Les pedobears attaquent ma ville
Par : Kouppain
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 20
Publié le 05/04/09 à 17:16:12 par Kouppain
Information sur Ben
Âge : 17 ans
Cheveux : Roux, frisés
Yeux : Verts
Taille : 1,88m
Armes : Bouteilles de Vodka + Joint ayant l’effet d’un lance flamme
Rôle : Il y a toujours au moins un soulon dans chaque histoire
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 20
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Les pedobears venaient vers nous. À côté de moi, Simon se préparait à foncer dans le tas. Du moins c’est ce que je pensais, jusqu’à ce qu’il prenne une poignée de purée de pomme de terre en s’écriant « food fight! » puis il la lança au visage d’un pedobear. Hein!?
Les pedobears reversèrent les tables pour en faire des barricades, puis se mirent eux aussi à lancer de la nourriture dans notre direction. Ben et Jean-Michel se joignirent à cette guerre ma foi étrange en allant se cacher derrière le comptoir du buffet. Mais ça n’avait aucun sens! Nous étions supposés nous battre pour notre vie et les deux camps se lançaient de la nourriture. Au-dessus de moi volaient toutes sortes de pâtes, viandes, fruits, desserts chaises ( )et autres objets douteux.
Malgré que ça venait de me donner une idée. Je demandai aux autres de continuer de les occuper, pendant que je me faufilais dans leur dos. Ils étaient tellement absorbés par cette bataille qu’ils ne remarquaient pas que j’avais commencé à les assommer un par un avec ma fidèle poêle à frire, pour rester dans le contexte de la nourriture. Comme quoi l’intelligence ( ) pouvait l’emporter sur le nombre et la force. Mais l’un d’entre eux me repéra et alerta les autres. Merde, je suis tout seul de mon côté contre eux. Je n’allais tout de même pas me laisser avoir, je sortis mon shotgun pour les repousser, mais rien à faire, ils étaient trop nombreux. Lorsque je croyais me maitriser, je vis une bombonne de propane atterrir dans la foule, en assommant au moins deux ou trois. Puis j’entendis Jean-Michel me crier « Tire dessus ! ». Ce que je fis.
Je dis aux autres de profiter de l’affolement pour sortir par la porte arrière des cuisines. Je les rejoignis quelques secondes après, le temps de me frayer un chemin dans tout ce raffut. Il nous fallait maintenant sortir d’ici. S’échapper d’une prison, rien de plus facile voyons.
Nous avancions dans les couloirs, sans vraiment savoir où nous allions.
- On pourrait demander notre chemin, proposa Ben.
- À qui ? Lui répondis-je.
- À lui, dit-il en désignant un pedobear qui avançait nonchalamment dans notre direction.
- Mais c’est un ennemi, tu crois qu’il va nous le dire et nous laisser partir comme ça ?
- T’inquiète, j’ai un plan.
- J’ai hâte de voir ça.
Il s’avança vers le pedobear.
- Excusez-moi, pourriez vous m’indiquer la sortie ?
- Un intrus ! Je ne vous laisserez pas vous enfuir !
- Je vous laisse violer lui, répondit Ben en désignant Jean-Michel.
-Quoi !? S’exclama Jean-Michel.
- Ok C’est par là, vous tournez à gauche, puis à droite, puis vous descendez et il y une porte de service.
- Ok, allons-y.
- Mais je ne veux pas me faire violer !
- Un marché est un marché, voyons, si on ne respecte pas nos engagement, les gens ne nous ferons plus confiance.
Le pedobear avançait vers Jean-Michel et commençait à enlever son pantalon. Jean-Michel reculait, mais fut bien vite adossé au coin du mur.
*PAN*
Je voulais vérifier si j’avais encore des munitions alors j’ai tiré au plafond. Vous croyiez que j’allais sauver Jean-Michel, hein ? Et bien non. Mais ma balle avait touché une poutre qui tomba sur la tête du pedobear. Dommage, je voulais rire moi.
Nous empruntâmes le chemin qu’il nous avait indiqué, puis nous étions rendus dehors. Il faisait déjà nuit, ce qui veut dire que nous étions restés évanouis longtemps.
- Il nous faut rester subtils.
- OK ! Cria Simon de sa voix d’autiste retardé.
Une alarme retentit et des projecteurs s’allumèrent, cherchant la provenance du cri.
- Bravo, mon grand ! Bien Joué !
Une voix plus loin cria « Lâchez les chiens !»
