Note de la fic : Non notée

[FIC]_une_annee,une_famille,_moi...


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3


Publié le 19/08/2013 à 01:15:37 par Pseudo supprimé

-{ Chapitre 3 } - Quelle galère!


En face de moi, je voyais 2 espèces de bolosses qui me dévisagaient avec un air abruti, on aurait dit des yacks :(
http://missionmongolie.blog.lemonde.fr/files/yak.JPG

Au début, je préférais ne pas préter attention à ces 2 gugus.. En effets, Cathy m'avait prévenue que le métro était rempli de gens n'ayant rien d'autre à foutre que de chercher des embrouilles.. C'est donc tout naturellement que je dirigea mon regard vers la porte métallique en face de moi (a ok pas de paysage..), mais, peine perdue hélas..

yack 1 - hé!
moi - oui quoi?
yack 1 - t'as peur?? (peut etre de ta sale gu*ule à la limite mais sinon je vois pas pourquoi :hum: )
moi - bah non pourquoi j'aurais peur?
yack 2 - fais pas le malin!

à ce moment là je vous avoue que je commence à peter un cable..

moi - mais putain lache moi j'vous ai rien demander allez vous amuser ailleurs!

grossières erreur :ouch2: là le yack numéro 1 reviens à la charge, il me pousse, ce qui manque de me faire tomber d'ailleurs, me met une baffe et me bafouille:

yack 1 - ferme ta gueule on est pas tes potes je te défonce direct moi!!

A ce moment là je vous avoue que je commençais à flipper quand meme, mais j'eu de la chance! Car une âme charitable (et très costaud aussi :noel: ) vint s'interposer pour dire aux 2 mecs de se calmer, et c'est ainsi qu'il descendirent à la station suivante. PWNED les racailles. Je remerciais le type qui m'avait défendu, qui me répondit simplement par un "c'est normal" , et ce fût à mon tour de descendre.

On a beau dire, mais j'étais assez choqué par ce qu'il venait de se passer, pendant un an, les occasions que ça se reproduise ne manquerait pas :malade:

Bon, je remonte dans la rue, mais là, ma mère ne m'a laissé aucune indication, si ce n'est le nom du lycée. Tout naturellement, je vais demander mon chemin à la première passante que je croise.

-bonjour madame excusez moi je cherche le ...

A ok le con*sse , la fille ne s'est même pas arrêtée, super la fraternité dans cette ville... Je me dis que le sud me manque déjà. :-(

Deuxième tentative, c'est parti.

-bonjour monsieur je cherche le lycée XY , vous pourriez m'en indiquer la route à suivre?
-Pas de problème, tu va tout droit, tu suis la carrefour, tu tourne à la rue X, tu suis jusqu'à tomber sur la rue Y, tu tourne 2 fois à gauche, tu va tout droit, tu prend le carrefour Z et ça devrait pas être loin. Au revoir.

Non mais il se fout de moi là, je vais jamais trouver moi.

néanmoins, après une bonne demi heure de trajet, je fini par tomber dessus. A ma grande surprise, c'est un très beau lycée, je m'imaginais un lycée moderne à moitié délabré (vive les préjugés du sud sur Paris :-p )

Bon je me décide à rentrer, je m'approche de cette grande porte de bois ( ah ok) ,et ... OUFFF c'est ouvert déjà, avec mes parents, ça aurait été possible qu'il m'envoient ici un jour de fermeture :sarcastic:

Je rentre donc timidement, et sans aucun problème, je trouve le secrétariat, je vois une fille, environ mon âge, assise sur une des 4 chaises en plastique pourri placées devant le bureau. Sans reflechir, je rentre, et sans toquer à la porte.. quel boulet, je m'en souviendrais toute ma vie la façon dont je me suis fait reçevoir

- Bonjour, je suis là pour..
- Personne ne vous a autoriser à entrer, donc vous sortez de là et vous attendez que je vous appelle, c'est pas plus compliqué que ça jeune homme..

Le ton qu'elle avait employé.. je me sentais comme une merde honnetement.

La fille, posée derrière moi, se mit timidement à rigoler, je me retourna donc, et c'est à ce moment là que je pus admirer une sublime créature des mains de dieu :coeur:

Elle était plutot petite , avec des cheveux bruns à la coupe tout en dégradé, qui tombaient magnifiquement sur son doux et fin visage, sublimé par de grands yeux verts. Ce n'était pas une " bombe sexuelle " ou une " meuf trop bonne" , mais elle était assez timide et avait beaucoup de charme, ce genre de fille me plaisait..

La conversation démarre timidement:

moi - (lol) tu t'apelles comment?
???? - Pauline, et toi??
moi - Erman. Dis moi, comme j'aime pas trop ton prénom je peux t'appeler Popo??

... OH le méchant bide!! moi qui avait voulu tenter d'etre drôle, bah là c'était raté.. elle ne me regarda et ne me répondit même pas! je repris:

(moi) - désolé, tu sais c'était juste une blague, une mauvais apparemment ^^
(pauline) - c'est pas grave. Tu viens faire quoi ici?
(moi) - je viens m'inscrire, on vient d'emménager ici et mes parents n'en ont rien à foutre de se bouger pour moi, donc faut bien que je le fasse. Et toi tu fais quoi ici?
(pauline) - La même chose que toi, je viens de bretagne et je m'inscris ici cette année, mais j'ai un peu peur de la rentrée car je ne connais personne.
(moi) - T'inquiètes pas, je serais là moi..

A ok le phrase de tecktonik killer fashion bogoss que j'ai sorti, Depuis quand je connais des trucs pareils moi?

c'est ainsi que nous échangons nos numéros de portable, elle, me promettant qu'elle m'enverrait un texto dès ce soir, et qu'elle espérait ma réponse (mon le crédit qui va enfin servir! )

La secrétaire l'appela pour l'inscription.. Puis moi. Ensuite, vint l'heure de déjeuner, mais malheuresement, je n'eut pas le courage de lui proposer de l'inviter, je ne la connaissais pas assez et il ne fallait pas que je prenne trop confiance en moi, plus haute en serait la désillusion sinon.
Par la suite, je rentra chez moi au terme d'un long et pénible trajet que j'allais devoir emprunter chaque jour, mais j'avais le sentiment de ne pas avoir perdu mon temps.
J'étais enfin inscris au lycée, et puis j'avais pour la première fois rencontré quelqu'un depuis notre emmenagement...

A l'occasion, il faudra que je raconte ça sur le 15-18 :noel:
A mon retour chez moi, je monta directement dans ma chambre, pour me coucher et faire une sieste justement mérité! A mon réveil, peut être aurais-je reçu un texto... AAAAArg il faut que j'arrête je deviens déjà accro..
Et ainsi, la sieste commença..

Mais soudain..


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