La fille de la nouvelle voisine
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : Terminée
Note :
Chapitre 20
La balle rechange de camp
Publié le 24/08/13 à 17:48:05 par LePatriarche
La situation prenait une nouvelle fois une tournure inattendue... Mais j'essayais une nouvelle fois de refléchir à des solutions.
Moi : Tu va vraiment très loin la
Lucie : Comme je dis toujours, le controle n'a pas de prix, allez maintenant, je ne veux meme plus que tu sois à genoux, c'est beaucoup trop d'honneur pour une vermine comme toi. J'exige que tu me supplies à 4 pattes de me lécher les cuisses.
Moi :
Lucie : Pourquoi tu rigoles mon petit chien ?
J'ai arreté net de rire, et je l'ai fixé.
Lucie : C'est bien, ton regard se rapproche de celui du petit chien
Moi : Tu prends beaucoup de risques, tu le sais ça ?
Lucie : Sans risques, il n'y a pas de controle
Ne change pas de sujet, approche mon minou.
Elle ne voulait que je l'approche ou que je la touche seulement lorsqu'elle me le demandait, car tout à l'heure, elle etait très genée quand c'etait moi qui prenait les initiatives. Je ne pouvais la toucher que si c'était elle qui l'exigeait.
Lucie : Viens me faire des petites léchouilles !
Moi : Non.
Lucie : J'ai cru mal entendre, tu veux vraiment que je sorte dehors comme ça ? Ca serait terrible pour toi...
Elle m'enervait tellement que sur le coup, je ne pensais qu'a l'humilier ou à la narguer, tout en montrant que ces mencaces ne me faisait pas peur du tout.
Moi : Oui sors et casse toi de chez moi pendant que tu y es !
Lucie : Tu l'auras voulu ! :
Elle se dirigeait vers la porte de chez moi, avec la ferme intention de crier dehors comme une folle. Au meme instant, je me suis dirigé vers la fenetre, pour la fermer.
Lucie : Pourquoi tu fermes la fenetre ?
Moi : Oh... Parce que je suis chez moi, et ici, c'est moi qui décide !
Lucie aggripait la poignet de la porte, tira de toute ses forces, mais celle-ci ne s'ouvrait pas.
Lucie : La porte...Elle est bloquée.
Moi : T'es sure qu'elle est bloquée ? Réessaye pour voir...
Lucie essayait tant bien que mal d'ouvrir la porte, mais en vain, je sortis alors les clés de la maison :
Moi : C'est ça que tu cherches !
Lucie : T'as fermé la porte espèce d'enfoiré, passe moi les clés, et je te pardonne
J'ai imité son visage, tout en lui disant non. Elle etait enervé comme jamais.
Moi : Je te l'ai dit, ici c'est moi qui décide.
T'aurais pas du prendre autant de risque, maintenant tu te retrouves enfermés dans une maison avec moi, avec le soutif détaché.
Lucie :...
Moi : Je me demande ce que ferais un "homme de la première catégorie et son instinct animal" dans cette situation. Il en profiterais certainement pour te violer.
Lucie :
Moi : Mais ne t'inquiètes pas, je ne suis pas un monstre, bien au contraire, car je vais te laisser une chance de redemption.
Lucie : Qu'est-ce que tu veux je fasse alors...
Moi : On va jouer à mon jeu préféré !
Lucie :
Moi : Le prince et la servante ! Tu vas adorer !!
Moi : Tu va vraiment très loin la
Lucie : Comme je dis toujours, le controle n'a pas de prix, allez maintenant, je ne veux meme plus que tu sois à genoux, c'est beaucoup trop d'honneur pour une vermine comme toi. J'exige que tu me supplies à 4 pattes de me lécher les cuisses.
Moi :
Lucie : Pourquoi tu rigoles mon petit chien ?
J'ai arreté net de rire, et je l'ai fixé.
Lucie : C'est bien, ton regard se rapproche de celui du petit chien
Moi : Tu prends beaucoup de risques, tu le sais ça ?
Lucie : Sans risques, il n'y a pas de controle
Ne change pas de sujet, approche mon minou.
Elle ne voulait que je l'approche ou que je la touche seulement lorsqu'elle me le demandait, car tout à l'heure, elle etait très genée quand c'etait moi qui prenait les initiatives. Je ne pouvais la toucher que si c'était elle qui l'exigeait.
Lucie : Viens me faire des petites léchouilles !
Moi : Non.
Lucie : J'ai cru mal entendre, tu veux vraiment que je sorte dehors comme ça ? Ca serait terrible pour toi...
Elle m'enervait tellement que sur le coup, je ne pensais qu'a l'humilier ou à la narguer, tout en montrant que ces mencaces ne me faisait pas peur du tout.
Moi : Oui sors et casse toi de chez moi pendant que tu y es !
Lucie : Tu l'auras voulu ! :
Elle se dirigeait vers la porte de chez moi, avec la ferme intention de crier dehors comme une folle. Au meme instant, je me suis dirigé vers la fenetre, pour la fermer.
Lucie : Pourquoi tu fermes la fenetre ?
Moi : Oh... Parce que je suis chez moi, et ici, c'est moi qui décide !
Lucie aggripait la poignet de la porte, tira de toute ses forces, mais celle-ci ne s'ouvrait pas.
Lucie : La porte...Elle est bloquée.
Moi : T'es sure qu'elle est bloquée ? Réessaye pour voir...
Lucie essayait tant bien que mal d'ouvrir la porte, mais en vain, je sortis alors les clés de la maison :
Moi : C'est ça que tu cherches !
Lucie : T'as fermé la porte espèce d'enfoiré, passe moi les clés, et je te pardonne
J'ai imité son visage, tout en lui disant non. Elle etait enervé comme jamais.
Moi : Je te l'ai dit, ici c'est moi qui décide.
T'aurais pas du prendre autant de risque, maintenant tu te retrouves enfermés dans une maison avec moi, avec le soutif détaché.
Lucie :...
Moi : Je me demande ce que ferais un "homme de la première catégorie et son instinct animal" dans cette situation. Il en profiterais certainement pour te violer.
Lucie :
Moi : Mais ne t'inquiètes pas, je ne suis pas un monstre, bien au contraire, car je vais te laisser une chance de redemption.
Lucie : Qu'est-ce que tu veux je fasse alors...
Moi : On va jouer à mon jeu préféré !
Lucie :
Moi : Le prince et la servante ! Tu vas adorer !!
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