Une Nouvelle Vie
Par : Lyder26
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
La nouvelle vie commence !
Publié le 30/04/11 à 00:08:49 par Lyder26
C’était là-bas ! Je reconnais cette place devant le cinéma. Mon ventre grogne, j’ai faim, je dois aller trouver un truc à manger. J’arrive dans une petite boulangerie qui fait des sandwichs, quelques instants plus tard, je me fais interpeller par le vendeur.
Vendeur - Hey ! Je te reconnais toi !
Moi – Pardon ?
Vendeur - Oui, ça fait un bon bout de temps maintenant. Même que c’est à cause de toi que je fais plus aucun crédit !
Moi - Euh… Je sais pas si vous faites erreur ou pas… Mais j’ai eut un petit accident…
Vendeur - J’veux pas savoir !
Interrompu, le vendeur se tait lorsqu’ une silhouette rentre dans la boulangerie, je me tourne en sa direction, la silhouette me semble familière. Je connais cette personne.
Juliette - Salut ! Euh… Edouard ?
Moi - Désolé je me souviens plus de ton nom…
Juliette - C’est pas grave, j’vais te rafraîchir la mémoire, moi c’est Juliette.
Mais tu sais ce n’est pas grave avec ce qu’il t’est arrivé ! Je suis vraiment ravie de te revoir ! J’étais venue te rendre visite plusieurs fois après ton accident mais tu sais… Au fur et à mesure, on perd espoir… Ca fait combien de temps que tu t’es réveillé ?
Moi - Hier matin, je viens de sortir de l’hôpital là.
Juliette - J’aimerais bien qu’on se voie un de ces quatre pour rattraper le temps perdu ! Tu comptes reprendre les cours finalement ? Ca risque d’être dur avec le retard que t’as pris, on fait plein de trucs de malade en math et tout. Oh mais je suis bête, j’pense que t’as autres choses à faire que reprendre les cours après ce qu’il t’est arrivé, tu préfères probablement te reposer, voir ta famille… En tout cas, si tu veux m’appeler, n’hésite pas ! Et si tu veux, j’peux t’aider à travailler un peu à coté des cours, bon tout sauf en math, je pige rien et aussi en physique, là on fait des équations différentielles, j’suis perdue !
Moi - Décidément, quand tu commences à parler, tu ne t’arrêtes plus ! Pour les cours, je verrai, mais je veux bien ton numéro ! Ah merde… j’ai plus de batterie sur mon portable, ça fait 6 mois qu’il dort avec moi...
Juliette - Tant pis, je t’écris mon numéro sur le poignet alors !
Moi - Oh putain no…
Juliette - Voilà ! Attends j’ai mal fais le 9 je repasse dessus pour que ça se voie bien.
Moi - Non c’est bon !! Je m’en souviendrais que c’est un 9 ce genre de pénis mal dessiné… un 9. Allez je dois partir.
Ah putain elle est trop con, j’ai le bras tout bleu maintenant ! Bon c’est vrai, je me plains alors que j’ai son numéro !
Je sors de la boulangerie, à ce moment, j’entends mon petit ventre qui commence à s’auto digérer, merde. Bon, tant pis pour cette fois, rentrons. Ca semble con mais j’ai tellement envie d’aller me coucher… pour me reposer…
Quelques minutes plus tard, j’arrive devant la maison, la porte est fermée, je sonne, personne ne répond. Je regarde à la fenêtre de la cuisine, il n’y a presque plus rien, il y a encore un frigo, une table, mais plus d’abas jour, de cafetière, de lave vaisselle… Je commence à avoir un énorme mal de crâne, je n’ai pas encore pris mon médicament aujourd’hui, c’est peut être pour ça ! Aille ! *A boire avec de l’eau* On fera sans pour cette fois, je ne peux pas attendre là… Normalement la fenêtre de ma chambre ne doit pas être verrouillée, j’ai plus qu’à escalader, j’vais encore passer 6 mois à l’hôpital avec mes conneries. Je grimpe, j’arrive presque à ma fenêtre, je vois les voisins, horrifiés en me voyant depuis le premier étage de leur maison.
Moi - Ce n’est pas ce que vous croyez.
