Majorité Sayksuelle
Par : Rhubarb
Genre : Sayks , Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 75
Publié le 09/09/13 à 17:18:46 par Rhubarb
Je laissais les minutes passer calmement mais petit à petit, une forme de rage montait en moi.
00h49, ça faisait plus de 10minutes qu'ils m'avaient littéralement jarté de la chambre.
Je prenais mon mal en patience mais celle-ci avait des limites.
Toujours pas de Dr. à l'horizon donc aucun moyen d'en apprendre plus de façon raisonnable.
01h24, c'était trop. Près de trois quarts d'heure que j'attends comme un pauvre con devant cette porte, fallait que je fasse quelquechose.
Fuck la police, ma jauge de patience était vide et pas moyen de la remplir ( ).
High Kick dans la porte ! Bon ok je l'ai poussée timidemment.. Et je rentre discrètement. Personne ne m'avais vu, j'en profite pour prendre une place preferencielle dans la chambre et gueule un coup : "Putain est-ce que quelqu'un ici voudrait bien m'expliquer ce qui se passe ici merde ! "
La tous ces connards sursaute et une infirmière me réponds :
-Mais que faites vous ici ?! Sor..
-Vous m'avez déjà jarté du lit maintenant je veux des explications ! Vous lui faîtes quoi à ma copine la ?
-Ah c'est votre copine ? Vous êtes Archi ? Le Dr nous avait pas prévenu que vous seriez la.. Excusez nous.
-C'EST PASSÉ PAR LA TETE DE PERSONNE DE ME DEMANDER QUI J'ÉTAIS AVANT DE ME VIRER ?!
-Non vous savez..
-Je m'en fous ! Vous lui faîtes quoi ?!
-Des tests, on veut voir dans quel état elle est, pour les fonctions cérébrales et tout..
-Vous en avez pour longtemps ?!
-Non encore une petite heure..
-Et c'est pas longtemps une heure merde ? Bref, je vais pas m'énerver ici.. (Too late). Venez me chercher quand vois aurez finit j'attends devant...
Putain sérieux, ils deconnaient la. On peux pas passer un moment avec la personne avant leurs conneries ?
Énervé je me postais sur une chaise et encore une fois, fit preuve d'une patience remarquable.
Vers 2h00 du mat', j'ai jugé bon d'envoyer un texto à la team pour les prévenirs du réveil de Meg.
Fidèles à eux mêmes ils ne dormaient pas et m rappelèrent tous prévenant qu'il viendrait à l'hosto tout de suite. Il leur faudrait sûrement un peu de temps vu qu'ils étaient pour la plupart à pieds, sauf Manix et qu'ils habitaient plus loin que moi de l'hôpital.
A 2h40, paye ta ponctialité, la même connasse d'infirmière vint me voir suivie de toutes les autres et du mec chelou :
-C'est bon nous avons fini, dit-elle encore visiblement sous le choc de mon aggressivité un peu plus tôt..
-Et les résultats ?
-On doit d'abord les contrôler avec le Dr. dans la matinée avant de s'exprimer mais elle va étonnement bien pour un si long coma..
-Ouais, vous servez pas à grand chose mais merci quand même..
C'est clair je lui en mettais pleins la gueule mais vous me comprenez..
Je le écartai et avançai vers la porte. Posant une main dessus je retrouvai mon calme. Juste avant de la pousser j'interpellai mon infirmière préférée et lui dit :
-Elle est réveillée au moins ?
-Oui oui..
Pas besoin de faire sa moue parce que j'avais haussé la voix, c'était pas la première fois que ça lui arrivait je pense. C'etait pas de ma faute, la haine qui s'accumulait en moi depuis des années et encore plus récemment se derversait legerrement sur elle.
Je repris une dernière inspiration et poussait la porte. Elle était assise sur son lit, bien plus vivant au niveaux des couleurs que lorsque que j'avais l'occasion de la voir pendant mes visites.
J'avancais, appréhendant sa réaction, et tout doucement je laissai échapper un "Heey "
Elle tourna la tête vers moi sans réagir pendant quelques secondes, j'entamais alors une expliation :
-Euh.. tu te ra..
-Bébé, t'es toujours la
Après tout ce temps..
-Ah ils t'ont mis au courant ? Tu sais tout, le temps qui s'est écoulé..?
-Oui... Dit-elle avec un léger sanglot dans la voix.
Je m'approchai rapidemment d'elle et la pris dans mes bras. Je sentis ses larmes monter aux spasmes de son corps.
-Pleure pas mon cœur, je suis la, tout est comme avant, c'est comme si tout ses mois n'avaient pas étés.. S'il te plait ne pleure pas, je n'ai pas pleuré jusqu'ici je veux pas pleurer maintenant..
-'Scuse moi Archi.. Je ne ne voulais pas t'infliger ça.. Tous ces moments d'incertitude, de trisstesse..
-C'est finit..
Luttant tant bien que mal contre cette scène caricaturale mais profonde, je ne parvins pas à retenir mes sanglots.
