La_dechirure_du_temps
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Publié le 19/08/13 à 01:13:59 par Pseudo supprimé
Chapitre 4
Bryan s’installe sur le siège gauche, à coté de Nick, et lui demande de lui passer les papiers de bord. Nick s’exécute. Puis, Bryan met son casque, jette un œil sur le panneau, puis réplique :
- Notre altitude est correcte, elle est de trente-sept mille pieds.
Albert essaie de parler, mais au moment où il ouvre la bouche, Bryan continue :
- Nous suivons notre cap.
Nick, voyant que Bryan tourne les pages du carnet de bord rapidement, se permet :
- Qu’est ce que vous faites ?
- Je regarde… où se trouvent les aéroports, les plus proches.
Bryan pose le carnet, puis commence à régler la fréquence dans le but d’obtenir une connexion avec l’extérieur. Il commence à parler dans le micro :
- Denver Center, ici l’American Pride, vol 29, est ce que vous me recevez, terminé.
Pas de réponse. Bryan règle une nouvelle fois la fréquence, puis reprend :
- Denver Center je vous prie, ici l’ American Pride, vol numéro 29, nous avons de gros problèmes ! …
Nick remarque que Bryan commence à s’impatienter. Effectivement, le pilote parle plus vite et d’un ton plus « intense » :
- A vous, terminé !
Nick, se préparant au pire demande à Bryan :
- Alors, dites-nous ce qu’il y a.
- J’n’ai pas de contact radio ! Je ne reçois rien du tout ! , répond le commandant Engle.
Une nouvelle fois, il trafique les boutons :
- MEYDE MEYDE ICI L’AMERICAN PRIDE, VOL 29, NOUS VOUS DEMANDONS DE L’AIDE DE TOUTE UREGENCE, REPONDEZ-MOI…
Encore un changement de fréquence :
- New York Com, ici l’ American Pride, vol numéro 29, nous vous demandons un contact radio, c’est urgent! Denver, répondez, répondez je vous prie ! Ici l’AP, vol numéro 29, VOUS ME REPONDEZ OUI OU MERDE !!!
- Calmez-vous. , dit alors Rudy Warrek, un des passagers restants, qui vient d’entrer dans le cockpit. Puis ce dernier retourne dans la cabine de première classe. Bob Jenkins vient à son tour dans le cockpit.
Bryan abandonne, puit dit :
- Ce signal n’aboie pas non plus, qu’est ce qu’ils foutent en dessous, y a une guerre nucléaire ou quoi ?
Nick questionne :
- Attendez, qu’est ce que vous entendez par « le signal n’aboie plus » ?
- La tour de Denver ne reçoit rien, plus rien au niveau de la réception de signaux de détresse.
New York Com, qui fournit les autorisations, ne bronche pas non plus !
Bryan, ne cessant de trafiquer les boutons du tableau de bord, réplique :
- Nous avons une bande de fréquence radio très performante. Ils devraient sauter sur nos fréquences comme un loup lâché dans une bergerie, et je ne capte plus rien du tout !
La tension, le stress commencent à s’emparer des passagers présents dans le cockpit (Albert, Nick, Bethani, ainsi que Bob).
Bryan continue :
- La balise VOR ne reçoit rien non plus !
- Que voulez-vous dire ? , demande alors Bob Jenkins.
- Je veux dire qu’on n’a plus de contact radio. Plus de radar, plus de radio, plus de navigation pour rejoindre Denver. Les instruments de bord ne signalent rien d’anormal ! Je ne comprends pas, c’est incroyable !
Bethani commence à paniquer, sa respiration s’accélère. Tous se posent encore plus de questions…
Bryan se retourne et demande alors à Albert :
- Euh, jeune homme, tu veux bien aller sur la gauche de l’avion et nous dire ce que tu vois en dessous de nous ?
Albert y va sur le champ. Pendant ce temps, Bryan explique à Nick :
- Les instruments de bord m’indiquent qu’on ne doit plus être très loin de Denver, maintenant.
Dans la cabine principale, Albert jette un œil à travers le hublot… il revient dans le cockpit. Nick lui demande :
- Alors ?
