Naissance d'un fantôme
Par : GrosPorc-Malade
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
L'insouciance
Publié le 11/09/13 à 11:34:59 par GrosPorc-Malade
Je décida de passer le restant de la nuit au sommet d'une colline surplombant le camp que je venais de mettre à sac. Pas de feu pour me réchauffer. Je ne devais pas me faire voir... J'aurais pu m'en aller dès à présent. C'est vrai. Mais l'envie irrésistible de voir le camp se lever et contempler mon massacre me greffait sur place.
4h00... Le spectacle va commencer... J'ai une vue relativement dégagée du camp. Un garde sort de sa tente. C'est étrange... Pourquoi Zoyokov n'est il pas debout ? se demande t-il surement.
Alors que le garde commençais à entrer dans ma tente, je laissais échapper un sourire carnassier...
Le garde sortit de la tente en faisant 3 pas en arrière. Il regarda vivement autour de lui avant de courir vers le bâtiment du chef en hurlant des propos incompréhensible en russe.
Le meilleur restait à venir lorsque le dit garde, accompagné de 2 autres de ses camarades, entrèrent dans le bâtiment du chef.
Une nouvelle gueulante assourdissante, bien qu'étouffée par les murs du bâtiment, se fit entendre.
Quel plaisir... Je me sentais fier, invincible, vivant ! Je laissais échapper un soupir d'aise tout en m'étirant...
Un long voyage m'attendait et je devais reprendre des forces. Si j'en crois la carte que j'ai volé plus tôt, le prochain campement est à environ 5 heures de marche. Il semble légèrement fortifié au vu des trais épais qui l'entoure sur la carte. Ma future destination enfin planifié, je m'endormis à la belle étoile...
C'est un bruit d'éboulement qui me réveilla en sursaut à seulement 4h38. Encore dans les vapes, je me releva et regarda fébrilement le bas de la colline.
Quel insouciant j'étais ! Il était évident que les russes allaient envoyer des patrouilles à ma recherche ! Mon arrogance qui m'avais poussé à passer la nuit si près du campement eu raison de moi. L'éboulement provenait d'un garde qui avait glissé en tentant d'escalader la colline. Le garde en question eu tôt fait de me repérer.
Il hurla de toute ses force une courte phrase qui, même si je ne l'a comprenais pas, devais fortement ressembler à un "Il est là !!!"
D'un coup, tout les gardes au loin avaient les yeux rivés sur moi et convergeaient vers ma position en courant. Le temps d'abattre le garde qui m'avais découvert en contrebas avec mon revolver, je prie mes jambes à mon cou.
J'entendais derrière moi les cris enragé de mes poursuivants. Je courais à en perdre haleine. Je ne m'arrêtais pas. Je commençais à gagner du terrain mais l'effort intense me stoppa net.
Je me sentait au plus mal. Mon coeur sortait littéralement de ma poitrine à chaque battements. Je sentais mes pupilles se dilater et un profond malaise montait le long de ma gorge. Je finis par vomir.
Il faisait encore nuit. Et au loin, je pouvais distinguer ce qui ressemblais à un lotissement en ruine.
C'était là ma seul chance... Je devais atteindre ce lotissement.
Je repris alors ma course. J'avançais aussi vite que possible avec mon bras droit contre mon estomac. Dans ma main gauche, mon revolver. Prêt à être utilisé.
Il gagnaient désormais du terrain... Quelques balles commençaient à siffler à mes pieds.
Bon sang ! Je ne vais jamais y arriver...
Je tirais derrière moi sans même viser en désespoir de cause...
Les premières maison n'étaient plus qu'à une centaine de mètre.
Je pensais m'en être tiré jusqu'à ce qu'une balle vienne se loger dans ma cheville gauche...
4h00... Le spectacle va commencer... J'ai une vue relativement dégagée du camp. Un garde sort de sa tente. C'est étrange... Pourquoi Zoyokov n'est il pas debout ? se demande t-il surement.
Alors que le garde commençais à entrer dans ma tente, je laissais échapper un sourire carnassier...
Le garde sortit de la tente en faisant 3 pas en arrière. Il regarda vivement autour de lui avant de courir vers le bâtiment du chef en hurlant des propos incompréhensible en russe.
Le meilleur restait à venir lorsque le dit garde, accompagné de 2 autres de ses camarades, entrèrent dans le bâtiment du chef.
Une nouvelle gueulante assourdissante, bien qu'étouffée par les murs du bâtiment, se fit entendre.
Quel plaisir... Je me sentais fier, invincible, vivant ! Je laissais échapper un soupir d'aise tout en m'étirant...
Un long voyage m'attendait et je devais reprendre des forces. Si j'en crois la carte que j'ai volé plus tôt, le prochain campement est à environ 5 heures de marche. Il semble légèrement fortifié au vu des trais épais qui l'entoure sur la carte. Ma future destination enfin planifié, je m'endormis à la belle étoile...
C'est un bruit d'éboulement qui me réveilla en sursaut à seulement 4h38. Encore dans les vapes, je me releva et regarda fébrilement le bas de la colline.
Quel insouciant j'étais ! Il était évident que les russes allaient envoyer des patrouilles à ma recherche ! Mon arrogance qui m'avais poussé à passer la nuit si près du campement eu raison de moi. L'éboulement provenait d'un garde qui avait glissé en tentant d'escalader la colline. Le garde en question eu tôt fait de me repérer.
Il hurla de toute ses force une courte phrase qui, même si je ne l'a comprenais pas, devais fortement ressembler à un "Il est là !!!"
D'un coup, tout les gardes au loin avaient les yeux rivés sur moi et convergeaient vers ma position en courant. Le temps d'abattre le garde qui m'avais découvert en contrebas avec mon revolver, je prie mes jambes à mon cou.
J'entendais derrière moi les cris enragé de mes poursuivants. Je courais à en perdre haleine. Je ne m'arrêtais pas. Je commençais à gagner du terrain mais l'effort intense me stoppa net.
Je me sentait au plus mal. Mon coeur sortait littéralement de ma poitrine à chaque battements. Je sentais mes pupilles se dilater et un profond malaise montait le long de ma gorge. Je finis par vomir.
Il faisait encore nuit. Et au loin, je pouvais distinguer ce qui ressemblais à un lotissement en ruine.
C'était là ma seul chance... Je devais atteindre ce lotissement.
Je repris alors ma course. J'avançais aussi vite que possible avec mon bras droit contre mon estomac. Dans ma main gauche, mon revolver. Prêt à être utilisé.
Il gagnaient désormais du terrain... Quelques balles commençaient à siffler à mes pieds.
Bon sang ! Je ne vais jamais y arriver...
Je tirais derrière moi sans même viser en désespoir de cause...
Les premières maison n'étaient plus qu'à une centaine de mètre.
Je pensais m'en être tiré jusqu'à ce qu'une balle vienne se loger dans ma cheville gauche...
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