il doit être environ 8h15 du matin.
« C'est plutôt compliqué, mais pour faire simple, je lui ai une première fois avoué mes sentiments et comme je vous l'avais dis, on s'est embrassé. Suite à ça je me suis totalement fait ignorer. J'étais pas mal mad je dois l'avouer. Pendant la séance de sport, j'étais dans l'équipe de Yannis, on a gagné vite fait bien fait puis on a finit l'heure et demi à rester assis sur le banc. Et là t' ...
-Ouais abrège l'histoire de la baston, tout le lycée est au courant.
-Tant que ça ?
-Bah ouais mec, tu sais ça va vite. On t'appelle le prince charmant. Faut dire y avait rien de dur à mettre à terre cette tapette.
-J'aurais bien voulu t'y voir, avec ton corps de fragile.
-Raclure. »
On sourit tout les six, ça fait des années qu'on se côtoie et ça fait toujours plaisir de leur parler, ces mecs sont vraiment cool. Je continue donc de leur compter mon histoire même si ils somnolent déjà tous. Faut dire leur temps de sommeil par jour doit se compter sur les doigts d'une main.
« Le lendemain elle était devant ma porte et on s'est encore embrassés puis elle a du y aller je pensais que c'était en fin dans la poche mais ensuite à la soirée on s'est engueulé pour une connerie. Enfin je lui ai gueulé dessus. Je me suis ensuite excusé me rendant compte de ma connerie et je suis rentré chez moi. Enfin chez moi … J'avoue que je me suis endormis comme une loque sur le trottoir. Le lendemain matin j'étais finalement de retour à la maison et elle est encore venue, on s'est embrassés pour la troisième fois et là c'était officiel. Je l'ai ensuite amenée en moto, et j'suis désolé mais toutes les balades avec vous ne vaudront jamais celle que j'ai faite avec elle derrière moi. »
Pour clarifier, ils étaient eux aussi tous détenteurs d'une 125 et c'est vrai que c'était un grand plaisir de faire régulièrement des sorties en bande. Je finis donc de raconter mon histoire sachant que tôt ou tard ils s'endormiraient comme des larves sur le canapé.
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