La_rose_blanche...
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Clay Scott
Publié le 19/08/13 à 01:13:35 par Pseudo supprimé
Jack la regarda droit dans les yeux avec un léger sourire. Il pensait que cette jeune femme était en mal de sensation, de reconnaissance peut être.
« Vous ne me croyez pas, s’esclaffa t’elle, vous n’avez pas lu cet article jusqu’au bout ! »
Jack baissa les yeux et lut plus en profondeur son article, à la fin de celui-ci se trouvait un petit encadré ayant pour titre « A qui le tour ».
« A ce jour, aucun lien n’a été trouvé aux deux familles qui justifierait de telles abominations, cependant dans toute la bourgeoisie londonienne des questions ce posent sur qui sera la suivant, en effet, il s’avère d’après des fuites sur l’enquête que le ou les meurtrier ne s’arrêteront pas à ces 2 meurtres donc nous serions sur la piste de meurtre en série. Qui est la prochaine famille ? Nous ne pouvons que mettre en garde les plus riches de la ville notamment la famille McGuire ou encore les O’Connelly… »
Jack souriait de plus belle.
« Cela vous faire sourire ! Et bien moi aussi figurez vous »
-Et bien, votre famille à du souci à ce faire alors, commenta Jack, les journalistes sont bien imprudents, désigner des noms … manquerait plus que des déséquilibrés s’en mêlent.
Dehors le temps se gâtait, de gros nuages noirs s’amassait à l’horizon tandis que les deux comparses continuaient de parler gaiement sur leurs voyages respectifs aux Amériques.
Helen, était une figure importante du Hippisme Britannique et elle était allez voir un cheval dans les Hampton chez un éleveur de pur sang, qui aurait pu être sa future monture. Mais l’animal n’avait pas convaincue la jeune cavalière.
Clay Scott, enquêteur à Scotland Yard, fumait un cigare dans son bureau. Il était sceptique. Les photographies des deux familles se trouvaient devant lui, sur son bureau. A l’extérieur la nuit tombait à peine et un orage éclatait. Cela faisait déjà 4 heures qu’il étudiait les photographies, la position des corps, les blessures, la rose blanche. Il ne comprenait pas, tout liait ces deux crimes et rien ne permettait de distinguer les mobiles. Au loin, des cloches, Big Ben sonna 22 heures. Il prit sa loupe et entreprit d’étudier une dernière fois les photographies. Il commença par les deux maîtres de maison, tout deux avaient la même position. Devant l’escalier, le crane défoncé, face contre terre, le bras droit en avant et l’index tendu. Comme s’il désignait un endroit du salon. Clay chercha alors sa loupe et auscultât aussitôt l’image du salon de chacune des victimes. Les pièces se ressemblaient quasi parfaitement, comme toutes les maisons bourgeoises de l’ouest de Londres Le doigt désignait l’âtre de la cheminée. Une imposante cheminée de style XVIIIème. Le manteau en marbre ornementé de photos. Il regarda plus attentivement dans la cheminée, mais ne pu rien distingué de précis. Un tableau était suspendu il représentait une scène bucolique de chasse dans le salon des Smith, et dans celui des Brian une vieille grand mère défraichie. Sur le rebord des petits bibelots et des cadres photos. Hélas tous ceci était trop pour être distingués correctement et étudiés. Il y avait quelque chose qui le dérangeait, il ne savait pas quoi exactement mais quelque chose n’allait pas sur ces cheminées. Il voulu en avoir le cœur net. Il se leva pris son imper et descendit prendre sa voiture. Il avait gardé les clés des deux demeures, il allait y faire un tour.
Il monta dans sa grosse traction noire qui était garée dans l’allée gravillonnée. Des éclairs tranchait le ciels tels un éclat dans une vitre. Les rues étaient désertes seules, 2 jeunes endimanchés courraient sous la pluie, cigarette à la bouche.
L’orage s’éloignait vers le Nord, laissant une pluie fine, quand Clay arriva devant la maison des Brian, la grande bâtisse noircie par le temps, se tenait là sombre, seul les lampadaire de la rue éclairait, ce qui fut pour les Brian, une dernière demeure.