- Y a rien du tout dehors…rien…, répond le jeune homme.
Bryan s’installe sur le siège gauche, à coté de Nick, et lui demande de lui passer les papiers de bord. Nick s’exécute. Puis, Bryan met son casque, jette un œil sur le panneau, puis réplique :
- Notre altitude est correcte, elle est de trente-sept mille pieds.
Albert essaie de parler, mais au moment où il ouvre la bouche, Bryan continue :
- Nous suivons notre cap.
Nick, voyant que Bryan tourne les pages du carnet de bord rapidement, se permet :
- Qu’est ce que vous faites ?
- Je regarde… où se trouvent les aéroports, les plus proches.
Bryan pose le carnet, puis commence à régler la fréquence dans le but d’obtenir une connexion avec l’extérieur. Il commence à parler dans le micro :
- Denver Center, ici l’American Pride, vol 29, est ce que vous me recevez, terminé.
Pas de réponse. Bryan règle une nouvelle fois la fréquence, puis reprend :
- Denver Center je vous prie, ici l’ American Pride, vol numéro 29, nous avons de gros problèmes ! …
Nick remarque que Bryan commence à s’impatienter. Effectivement, le pilote parle plus vite et d’un ton plus « intense » :
- A vous, terminé !
Nick, se préparant au pire demande à Bryan :
- Alors, dites-nous ce qu’il y a.
- J’n’ai pas de contact radio ! Je ne reçois rien du tout ! , répond le commandant Engle.
Une nouvelle fois, il trafique les boutons :
- MEYDE MEYDE ICI L’AMERICAN PRIDE, VOL 29, NOUS VOUS DEMANDONS DE L’AIDE DE TOUTE UREGENCE, REPONDEZ-MOI…
Encore un changement de fréquence :
- New York Com, ici l’ American Pride, vol numéro 29, nous vous demandons un contact radio, c’est urgent! Denver, répondez, répondez je vous prie ! Ici l’AP, vol numéro 29, VOUS ME REPONDEZ OUI OU MERDE !!!
- Calmez-vous. , dit alors Rudy Warrek, un des passagers restants, qui vient d’entrer dans le cockpit. Puis ce dernier retourne dans la cabine de première classe. Bob Jenkins vient à son tour dans le cockpit.
Bryan abandonne, puit dit :
- Ce signal n’aboie pas non plus, qu’est ce qu’ils foutent en dessous, y a une guerre nucléaire ou quoi ?
Nick questionne :
- Attendez, qu’est ce que vous entendez par « le signal n’aboie plus » ?
- La tour de Denver ne reçoit rien, plus rien au niveau de la réception de signaux de détresse.
New York Com, qui fournit les autorisations, ne bronche pas non plus !
Bryan, ne cessant de trafiquer les boutons du tableau de bord, réplique :
- Nous avons une bande de fréquence radio très performante. Ils devraient sauter sur nos fréquences comme un loup lâché dans une bergerie, et je ne capte plus rien du tout !
La tension, le stress commencent à s’emparer des passagers présents dans le cockpit (Albert, Nick, Bethani, ainsi que Bob).
Bryan continue :
- La balise VOR ne reçoit rien non plus !
- Que voulez-vous dire ? , demande alors Bob Jenkins.
- Je veux dire qu’on n’a plus de contact radio. Plus de radar, plus de radio, plus de navigation pour rejoindre Denver. Les instruments de bord ne signalent rien d’anormal ! Je ne comprends pas, c’est incroyable !
Bethani commence à paniquer, sa respiration s’accélère. Tous se posent encore plus de questions…
Bryan se retourne et demande alors à Albert :
- Euh, jeune homme, tu veux bien aller sur la gauche de l’avion et nous dire ce que tu vois en dessous de nous ?
Albert y va sur le champ. Pendant ce temps, Bryan explique à Nick :
- Les instruments de bord m’indiquent qu’on ne doit plus être très loin de Denver, maintenant.
Dans la cabine principale, Albert jette un œil à travers le hublot… il revient dans le cockpit. Nick lui demande :
- Alors ?
- Y a rien du tout dehors…rien…, répond le jeune homme.
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