- Courez ! Ordonnais-je aux autres.
Nous nous dirigions vers les clôtures barbelées. L’un des projecteurs nous avait repérés, alors ils s’étaient tous braqués sur nous. Nous avions rejoins la grille, mais les molosses et quelques pedobears nous avaient rattrapés.
- Oh ! Les beaux chiens !
- Taggle Sim. Essaie de nous ouvrir le passage.
- Ok dit-il en se mettant à creuser.
Ben prit un de ses joints pour s’en servir comme lance-flamme, ce qui eut pour effet d’apeurer les chiens. Pendant ce temps, Simon avait creusé un trou de la taille d’un américain (Ah, ok ). Jean-Michel passa le premier suivi de Simon, moi et Ben. Mais au passage, une bouteille de vodka tomba de son sac.
- Non !
- Laisse-la, c’est trop dangereux d’y retourner.
- Sache que je t’aimerai toujours.
Puis nous sortîmes de ce trou. Je vis que les chiens tentaient de faire de même, mais lorsqu’ils croisèrent la bouteille de vodka, ils s’arrêtèrent, puis se mirent à la renifler et l’un d’entre eux en ouvra le bouchon. Ils étaient ivres morts au bout d’environ 30 secondes. (Chaud les noobs, ils ne tiennent même pas l’alcool. )
De notre côté, nous nous étions précipités dans la forêt qui se trouvait près de la prison pour semer les éventuels pedobears qui nous prendraient en chasse. Je regardais derrière moi et je voyais qu’ils avaient commencé à déployer des unités de recherche. La nuit était loin d’être terminée.
- Tu crois qu’ils vont nous retrouver ? me demanda Ben.
- J’ai peut-être une petite idée pour nous en débarrasser, mais j’ai besoin de préparation.
- Quoi donc ?
- On va poser des pièges et se la jouer à la Rambo 1. Parce que tous les autres sont nuls.
To be continued…
Âge : 17 ans
Cheveux : Roux, frisés
Yeux : Verts
Taille : 1,88m
Armes : Bouteilles de Vodka + Joint ayant l’effet d’un lance flamme
Rôle : Il y a toujours au moins un soulon dans chaque histoire
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 20
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Les pedobears venaient vers nous. À côté de moi, Simon se préparait à foncer dans le tas. Du moins c’est ce que je pensais, jusqu’à ce qu’il prenne une poignée de purée de pomme de terre en s’écriant « food fight! » puis il la lança au visage d’un pedobear. Hein!?
Les pedobears reversèrent les tables pour en faire des barricades, puis se mirent eux aussi à lancer de la nourriture dans notre direction. Ben et Jean-Michel se joignirent à cette guerre ma foi étrange en allant se cacher derrière le comptoir du buffet. Mais ça n’avait aucun sens! Nous étions supposés nous battre pour notre vie et les deux camps se lançaient de la nourriture. Au-dessus de moi volaient toutes sortes de pâtes, viandes, fruits, desserts chaises ( )et autres objets douteux.
Malgré que ça venait de me donner une idée. Je demandai aux autres de continuer de les occuper, pendant que je me faufilais dans leur dos. Ils étaient tellement absorbés par cette bataille qu’ils ne remarquaient pas que j’avais commencé à les assommer un par un avec ma fidèle poêle à frire, pour rester dans le contexte de la nourriture. Comme quoi l’intelligence ( ) pouvait l’emporter sur le nombre et la force. Mais l’un d’entre eux me repéra et alerta les autres. Merde, je suis tout seul de mon côté contre eux. Je n’allais tout de même pas me laisser avoir, je sortis mon shotgun pour les repousser, mais rien à faire, ils étaient trop nombreux. Lorsque je croyais me maitriser, je vis une bombonne de propane atterrir dans la foule, en assommant au moins deux ou trois. Puis j’entendis Jean-Michel me crier « Tire dessus ! ». Ce que je fis.
Je dis aux autres de profiter de l’affolement pour sortir par la porte arrière des cuisines. Je les rejoignis quelques secondes après, le temps de me frayer un chemin dans tout ce raffut. Il nous fallait maintenant sortir d’ici. S’échapper d’une prison, rien de plus facile voyons.
Nous avancions dans les couloirs, sans vraiment savoir où nous allions.
- On pourrait demander notre chemin, proposa Ben.
- À qui ? Lui répondis-je.
- À lui, dit-il en désignant un pedobear qui avançait nonchalamment dans notre direction.
