Test_Nouvelle_poesie
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 19/08/13 à 01:16:57 par Pseudo supprimé
Correspondance
La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.
Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens,
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Charles Beaudelaire
Consultation
Le temple de colonnes
Est vraiment trop trop perdu,
C'est vraiment comme la femme,
Pas vraiment trop trop habituée.
De vrais cris, vraiment trop loin,
Crient vraiment trop, pour de vrais,
Inexorablement ;
Vraiment beaucoup.
La viande vraiment fraiche,
Belle et vraiment trop trop gentille,
Est pleine de verre....
Qui ont l'expansion vraiment infinie
Comme le lapin vraiment trop trop blanc,
Qui va vers le pays pas vraiment trop plus beaucoup merveilleux...
Sheyne
La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.
Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens,
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Charles Beaudelaire
Consultation
Le temple de colonnes
Est vraiment trop trop perdu,
C'est vraiment comme la femme,
Pas vraiment trop trop habituée.
De vrais cris, vraiment trop loin,
Crient vraiment trop, pour de vrais,
Inexorablement ;
Vraiment beaucoup.
La viande vraiment fraiche,
Belle et vraiment trop trop gentille,
Est pleine de verre....
Qui ont l'expansion vraiment infinie
Comme le lapin vraiment trop trop blanc,
Qui va vers le pays pas vraiment trop plus beaucoup merveilleux...
Sheyne
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