Rampe,_on_verra_apres
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Répis
Publié le 19/08/13 à 01:18:03 par Pseudo supprimé
Me voilà seule, dans ma chambre. Une mélodie s’insinue dans mes oreilles, j’avais oubliée que mon ipod continuait de tourner en aléatoire. Du Saez, « Je Suis Perdu ». Trop sensible à cette chanson sur laquelle j’ai trop pleuré, je la passe avec agacement. Je me mets un peu de classique, pour me calmer de ma soudaine agitation. Je veux plus souffrir, je veux juste être une fille comme les autres, qui rigole avec ses copines et se promène avec son copain dans de beaux paysages. Mais ce n’est pas mon cas, je ne suis pas comme ça. Moi j’aime l’extrême comme me le répète souvent un ami. Des amis, autant filles que garçons, j’en ai pas beaucoup. Je les fais fuir, les filles car elles sont jalouses de moi, les garçons car je ne peux pas facilement résister au fait de coucher avec.
Mon esprit flotte au son du piano, je voudrais être une mélodie, vivre intensément un moment, puis disparaitre, pour laisser la place aux autres.
Je décide alors de chasser ces pensées obscures, de me mettre un bon petit Pixies « Somthing Against You » ça n’a jamais fait de mal à personne, puis, ça remonte le morale, de se défouler sur quelqu’un, on ne sait pas trop qui, mais de pouvoir gueuler ça en rythme, c’est tellement bon.
J’ouvre mon PC portable, je lance Battlefield Bad Company 2 et je vais sur le premier serveur que je vois. Une bonne partie de ma team vient alors me rejoindre rapidement. Mon fusil à pompe et moi faisons des ravages dans les rangs ennemis. Une foi calmée, je ferme le BGE et je me connecte sur msn, twitter et malheureusement Facebook. Mes cyberfriends viennent me parler, mes ex viennent quémander encore un peu de sexe, mes amies me parlent de leurs problèmes, et moi je traine sur Dans Ton Chat. Une soirée banale me direz-vous. Et là, je vois une petite fenêtre en bas à droite apparaitre pour me signaler que « Tom vient de se connecter ». Tom, c’est LE coup de ma vie. Enfin, je dis ça pour tous les bassistes. Entre Paul, Guillaume et Arnaud… En fin de compte je ne parle plus aux 3.
La basse, c’est mon rêve. Je trouve cet instrument magique. Autant il est discret et agréable, autant il est le pilier de toute la musique. Mais ce n’est pas encore aujourd‘hui que je pourrais avoir mon propre instrument…
Enfin, ma cible vient me parler. Elle est plutôt coriace, mais je le suis plus qu’elle. Une certaine sérénité s’empare de moi, autant je suis bien quand je baise, ou quand je bois. Voir même quand je joue à des FPS. Mais je ne ressens jamais autant d’euphorie qu’au moment de la chasse. Comme une panthère qui guette sa proie… J’aime observer longtemps, bien cerner les traits de caractère de l’homme pour ensuite le mener par le bout du nez. Mais tout ça dans la plus grande délicatesse, en évitant de toucher aux sentiments, c’est collant sinon.
Je le veux, et je l’aurais. Comme tous les hommes. Ma distraction commence, toujours la même méthode (que je ne la citerais pas ici, certaines de mes cibles pourraient alors y voir clair dans mon jeu). Tout en savourant les guitares envoutantes de Burn de Deep Purple. D’un certain plaisir sadique je me mets à chauffer ce pauvre homme. La réaction ne se fait pas attendre, l’imbécile tombe à mes pieds.
Les mots sont des armes, si on sait les manier, vous avez les âmes des autres au bout de vos doigts.
Il est environ 2h30 de matin… Mes yeux se ferment tout seuls, it’s time to sleep ! Demain encre une grosse journée de prévue, parce que demain soir, je sors à la kitch. Une boite branchée entre la Grande motte et Carnon, au bord de la mer. Musique des année 80, déguisements, alcool, amies, beaux bosses, et un twittos. Je vais bien m’amuser.
Mon esprit flotte au son du piano, je voudrais être une mélodie, vivre intensément un moment, puis disparaitre, pour laisser la place aux autres.
Je décide alors de chasser ces pensées obscures, de me mettre un bon petit Pixies « Somthing Against You » ça n’a jamais fait de mal à personne, puis, ça remonte le morale, de se défouler sur quelqu’un, on ne sait pas trop qui, mais de pouvoir gueuler ça en rythme, c’est tellement bon.
J’ouvre mon PC portable, je lance Battlefield Bad Company 2 et je vais sur le premier serveur que je vois. Une bonne partie de ma team vient alors me rejoindre rapidement. Mon fusil à pompe et moi faisons des ravages dans les rangs ennemis. Une foi calmée, je ferme le BGE et je me connecte sur msn, twitter et malheureusement Facebook. Mes cyberfriends viennent me parler, mes ex viennent quémander encore un peu de sexe, mes amies me parlent de leurs problèmes, et moi je traine sur Dans Ton Chat. Une soirée banale me direz-vous. Et là, je vois une petite fenêtre en bas à droite apparaitre pour me signaler que « Tom vient de se connecter ». Tom, c’est LE coup de ma vie. Enfin, je dis ça pour tous les bassistes. Entre Paul, Guillaume et Arnaud… En fin de compte je ne parle plus aux 3.
La basse, c’est mon rêve. Je trouve cet instrument magique. Autant il est discret et agréable, autant il est le pilier de toute la musique. Mais ce n’est pas encore aujourd‘hui que je pourrais avoir mon propre instrument…
Enfin, ma cible vient me parler. Elle est plutôt coriace, mais je le suis plus qu’elle. Une certaine sérénité s’empare de moi, autant je suis bien quand je baise, ou quand je bois. Voir même quand je joue à des FPS. Mais je ne ressens jamais autant d’euphorie qu’au moment de la chasse. Comme une panthère qui guette sa proie… J’aime observer longtemps, bien cerner les traits de caractère de l’homme pour ensuite le mener par le bout du nez. Mais tout ça dans la plus grande délicatesse, en évitant de toucher aux sentiments, c’est collant sinon.
Je le veux, et je l’aurais. Comme tous les hommes. Ma distraction commence, toujours la même méthode (que je ne la citerais pas ici, certaines de mes cibles pourraient alors y voir clair dans mon jeu). Tout en savourant les guitares envoutantes de Burn de Deep Purple. D’un certain plaisir sadique je me mets à chauffer ce pauvre homme. La réaction ne se fait pas attendre, l’imbécile tombe à mes pieds.
Les mots sont des armes, si on sait les manier, vous avez les âmes des autres au bout de vos doigts.
Il est environ 2h30 de matin… Mes yeux se ferment tout seuls, it’s time to sleep ! Demain encre une grosse journée de prévue, parce que demain soir, je sors à la kitch. Une boite branchée entre la Grande motte et Carnon, au bord de la mer. Musique des année 80, déguisements, alcool, amies, beaux bosses, et un twittos. Je vais bien m’amuser.
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