- Mais c’est un ennemi, tu crois qu’il va nous le dire et nous laisser partir comme ça ?
- T’inquiète, j’ai un plan.
- J’ai hâte de voir ça.
Il s’avança vers le pedobear.
- Excusez-moi, pourriez vous m’indiquer la sortie ?
- Un intrus ! Je ne vous laisserez pas vous enfuir !
- Je vous laisse violer lui, répondit Ben en désignant Jean-Michel.
-Quoi !? S’exclama Jean-Michel.
- Ok C’est par là, vous tournez à gauche, puis à droite, puis vous descendez et il y une porte de service.
- Ok, allons-y.
- Mais je ne veux pas me faire violer !
- Un marché est un marché, voyons, si on ne respecte pas nos engagement, les gens ne nous ferons plus confiance.
Le pedobear avançait vers Jean-Michel et commençait à enlever son pantalon. Jean-Michel reculait, mais fut bien vite adossé au coin du mur.
*PAN*
Je voulais vérifier si j’avais encore des munitions alors j’ai tiré au plafond. Vous croyiez que j’allais sauver Jean-Michel, hein ? Et bien non. Mais ma balle avait touché une poutre qui tomba sur la tête du pedobear. Dommage, je voulais rire moi.
Nous empruntâmes le chemin qu’il nous avait indiqué, puis nous étions rendus dehors. Il faisait déjà nuit, ce qui veut dire que nous étions restés évanouis longtemps.
- Il nous faut rester subtils.
- OK ! Cria Simon de sa voix d’autiste retardé.
Une alarme retentit et des projecteurs s’allumèrent, cherchant la provenance du cri.
- Bravo, mon grand ! Bien Joué !
Une voix plus loin cria « Lâchez les chiens !»
- Courez ! Ordonnais-je aux autres.
Nous nous dirigions vers les clôtures barbelées. L’un des projecteurs nous avait repérés, alors ils s’étaient tous braqués sur nous. Nous avions rejoins la grille, mais les molosses et quelques pedobears nous avaient rattrapés.
- Oh ! Les beaux chiens !
- Taggle Sim. Essaie de nous ouvrir le passage.
- Ok dit-il en se mettant à creuser.
Ben prit un de ses joints pour s’en servir comme lance-flamme, ce qui eut pour effet d’apeurer les chiens. Pendant ce temps, Simon avait creusé un trou de la taille d’un américain (Ah, ok ). Jean-Michel passa le premier suivi de Simon, moi et Ben. Mais au passage, une bouteille de vodka tomba de son sac.
- Non !
- Laisse-la, c’est trop dangereux d’y retourner.
- Sache que je t’aimerai toujours.
Puis nous sortîmes de ce trou. Je vis que les chiens tentaient de faire de même, mais lorsqu’ils croisèrent la bouteille de vodka, ils s’arrêtèrent, puis se mirent à la renifler et l’un d’entre eux en ouvra le bouchon. Ils étaient ivres morts au bout d’environ 30 secondes. (Chaud les noobs, ils ne tiennent même pas l’alcool. )
De notre côté, nous nous étions précipités dans la forêt qui se trouvait près de la prison pour semer les éventuels pedobears qui nous prendraient en chasse. Je regardais derrière moi et je voyais qu’ils avaient commencé à déployer des unités de recherche. La nuit était loin d’être terminée.
- Tu crois qu’ils vont nous retrouver ? me demanda Ben.
- J’ai peut-être une petite idée pour nous en débarrasser, mais j’ai besoin de préparation.
- Quoi donc ?
- On va poser des pièges et se la jouer à la Rambo 1. Parce que tous les autres sont nuls.
To be continued…
01/05/09 à 17:32:25
Pouvez vous arrêter de changer de pseudo, je sais plus qui est qui
Je m'excuse, mais je ne me ferai point violer. S'il en faut un, ce sera Ben ( Pllzzz )
10/04/09 à 01:01:24
Tous les personnages sont de vrai personne Alors ça serait drôle qu'il se fasse violer.
(simon va faire comme bagman):yeah:
08/04/09 à 16:15:50
Attends autiste
08/04/09 à 05:22:34
Je suis même pas dans le Chapitre
Sweeet
05/04/09 à 20:43:33
OWIIIIIIIIIII !!!!!
Rambo 1
Sweet viteeee
05/04/09 à 19:30:47
Prem's Sweet Faites en sorte que J-M se fase vraiment violer
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