OMG J'ai tué ma grand-mère !!!

Chapitre V)



-Vid t poch pd
-...
-T sour ? Vid t poch jté di !

D'un seul coup, j'ai dégainé mon sabre, et ai bondi tel un panda sous cocaïne en rut sur le petit wesh, lui transperçant le bide et le faisant tourner, son dos contre mon torse, ma lame sous sa gorge : il s'agissait bel et bien d'une prise d'otage
Je m'adressai à ce qui semblait être le chef de la bande :

-Ecoute Jean-Mouloud ( ), si tu veux revoir ton fréro en vie, dis à tes macaque de se calmer

J'avais vraiment eu l'oeil, la ressemblance était frappante entre les deux, la même coupe (dégradé-steak ) et mêmes sapes de merde, je gérais

-Lui mon reuf ? C just une put ri1 a foutr, vné les mec, on lsaut

Fail... L'équipe de suédois s'avançait vers moi, je jetais le petit merdeux sur les rails, et dégainait mon p'tit flingue de merde ( ), je tirai partout, mettait des coups de katanas dans tous les sens, je troue un bide, je tranche un bras, je mets une balle dans un oeil, je gérai, rien ne pouvait m'arrê.... *PAN* ... Je venais de me prendre une balle dans le ventre, et pas un p'tit airsoft de merde, un vrai calibre. Je m'écroulais au sol, tandis que les 4 survivants me rouaient de coups. Ils m'ont littéralement tabassé pendant 10 minutes, le sang giclait de chaque centimètre carré de mon visage, j'étais ouvert de partout, je sentais mes os craquer... Ils m'ont dépouillé, tout pris, ma thune, mes armes, mes fringues... J'étais à poil, sans rien, gisant dans mon propre sang... Là c'était la fin, et je faisais plus le fier
J'entendais leurs rire résonner dans les couloirs, c'était fini... Juste en s'en allant , les wesh étaient revenus vers moi, fermement décidé à "jouer" encore un peu avec moi ils m'avaient foutu à poil, autant aller jusqu'au bout... Charles-Edouard ( ), écarta mes fesses et y plongea son Z

_NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!!!!!!!!

Je venais de me réveiller en sursaut, dans une chambre d'hôpital, il faisait jour, il devait être 12H à peu près, la lumière du soleil me brulait les yeux (forcément... ) , j'avais des bandages plein le crane, des pansements sur les joues, un bras dans le platre, le torse entièrement bandé (je parle de bandages hein ) une cicatrice sur la jambe gauche, je devais avoir quelques cotes fêlées, et c'est tout...
Je m'en tire plutôt bien, moi qui pensait que j'allais crever, j'me retrouve là, dans une chambre d'hosto, c'tait pas le grand luxe, mais bon...
Alors que je faisais mumuse avec le lit relevant ( ) une infirmière rentra dans la salle

_Tu es réveillé ? :)

Une magnifique blonde, la vingtaine, forte poitr... Ok fake, une brune pas très grande, p'tits seins, jolies jambes et visage passable, elle devait avoir 25 ans.

_... Ou.. Oui.
_Je suis Julie-Catherine, mais tu peux m'appeler Julie :)

"Julie-Catherine", tu parles d'un prénom en mousse

_....
_On t'a retrouvé à Châtelet à poil, une balle dans le ventre, tu saignais de partout, on se demande comment tu as survécu...
_....

Ca me revenait, l'agression à Châtelet, les wesh...

_...
_T'as pas l'air très bavard, tu dois encore être sous le choc. A propos, on est Lundi, on t'a retrouvé ya 2 jours. Si tu as mal, tu peux t'injecter de la morphine en appuyant sur ce bouton, et n'hésite pas à m'appeler avec ce bouton là en cas de problème. Repose toi bien, tu vas avoir de la visite... :)

Et elle quitta la pièce. Je me retrouvai seul dans la pièce, deux choses avaient retenu mon attention : la morphine et la "visite" que j'allais recevoir...
Qui cela pouvait-il bien être ? Je n'avais plus personne, et je doute qu'ils aient réussi à retrouver mon père...
Enfin, j'm'en branlais, c'est l'heure de Malcolm !
Je mattais le premier épisode, en floodant le bouton de morphine, je me suis senti détendu comme jamais
Après 20 minutes, on m'apporta à bouffer. J'engloutis mon plateau en 2 minutes et le balançai par la fenêtre, j'avais pris de la morphine, j'avais le droit de tout faire !
Alors que le premier épisode se terminai, je jouais au sudoku en remplissant la grille n'importe comment (morphine oblige ) quand je décidai de me branler, ça faisait longtemps...
J'enlevai ma couette, remonter ma blouse, et commençai mes aller-retour...
J'étais seul, quand soudain


_Bonjour, ces inspecteurs aimeraient te parl....

Je devais pas avoir l'air fin... A poil, le manche en main, en plein astiquage... J'étais sous morphine, et pas gêné pour autant...

-Onche Onche ?
_Bonjour, je suis l'inspecteur Dick Inson, ma collège et moi même avons des questions à vous poser, veuillez vous rhabiller jeune homme...
Et j'aimerais qu'on ne nous dérange pas.
-Olol bien ton nom incestueux ?
-Veuillez vous calmer, nous ne plaisantons pas ! Hurla sa collègue.
_Bon bah, je vous laisse, à plus tard

Julie avait quitté la pièce, j'étais seul avec eux...
Il y avait un vieux maigrichon et une bonnase.
C'est pas possible, j'en ai marre, marre, marre !!!!
Pas question d'aller en prison ou de répondre à des questions débiles ! (
Je m'injectaii la masse de morphine, je brandis mon stylo, je me lève, debout sur mon lit et je plante l'inspecteur Inson dans la carotide
Un jet de sang d'au moins 3 mètres de long s'échappa de sa gorge, ce con tournait dans tous les sens, foutant du sang partout sur ma blouse en papier (ah ok les fringues mousseuses ).
Alors que sa collègue essayait me tirer dessus, elle fut aveuglé par le jet de sang, j'en profitai pour lui foutre un coup de plâtre dans le nez, la faisant tomber à la renverse. Je décidai de la ligoter avec mon drap et de la bâillonner. J'en profitai pour la foutre à poil et la violer...
Après avoir profiter de cette ravissante créature, je lui éclate la tête avec la crosse de son 9mm et je la termine en la pendant au plafond avec mon drap...
Je me relève prends les fringues de l'inspecteur Inson, son arme, sa plaque. Je m'habillai et quittai discrètement l'hôpital.
J'étais à nouveau dehors, j'avais deux armes, des menottes, et une plaque...
Je n'avais qu'un sel objectif, retrouver la bande de suédois qui m'avaient humilié à Châtelet, ça allait saigner !