Vieux - Oh mais on croit rien nous, Rosette, appelle la police.
Moi - Mais j’habite dans cette maison !
Vieux – Ca fait des mois que personne n’est venu dans cette maison, et tu voudrais me faire croire que c’est ici que t’habites ?
Moi - C’est une longue histoire, laissez moi au moins m’expliquer !
Pendant que le vieux me parlait que sa femme appelait la police, je me suis rapproché lentement de ma fenêtre, et merde… Elle est fermée. Je commence à essayer de descendre quand le vieux se mit à hurler « Il s’échappe ! Il s’échappe ! ». Je mets ma main dans la poche de ma petite veste. Il y a quelque chose au fond de ma poche, mes clés ? Mes clés !
Moi - N’appelez pas la police ! Regardez, j’ai les clés !
Je commence à ouvrir, j’entends une voiture qui se gare, je me retourne, c’est une voiture de police. Pour une fois qu’ils sont rapides, ça tombe sur moi alors que j’ai rien fais… Il me revaudra ça ce con de voisin. Après une heure d’explications, de questions, ils me relâchent.
Policier – Il semblerait que votre version soit vraie, des voisins confirment que la maison est inhabitée depuis plusieurs mois. On a aussi vérifié si la maison appartenait bien à votre mère. Je suis désolé pour ce malentendu, bon courage surtout !
Toutes ses histoires m’ont fatigué, il est temps que j’aille au lit… Je rentre dans la maison, tout est blanc, tout est vide, j’entre dans ma chambre, tout est encore à leur place. Il n’y a pas d’électricité par contre. Mais où sont mon frère et ma mère ? J’enlève ma veste, je branche mon portable à recharger et… merde, pas d’électricité… Je vais prendre une feuille pour noter le numéro de Juliette avant qu’il ne s’efface de mon poignet, quand je vois une feuille sur mon bureau.
« Edouard,
Peut être tu ne liras jamais ce mot que je t’ai laissé, c’est pourquoi je me suis pas fatigué à écrire un roman dont tu t’en foutrais totalement. J’ai trouvé un homme, et on a emménagé ensemble. Tu devras donc te débrouiller sans moi, si tu lis ce message, appelle à ce numéro 06 77 66 55 44, je te donnerai un peu d’argent pour que tu puisses te démmerder un peu. »
Vendeur - Hey ! Je te reconnais toi !
Moi – Pardon ?
Vendeur - Oui, ça fait un bon bout de temps maintenant. Même que c’est à cause de toi que je fais plus aucun crédit !
Moi - Euh… Je sais pas si vous faites erreur ou pas… Mais j’ai eut un petit accident…
Vendeur - J’veux pas savoir !
Interrompu, le vendeur se tait lorsqu’ une silhouette rentre dans la boulangerie, je me tourne en sa direction, la silhouette me semble familière. Je connais cette personne.
Juliette - Salut ! Euh… Edouard ?
Moi - Désolé je me souviens plus de ton nom…
Juliette - C’est pas grave, j’vais te rafraîchir la mémoire, moi c’est Juliette.
Mais tu sais ce n’est pas grave avec ce qu’il t’est arrivé ! Je suis vraiment ravie de te revoir ! J’étais venue te rendre visite plusieurs fois après ton accident mais tu sais… Au fur et à mesure, on perd espoir… Ca fait combien de temps que tu t’es réveillé ?
Moi - Hier matin, je viens de sortir de l’hôpital là.
Juliette - J’aimerais bien qu’on se voie un de ces quatre pour rattraper le temps perdu ! Tu comptes reprendre les cours finalement ? Ca risque d’être dur avec le retard que t’as pris, on fait plein de trucs de malade en math et tout. Oh mais je suis bête, j’pense que t’as autres choses à faire que reprendre les cours après ce qu’il t’est arrivé, tu préfères probablement te reposer, voir ta famille… En tout cas, si tu veux m’appeler, n’hésite pas ! Et si tu veux, j’peux t’aider à travailler un peu à coté des cours, bon tout sauf en math, je pige rien et aussi en physique, là on fait des équations différentielles, j’suis perdue !