« Vous ne me croyez pas, s’esclaffa t’elle, vous n’avez pas lu cet article jusqu’au bout ! »
Jack baissa les yeux et lut plus en profondeur son article, à la fin de celui-ci se trouvait un petit encadré ayant pour titre « A qui le tour ».
« A ce jour, aucun lien n’a été trouvé aux deux familles qui justifierait de telles abominations, cependant dans toute la bourgeoisie londonienne des questions ce posent sur qui sera la suivant, en effet, il s’avère d’après des fuites sur l’enquête que le ou les meurtrier ne s’arrêteront pas à ces 2 meurtres donc nous serions sur la piste de meurtre en série. Qui est la prochaine famille ? Nous ne pouvons que mettre en garde les plus riches de la ville notamment la famille McGuire ou encore les O’Connelly… »
Jack souriait de plus belle.
« Cela vous faire sourire ! Et bien moi aussi figurez vous »
-Et bien, votre famille à du souci à ce faire alors, commenta Jack, les journalistes sont bien imprudents, désigner des noms … manquerait plus que des déséquilibrés s’en mêlent.
Dehors le temps se gâtait, de gros nuages noirs s’amassait à l’horizon tandis que les deux comparses continuaient de parler gaiement sur leurs voyages respectifs aux Amériques.
Helen, était une figure importante du Hippisme Britannique et elle était allez voir un cheval dans les Hampton chez un éleveur de pur sang, qui aurait pu être sa future monture. Mais l’animal n’avait pas convaincue la jeune cavalière.
Clay Scott, enquêteur à Scotland Yard, fumait un cigare dans son bureau. Il était sceptique. Les photographies des deux familles se trouvaient devant lui, sur son bureau. A l’extérieur la nuit tombait à peine et un orage éclatait. Cela faisait déjà 4 heures qu’il étudiait les photographies, la position des corps, les blessures, la rose blanche. Il ne comprenait pas, tout liait ces deux crimes et rien ne permettait de distinguer les mobiles. Au loin, des cloches, Big Ben sonna 22 heures. Il prit sa loupe et entreprit d’étudier une dernière fois les photographies. Il commença par les deux maîtres de maison, tout deux avaient la même position. Devant l’escalier, le crane défoncé, face contre terre, le bras droit en avant et l’index tendu. Comme s’il désignait un endroit du salon. Clay chercha alors sa loupe et auscultât aussitôt l’image du salon de chacune des victimes. Les pièces se ressemblaient quasi parfaitement, comme toutes les maisons bourgeoises de l’ouest de Londres Le doigt désignait l’âtre de la cheminée. Une imposante cheminée de style XVIIIème. Le manteau en marbre ornementé de photos. Il regarda plus attentivement dans la cheminée, mais ne pu rien distingué de précis. Un tableau était suspendu il représentait une scène bucolique de chasse dans le salon des Smith, et dans celui des Brian une vieille grand mère défraichie. Sur le rebord des petits bibelots et des cadres photos. Hélas tous ceci était trop pour être distingués correctement et étudiés. Il y avait quelque chose qui le dérangeait, il ne savait pas quoi exactement mais quelque chose n’allait pas sur ces cheminées. Il voulu en avoir le cœur net. Il se leva pris son imper et descendit prendre sa voiture. Il avait gardé les clés des deux demeures, il allait y faire un tour.
Il monta dans sa grosse traction noire qui était garée dans l’allée gravillonnée. Des éclairs tranchait le ciels tels un éclat dans une vitre. Les rues étaient désertes seules, 2 jeunes endimanchés courraient sous la pluie, cigarette à la bouche.
L’orage s’éloignait vers le Nord, laissant une pluie fine, quand Clay arriva devant la maison des Brian, la grande bâtisse noircie par le temps, se tenait là sombre, seul les lampadaire de la rue éclairait, ce qui fut pour les Brian, une dernière demeure.
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