Je pleurais, dans ses bras, elle dans les miens, pour la dernière fois, je l'esperait..
00h49, ça faisait plus de 10minutes qu'ils m'avaient littéralement jarté de la chambre.
Je prenais mon mal en patience mais celle-ci avait des limites.
Toujours pas de Dr. à l'horizon donc aucun moyen d'en apprendre plus de façon raisonnable.
01h24, c'était trop. Près de trois quarts d'heure que j'attends comme un pauvre con devant cette porte, fallait que je fasse quelquechose.
Fuck la police, ma jauge de patience était vide et pas moyen de la remplir ( ).
High Kick dans la porte ! Bon ok je l'ai poussée timidemment.. Et je rentre discrètement. Personne ne m'avais vu, j'en profite pour prendre une place preferencielle dans la chambre et gueule un coup : "Putain est-ce que quelqu'un ici voudrait bien m'expliquer ce qui se passe ici merde ! "
La tous ces connards sursaute et une infirmière me réponds :
-Mais que faites vous ici ?! Sor..
-Vous m'avez déjà jarté du lit maintenant je veux des explications ! Vous lui faîtes quoi à ma copine la ?
-Ah c'est votre copine ? Vous êtes Archi ? Le Dr nous avait pas prévenu que vous seriez la.. Excusez nous.
-C'EST PASSÉ PAR LA TETE DE PERSONNE DE ME DEMANDER QUI J'ÉTAIS AVANT DE ME VIRER ?!
-Non vous savez..
-Je m'en fous ! Vous lui faîtes quoi ?!
-Des tests, on veut voir dans quel état elle est, pour les fonctions cérébrales et tout..
-Vous en avez pour longtemps ?!
-Non encore une petite heure..
-Et c'est pas longtemps une heure merde ? Bref, je vais pas m'énerver ici.. (Too late). Venez me chercher quand vois aurez finit j'attends devant...
Putain sérieux, ils deconnaient la. On peux pas passer un moment avec la personne avant leurs conneries ?
Énervé je me postais sur une chaise et encore une fois, fit preuve d'une patience remarquable.
Vers 2h00 du mat', j'ai jugé bon d'envoyer un texto à la team pour les prévenirs du réveil de Meg.
Fidèles à eux mêmes ils ne dormaient pas et m rappelèrent tous prévenant qu'il viendrait à l'hosto tout de suite. Il leur faudrait sûrement un peu de temps vu qu'ils étaient pour la plupart à pieds, sauf Manix et qu'ils habitaient plus loin que moi de l'hôpital.
A 2h40, paye ta ponctialité, la même connasse d'infirmière vint me voir suivie de toutes les autres et du mec chelou :
-C'est bon nous avons fini, dit-elle encore visiblement sous le choc de mon aggressivité un peu plus tôt..
-Et les résultats ?
-On doit d'abord les contrôler avec le Dr. dans la matinée avant de s'exprimer mais elle va étonnement bien pour un si long coma..
-Ouais, vous servez pas à grand chose mais merci quand même..
C'est clair je lui en mettais pleins la gueule mais vous me comprenez..
Je le écartai et avançai vers la porte. Posant une main dessus je retrouvai mon calme. Juste avant de la pousser j'interpellai mon infirmière préférée et lui dit :
-Elle est réveillée au moins ?
-Oui oui..
Pas besoin de faire sa moue parce que j'avais haussé la voix, c'était pas la première fois que ça lui arrivait je pense. C'etait pas de ma faute, la haine qui s'accumulait en moi depuis des années et encore plus récemment se derversait legerrement sur elle.
Je repris une dernière inspiration et poussait la porte. Elle était assise sur son lit, bien plus vivant au niveaux des couleurs que lorsque que j'avais l'occasion de la voir pendant mes visites.
J'avancais, appréhendant sa réaction, et tout doucement je laissai échapper un "Heey "
Elle tourna la tête vers moi sans réagir pendant quelques secondes, j'entamais alors une expliation :
-Euh.. tu te ra..
-Bébé, t'es toujours la
Après tout ce temps..
-Ah ils t'ont mis au courant ? Tu sais tout, le temps qui s'est écoulé..?
-Oui... Dit-elle avec un léger sanglot dans la voix.
Je m'approchai rapidemment d'elle et la pris dans mes bras. Je sentis ses larmes monter aux spasmes de son corps.
-Pleure pas mon cœur, je suis la, tout est comme avant, c'est comme si tout ses mois n'avaient pas étés.. S'il te plait ne pleure pas, je n'ai pas pleuré jusqu'ici je veux pas pleurer maintenant..
-'Scuse moi Archi.. Je ne ne voulais pas t'infliger ça.. Tous ces moments d'incertitude, de trisstesse..
-C'est finit..
Luttant tant bien que mal contre cette scène caricaturale mais profonde, je ne parvins pas à retenir mes sanglots.
Je pleurais, dans ses bras, elle dans les miens, pour la dernière fois, je l'esperait..
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