Moi - Décidément, quand tu commences à parler, tu ne t’arrêtes plus ! Pour les cours, je verrai, mais je veux bien ton numéro ! Ah merde… j’ai plus de batterie sur mon portable, ça fait 6 mois qu’il dort avec moi...
Juliette - Tant pis, je t’écris mon numéro sur le poignet alors !
Moi - Oh putain no…
Juliette - Voilà ! Attends j’ai mal fais le 9 je repasse dessus pour que ça se voie bien.
Moi - Non c’est bon !! Je m’en souviendrais que c’est un 9 ce genre de pénis mal dessiné… un 9. Allez je dois partir.
Ah putain elle est trop con, j’ai le bras tout bleu maintenant ! Bon c’est vrai, je me plains alors que j’ai son numéro !
Je sors de la boulangerie, à ce moment, j’entends mon petit ventre qui commence à s’auto digérer, merde. Bon, tant pis pour cette fois, rentrons. Ca semble con mais j’ai tellement envie d’aller me coucher… pour me reposer…
Quelques minutes plus tard, j’arrive devant la maison, la porte est fermée, je sonne, personne ne répond. Je regarde à la fenêtre de la cuisine, il n’y a presque plus rien, il y a encore un frigo, une table, mais plus d’abas jour, de cafetière, de lave vaisselle… Je commence à avoir un énorme mal de crâne, je n’ai pas encore pris mon médicament aujourd’hui, c’est peut être pour ça ! Aille ! *A boire avec de l’eau* On fera sans pour cette fois, je ne peux pas attendre là… Normalement la fenêtre de ma chambre ne doit pas être verrouillée, j’ai plus qu’à escalader, j’vais encore passer 6 mois à l’hôpital avec mes conneries. Je grimpe, j’arrive presque à ma fenêtre, je vois les voisins, horrifiés en me voyant depuis le premier étage de leur maison.
Moi - Ce n’est pas ce que vous croyez.
Vieux - Oh mais on croit rien nous, Rosette, appelle la police.
Moi - Mais j’habite dans cette maison !
Vieux – Ca fait des mois que personne n’est venu dans cette maison, et tu voudrais me faire croire que c’est ici que t’habites ?
Moi - C’est une longue histoire, laissez moi au moins m’expliquer !
Pendant que le vieux me parlait que sa femme appelait la police, je me suis rapproché lentement de ma fenêtre, et merde… Elle est fermée. Je commence à essayer de descendre quand le vieux se mit à hurler « Il s’échappe ! Il s’échappe ! ». Je mets ma main dans la poche de ma petite veste. Il y a quelque chose au fond de ma poche, mes clés ? Mes clés !
Moi - N’appelez pas la police ! Regardez, j’ai les clés !
Je commence à ouvrir, j’entends une voiture qui se gare, je me retourne, c’est une voiture de police. Pour une fois qu’ils sont rapides, ça tombe sur moi alors que j’ai rien fais… Il me revaudra ça ce con de voisin. Après une heure d’explications, de questions, ils me relâchent.
Policier – Il semblerait que votre version soit vraie, des voisins confirment que la maison est inhabitée depuis plusieurs mois. On a aussi vérifié si la maison appartenait bien à votre mère. Je suis désolé pour ce malentendu, bon courage surtout !
Toutes ses histoires m’ont fatigué, il est temps que j’aille au lit… Je rentre dans la maison, tout est blanc, tout est vide, j’entre dans ma chambre, tout est encore à leur place. Il n’y a pas d’électricité par contre. Mais où sont mon frère et ma mère ? J’enlève ma veste, je branche mon portable à recharger et… merde, pas d’électricité… Je vais prendre une feuille pour noter le numéro de Juliette avant qu’il ne s’efface de mon poignet, quand je vois une feuille sur mon bureau.
« Edouard,
Peut être tu ne liras jamais ce mot que je t’ai laissé, c’est pourquoi je me suis pas fatigué à écrire un roman dont tu t’en foutrais totalement. J’ai trouvé un homme, et on a emménagé ensemble. Tu devras donc te débrouiller sans moi, si tu lis ce message, appelle à ce numéro 06 77 66 55 44, je te donnerai un peu d’argent pour que tu puisses te démmerder un peu. »
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