La fille de la nouvelle voisine
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental , Réaliste
Status : Terminée
Note :
Chapitre 15
Manipulation et réelles intentions
Publié le 24/08/13 à 17:26:07 par LePatriarche
Elle me chuchota doucement à l'oreille :" Maintenant on peut VRAIMENT se rafrachir, viens me faire un calin mon chou, tu ne le regretteras pas !
Je ne voulais pas, il suffisait de voir ma tete pour comprendre , mais elle etait vraiment persuasif.
Lucie : Ah oui, tu n'as pas le droit de refuser, sinon je déchire mon soutien gorge, je sors dehors et je crie : " Ah mon Dieu, cet homme... Il a tenté de me violé... Il m'a... Par pitié, sauvez moi, c'est horrible !! ".
Moi : Tu n'as aucune preuve, personne te croiras.
Lucie : Ohh mais t'as la télé chez toi non ? Un soutif déchirée ca veut tout dire, je serais lavé de tout soupçon, tu passeras à la télé pour un vrai psychopathe :)
Moi : T'es vraiment malade...
Lucie : Ca serait vraiment dommage que ta maman chérie vienne te chercher au commissariat, la pauvre, pense un peu à elle, son fils unique en prison pour tentative de viol...
Moi : Pourquoi tu veux faire tout ça ? Je ne vois pas qu'elle interet tu pourrais avoir à faire ça. En plus, c'est immonde...
Lucie : Pour le plaisir, j'aime jouer. Allez, arrete de changer de sujet.
J'arrivais pas à croire ce qu'elle disait. Elle paraissait vraiment sérieuse, mais je ne devais pas prendre le risque...
Je voulais l'insulter, l'ignorer, mais sur le moment j'ai souris :
Moi : Approche...
Lucie : Ouiii !
Comme la veille, et comme il y a quelques minutes, j'ai encore fait ce qu'elle me demandait. Cette fois-ci, tout son corps etait froid, c'était aussi glacial que les méthodes qu'elle employait pour me faire chanter. Mon corps contre le sien, elle posait son visage sur mon cou, ses mains étaient d'abord posés sur mon dos, puis elles descendaient progressivement. Je ne pouvais presque plus parler. J'avais vraiment froid, rajouter à cela mes frissons dans le dos...
Lucie : Tu aimes cette sensation ?
Moi : Oui
Lucie : Tu m'aimes ?
Moi :...
Lucie : Ne me dis pas que tu hésites, car moi j'aurais aucune hésitation, regarde...
Elle posait la main sur son fin soutien gorge, qu'elle s'appretais à enlever si je ne lui donnais pas entière satisfaction.
Moi : Oui je t'aime !
Lucie : C'est bien, tu progresses vite, mais c'est pas assez encore, je veux plus, beaucoup plus...
Je ne voulais pas, il suffisait de voir ma tete pour comprendre , mais elle etait vraiment persuasif.
Lucie : Ah oui, tu n'as pas le droit de refuser, sinon je déchire mon soutien gorge, je sors dehors et je crie : " Ah mon Dieu, cet homme... Il a tenté de me violé... Il m'a... Par pitié, sauvez moi, c'est horrible !! ".
Moi : Tu n'as aucune preuve, personne te croiras.
Lucie : Ohh mais t'as la télé chez toi non ? Un soutif déchirée ca veut tout dire, je serais lavé de tout soupçon, tu passeras à la télé pour un vrai psychopathe :)
Moi : T'es vraiment malade...
Lucie : Ca serait vraiment dommage que ta maman chérie vienne te chercher au commissariat, la pauvre, pense un peu à elle, son fils unique en prison pour tentative de viol...
Moi : Pourquoi tu veux faire tout ça ? Je ne vois pas qu'elle interet tu pourrais avoir à faire ça. En plus, c'est immonde...
Lucie : Pour le plaisir, j'aime jouer. Allez, arrete de changer de sujet.
J'arrivais pas à croire ce qu'elle disait. Elle paraissait vraiment sérieuse, mais je ne devais pas prendre le risque...
Je voulais l'insulter, l'ignorer, mais sur le moment j'ai souris :
Moi : Approche...
Lucie : Ouiii !
Comme la veille, et comme il y a quelques minutes, j'ai encore fait ce qu'elle me demandait. Cette fois-ci, tout son corps etait froid, c'était aussi glacial que les méthodes qu'elle employait pour me faire chanter. Mon corps contre le sien, elle posait son visage sur mon cou, ses mains étaient d'abord posés sur mon dos, puis elles descendaient progressivement. Je ne pouvais presque plus parler. J'avais vraiment froid, rajouter à cela mes frissons dans le dos...
Lucie : Tu aimes cette sensation ?
Moi : Oui
Lucie : Tu m'aimes ?
Moi :...
Lucie : Ne me dis pas que tu hésites, car moi j'aurais aucune hésitation, regarde...
Elle posait la main sur son fin soutien gorge, qu'elle s'appretais à enlever si je ne lui donnais pas entière satisfaction.
Moi : Oui je t'aime !
Lucie : C'est bien, tu progresses vite, mais c'est pas assez encore, je veux plus, beaucoup plus...
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