Bon, alors un petit résumé de ma vie ...
Mais l'auteur il veut pas "Non, ton flashback va effrayer les lecteurs" ... FFFUUUUUU !!!

D'ailleurs ça veut dire quoi ça ? M'enfin, si je respecte la charte lors de mon flashback l'auteur va peut-être me pardonner. :
"Merci pour ton pr0n aufait "


Note de Robear : Des rebords blancs un peu flous ce serait pas mal.


...


J'ai 14 ans ... Oui, j'ai eu 14 ans il y a un mois. C'est ce jour de printemps où ma vie a basculé ...
Je jouais tranquillement du violon dans le salon avec la fille du patron de père qui cherche désespérément à avoir une prime pour une raison obscure.

Au bout d'un moment, des pigeons ont traversé la vitre. Moi, je faisais le clown ( ) pour amuser la petite quand les pigeons m'ont déséquilibré. Je tombais donc littéralement en arrière, me fracassant le crâne contre les pots de fleurs du balcon. Avant de me relever, puis de faire une chute libre.




...




Robear : Mmmhh... GGNNAAAAHHH !!!... *cric crac* (décidément, une vraie manie de se faire craquer les os au réveil )

Je me levais légèrement, quand j'entendis des bribes de conversation à la porte ...

Médecin : Monsieur, il est très probable que votre fils ne puisse plus jamais faire de violon, désolé.
Père de Robear : Ce... C'est... Mais...
Médecin : Oui, je sais, ça va être un choc pour lui aussi. Tous les ligaments de ses bras sont à demi ligaturés. Et tous ses nerfs du bras gauche sont sectionnés, ceux de sa main droite sont morts, ils ne se régénèreront pas avant une bonne dizaine d'années. Après un tel temps sans entrainement, il ne pourra plus jamais jouer.
Père de Robear : Comment je vais pouvoir lui annoncer ça, moi ...


Moi ? Ne plus jamais pouvoir jouer de violon ? Et rester handicapé pendant 10 ans ? Comment je vais écrire ? Comment je vais pouvoir me ré-éduquer par la suite ? Comment je vais me masturber ?

Robear :

La porte s'ouvre, Père, la fille du patron et lui-même entrèrent dans la chambre et me virent en pleurs.

Ils sont venus avec une boite de chocolats,un bouquet de fleurs et ... rien d'autre ... Peu-importe, ils vont m'annoncer que je ne peut plus jouer de violon, et que sans un beau miracle, je ne pourrais plus jamais écrire où retrouver l'usage complet où post-complet de mes bras. Je ne veux pas les écouter... Je veux tant revenir en arrière, je voudrais tant avoir de nouveau 8 ans ... Je voudrais tant être insouciant ... Je voudrais tellement rester innocent ... Pour toujours ...

Père de Robear : Écoute, ça va peut-être être un choc mais ...
Robear : ...
Père de Robear : Enfait, heu ... Tu ... Heu ... Et bien ...
Patron du père de Robear : Enfait, ce que mon incompétent d'employé à qui j'ai quand-même accordé une prime voudrait te dire, c'est que tu ne pourras plus jamais jouer de violon.
Robear : ...
Fille du patron : Tiens, je t'ai apporté des chocolats, et je t'ai dessiné !
Robear : Héhéhéhé ... Merci petite ...
Fils de Robear : Robear ... Tu étais déjà au courant, non ?
Robear : ...
Patron : Rassures-moi, Robear ça va ?
Robear : Allez vous en s'il vous plait, je ne me sens pas bien ...
Père de Robear : La pire chose à faire quand tu as ce genre de problème, c'est rester seul à pleurer dans son coin, viens avec nous, on va manger un bon repas à la cafétéria de l'Hôpital.
Robear : Il est quelle heure ? Et aussi, on est le combien ?
Patron : On est le 3 mars et il est 11h30
Robear : ...



Je suis resté en état comateux pendant 5 jours ... Pourtant je n'ai pas très faim ... M'enfin, ce sera mieux pour moi de venir avec eux ...


Robear : Attendez moi, je vous rejoindrai plus tard.
Fille du patron : Papa, monsieur, venez alors ! Puis-ce qu'il nous rejoint !
Robear : Héhé, il faudrait surtout que je m'habille, ce serait bien si vous pouviez me laisser.


Ils partirent donc de la chambre d'hôpital où je suis actuellement logé ... Superbe clinique privée que je connais très bien d'ailleurs.

Je sortit de mon lit puis j'enlevais ces horribles hâbits pour me changer.


...



C'est bon, je vais les rejoindre.


Fille du patron : Bouh !
Robear : Aaah ! Tu m'as fait peur !
Fille du patron :
Robear : Tu n'est pas avec ton papa ? Je t'ai dit que je vous rejoindrais, j'ai juste besoin d'un peu de temps pour descendre.
Fille du patron : Je t'aime.


OMG OMG OMG ! La fille du patron de père, elle n'a que 8 ans et elle est amoureuse de moi ...
Mais, intérieurement ... Je ne rêverait pas d'avoir le même âge qu'elle ? Oui, voila ... Donc si j'ai son âge, je peux !
Mais je ne sais pas quoi répondre, moi ...
Tiens, et si je faisais comme l'Oncle Albert et la fille de son voisin ?


Fille du patron : Dis-moi, ma petite ... Tu aimes les lapins ? Ça te dirait d'en voir un vrai ? :

















AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!! IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

BLAM ! ARGH


Bien les onomatopées à la con ? "Ouais ben moi j'y peut rien, c'est les premiers sons qui me viennent à l'esprit hein ... "


Vous imaginez bien la suite, j'ai été considéré comme responsable de mes actes, etc etc ... J'ai fait quelques années de prison avant de m'évader et de partir du Luxembourg pour aller vivre en France ...

Je n'ai jamais su ni parler Luxembourgeois, ni Allemand, je détestais les langues germaines même si je suis d'origine Autrichienne.

Bref, on s'en fout ... Maintenant, après quelques bonnes trentaines de meurtres et viols sur mineurs, je suis actuellement dans un hôpital psychiatrique ...





La sweet plus tard ...

Pas la sweet de son flashback, hein ...
Bon, il ne manque plus que le flashback de Florent, notre hapiste.

Ça va être beau, tiens ... Avec des "ONCH", des "" et des "TU VE UN TUC, TU VE DU PONCH, TU VE DE LA SOUPOCHOU ? " tout le temps, je pense qu'on s'en passera !