Somniculus
Par : Volillaz
Genre : Fantastique , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Tranquillité
Publié le 19/05/14 à 21:42:06 par Volillaz
L'air était paisible dans un coin tranquille, dans une plaine fleurie et remplie de chevaux sauvages, trônant fièrement autour d'une forêt dense de feuillus immenses et majestueux. Au milieu de cette plaine, il y avait deux maisons, faites de bois et de pierres, et un moulin à vent. Un champ de blé avait été aménagé pour faire du pain.
Du moulin sortirent deux adolescents; Louis et Florentine, ayant seize et quinze ans, qui s'amusaient drôlement à chat, un de leur passe-temps favori lorsqu'ils ne devaient pas travailler.
- Louis! Attends moi! Ne vas pas trop loin, on nous l'a interdit! On a pas le droit d'entrer dans la forêt! Louis!!
Florentine avait beau s'époumoner, son ami ne l'entendait pas et continuait à s'enfoncer de plus en plus loin dans les bois. Elle le poursuivit, mais ne le trouva pas, même en cherchant partout, même en l'appelant, rien n'y faisait. Puis, elle sentit une feuille lui tomber délicatement dessus, et elle entendit un bruit au dessus d'elle.
- T'es pas marrant! Tu m'as fiché la trouille! Lui reprocha-t-elle.
Il ricana, et se mit à sauter d'arbres en arbres, disparaissant de nouveau de la vue de Florentine. La sensation d'être au dessus de tout, au dessus de la terre elle même au dessus de la terre, c'était pour lui une source de rêve et d'aventure qui s'emparait de lui, le mettait en extase, c'était sa drogue à lui. Il entendit une voix, encore celle de son amie, mais ce qu'elle disait n'était pas clair.
- Attention au bord! Le booooord! Criait la jeune adolescente.
Trop tard. Le jeune homme s'élança pour atterrir sur une autre branche, mais ne trouva rien sous son pied. En dessous de lui, il n'y avait rien, il pouvait se débattre comme il le voulait, essayer de voler, rien ne pouvait y faire, il tombait, dans un vide immense, à la fois magnifique et terrifiant. Enfin, il vit une masse de bois sous lui.
Il s'évanouit.
Du moulin sortirent deux adolescents; Louis et Florentine, ayant seize et quinze ans, qui s'amusaient drôlement à chat, un de leur passe-temps favori lorsqu'ils ne devaient pas travailler.
- Louis! Attends moi! Ne vas pas trop loin, on nous l'a interdit! On a pas le droit d'entrer dans la forêt! Louis!!
Florentine avait beau s'époumoner, son ami ne l'entendait pas et continuait à s'enfoncer de plus en plus loin dans les bois. Elle le poursuivit, mais ne le trouva pas, même en cherchant partout, même en l'appelant, rien n'y faisait. Puis, elle sentit une feuille lui tomber délicatement dessus, et elle entendit un bruit au dessus d'elle.
- T'es pas marrant! Tu m'as fiché la trouille! Lui reprocha-t-elle.
Il ricana, et se mit à sauter d'arbres en arbres, disparaissant de nouveau de la vue de Florentine. La sensation d'être au dessus de tout, au dessus de la terre elle même au dessus de la terre, c'était pour lui une source de rêve et d'aventure qui s'emparait de lui, le mettait en extase, c'était sa drogue à lui. Il entendit une voix, encore celle de son amie, mais ce qu'elle disait n'était pas clair.
- Attention au bord! Le booooord! Criait la jeune adolescente.
Trop tard. Le jeune homme s'élança pour atterrir sur une autre branche, mais ne trouva rien sous son pied. En dessous de lui, il n'y avait rien, il pouvait se débattre comme il le voulait, essayer de voler, rien ne pouvait y faire, il tombait, dans un vide immense, à la fois magnifique et terrifiant. Enfin, il vit une masse de bois sous lui.
Il s'évanouit.
24/05/14 à 18:03:30
Merci pour vos commentaires qui m'ont fait ouvrir les yeux, le second chapitre arrive, il sera je l'espère plus calme, plus descriptif et plus cohérent. :)
22/05/14 à 18:24:49
La description du champ ne suit pas le reste, j'ai pas aimé comment t'as enchainé ça. Et je trouve que c'est vraiment trop rapide, tu dis à peine qui sont les persos qu'on en arrive à l'élément problématique, et on pige à peine qui est le gosse que tu nous parles de ses sentiments. Et puis plouf, il tombe et il s'évanouit.
C'est pas une mauvaise idée d'utiliser le dialogue pour faire avancer le texte comme ça, mais là, tout se passe tellement vite...
Ça aurait bien été de faire parler Louis. Là, ça me rappelle le genre de passage où on a un flashback sur un gamin souriant qui va soudainement mourir.
Et le " Enfin, il vit une masse de bois " réduit le peu de choc émotionnel qu'on aurait pu avoir pour le gosse, calme trop la scène, et laisse à croire qu'on s'en fout de cette chute, que c'est pas important. Ça supprime tout l'effet de la phrase d'avant.
19/05/14 à 22:38:02
Puisque tu décides d'utiliser le coup classique de la perte de connaissance pour clore un passage narratif, tu devrais étoffer ces quelques lignes. Dans un film la chose passerait, mais là à peine on commence à suivre les enfants que c'est déjà fini, et on ne se sent pas vraiment concerné par la chose. Tu devrais rajouter des descriptions, et peut-être même tout raconter plus en détail.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire