La_rose_blanche...
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 1
Publié le 19/08/13 à 01:13:35 par Pseudo supprimé
Les journaux ne parlaient plus que de ça. Ils relataient tous la même histoire terrible qu’avait connu une famille respectable de la bourgeoisie Londonienne. Le 24 Août 1952 au matin, la bonne d’une maison bourgeoise du quartier de Fulham, avait découvert avec effroi les corps sans vie des maîtres de maisons. Le mari, Tom Hills notable de son état se trouvait en bas de l’imposant escalier de marbre, le crane fracassé, baignant dans une mare de sang. Cheryl Hills se trouvait dans la salle de bain. Elle avait été éventrée, son utérus reposant dans le tapis. Les mains et la langue tranchée. Dame de société, elle était une figure des soirées mondaines, elle avait même était faite chevalier de la légion d’honneur. Durant la guerre, elle avait tenue et organiser la résistance dans un village de normandie. Le fils ainé, 20 ans, avait été égorgé dans son lit. Tous étaient en tenue de gala. Nona, la femme de maison se précipita dans la rue pour crier à l’aide et au meurtre. Les voisins et un policier en faction dans le quartier accoururent. La pauvre servante fit un malaise tant l’émotion était forte.
Elle fut emmenée par la police et interrogée comme suspecte et témoin principal. Lors de sa déposition, Nona expliqua que les Hills se préparaient la veille pour un gala de bienfaisance organisé au palais de Buckingham Palace par la nouvelle Reine. La maîtresse de maison, Cheryl Hill, l’avait congédiée pour la soirée la libérant ainsi de toute obligation vis à vis de ses maîtres.
Nona, expliqua ensuite qu’elle était rentrée chez elle, à 20 minutes de là, vers 18h40. Ensuite elle retourna le lendemain matin à 7H00 pour préparer le petit déjeuner et le linge. C’est là, qu’elle les a découverts. Morts.
Scotland Yard était sur les dents, le massacre de bourgeois Londoniens ne faisait pas une bonne publicité au Royaume et à la ville. Le règne de la jeune Elisabeth II, ne faisait déjà pas l’unanimité, ce genre de fait divers fâcheux pourrait mettre le feu aux poudres et créer une révolte contre la monarchie.
Les corps de la famille Hills avaient été autopsiés, aucunes marques de drogues, aucune trace de défense. Les coups avaient été précis et d’une extrême violence. D’autant plus, les supplices infligés aux cadavres, langue arrachée, mains coupées… devait avoir une symbolique spéciale pour le tueur. Aucune trace d’effraction n’avait été relevée dans l’hôtel particulier, et selon le jeune fils, qui était dans le manoir de ses grands parents dans le Suffolk, aucun objet n’était manquant. Le triple meurtre n’était donc pas un simple cambriolage qui avait mal tourné. Il fallait chercher en profondeur, s’intéresser au passé, aux amis, aux éventuels ennemis…
Le soucis, c’était que cette famille était à tout point parfaite, elle faisait la charité, elle avait créé une fondation pour les orphelins de la guerre, et le mari, puissant avocat à la court de Londres, était un fervent défenseur de tous les maux des hommes, qu’ils soient faibles ou forts.
La police scientifique n’avait rien trouvé, seule une rose blanche avait été posée sur le corps de Cheryl.
Nona, fut emprisonnée car elle est la seule personne qui avait les clefs de la maison…et qu’il fallait bien un coupable pour calmer les foules. Mais les évènements qui allaient suivre allaient jouer, malheureusement pour d’autres, en sa faveur pour sa libération. Et ce fut le vendeur de journaux qui l’annonça.
« DEMANDEZ LE GUARDIAN : UNE AUTRE FAMILLE DE BOURGEOIS ASSASSINEE A LONDRES !!!! DEMANDEZ LE GUARDIAN »
Elle fut emmenée par la police et interrogée comme suspecte et témoin principal. Lors de sa déposition, Nona expliqua que les Hills se préparaient la veille pour un gala de bienfaisance organisé au palais de Buckingham Palace par la nouvelle Reine. La maîtresse de maison, Cheryl Hill, l’avait congédiée pour la soirée la libérant ainsi de toute obligation vis à vis de ses maîtres.
Nona, expliqua ensuite qu’elle était rentrée chez elle, à 20 minutes de là, vers 18h40. Ensuite elle retourna le lendemain matin à 7H00 pour préparer le petit déjeuner et le linge. C’est là, qu’elle les a découverts. Morts.
Scotland Yard était sur les dents, le massacre de bourgeois Londoniens ne faisait pas une bonne publicité au Royaume et à la ville. Le règne de la jeune Elisabeth II, ne faisait déjà pas l’unanimité, ce genre de fait divers fâcheux pourrait mettre le feu aux poudres et créer une révolte contre la monarchie.
Les corps de la famille Hills avaient été autopsiés, aucunes marques de drogues, aucune trace de défense. Les coups avaient été précis et d’une extrême violence. D’autant plus, les supplices infligés aux cadavres, langue arrachée, mains coupées… devait avoir une symbolique spéciale pour le tueur. Aucune trace d’effraction n’avait été relevée dans l’hôtel particulier, et selon le jeune fils, qui était dans le manoir de ses grands parents dans le Suffolk, aucun objet n’était manquant. Le triple meurtre n’était donc pas un simple cambriolage qui avait mal tourné. Il fallait chercher en profondeur, s’intéresser au passé, aux amis, aux éventuels ennemis…
Le soucis, c’était que cette famille était à tout point parfaite, elle faisait la charité, elle avait créé une fondation pour les orphelins de la guerre, et le mari, puissant avocat à la court de Londres, était un fervent défenseur de tous les maux des hommes, qu’ils soient faibles ou forts.
La police scientifique n’avait rien trouvé, seule une rose blanche avait été posée sur le corps de Cheryl.
Nona, fut emprisonnée car elle est la seule personne qui avait les clefs de la maison…et qu’il fallait bien un coupable pour calmer les foules. Mais les évènements qui allaient suivre allaient jouer, malheureusement pour d’autres, en sa faveur pour sa libération. Et ce fut le vendeur de journaux qui l’annonça.
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