Les pedobears attaquent ma ville
Par : Kouppain
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 13
Publié le 08/02/09 à 20:04:15 par Kouppain
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 13
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Les pedobears que nous avions laissé dans le sous-sol quelques heures plutôt gisaient dans une marre de sang. Nous regardions cette scène en n’osant pas bouger, au cas où la cause de ce carnage se trouverait encore ici. En effet, la tête de tous les pedobears avait explosé.
- Je le savais! s’écria Simon.
- Comment ça, tu le savais? Lui demandais-je.
- En effet, le pedobears exposés au Rick Roll pendant plus de deux heures voient des pustules se former sur leur visage et puis leur tête commence à gonfler, puis finit par exploser.
- Et où est-ce que tu as su ça?
- Wikipedia
- Ok.
- Bon et bien, il faut fêter notre victoire, nous dit Ben. Tenez cadeau dit-il en nous tendant un sac remplit de petits champignons mignons ayant l’air inoffensif.
- Oh, c’est beau
Puis j’enfonçai ma main dans le sac, pour m’en prendre une poignée que je mit dans ma bouche d’un coup.
- T’aurais pas dût en prendre autant du coup, connard.
- Pourquoi, c’est mauvais pour moi ?
- Non, c’est que ça m’a couté cher
Puis il prît lui aussi sa part. Simon sauta sur le sac et avala tout ce qui en restait, y comprit le sac.
*40 minutes plus tard, le temps que les hallucinations commencent*
- Et c’est là que je suis arrivé en France, nous expliqua Ben.
- Gwaah! Trop malade! Mais euh, pourquoi t’as juste raconté la fin de ton voyage?
- Quel voyage (
- Allons les enfants, calmez-vous. J’observe présentement que l’effet de la drogue sur votre personne n’est pas très adéquate.
Simon parlait d’une manière normale. C’est sûrement la première fois que je l’entendait parler de cette manière, puisqu’il était passé de racaille à no-life hyperactif.
- C’est pas bon la drogue pour toi, Sim, lui dis-je. T’as vu l’effet que ça te fait ? Alors descends de ta licorne qu’on règle ça.
- Bon attendez, attendez ! Je me souviens de ce qui s’est passé avant que j’arrive en France ! Je vais vous le raconter.
« Je vivais dans un petit quartier pauvre de Québec. Mes parents étaient en manque d’argent pour leur bière et ma mère était rendu trop ¨slack¨ pour se prostituer. »
- Slack ?
- Je n’aime mieux pas expliquer Bon je continue :
« Comme je restais toujours à la maison à jouer à Dead Space, mon père décida un jour de me dire :
-Rends toi utile pour une fois, et trouve nous de l’argent !
Je décidai donc de vendre ma KikooLol de sœur. Je réussis à trouver un acheteur au bout de quelques minutes. Je voyais ma sœur pour la dernière fois pendant qu’elle embarquait dans la camionnette de ce barbu à l’habit léopard. J’était tout content de ramener de l’argent à mes parents lorsque je suis passé devant un magasin appelé EBGames. J’avais en tout 250$. Je m’en suis donné à cœur joie. J’en ressortait avec une Nintendo DS et le jeu Trauma Center et il me restait 50$ De retour chez moi, mon père me demanda si j’avais fait de l’argent.
- Ah, ouais, c’est vrai, l’argent… T’as vu papa, j’ai une nouvelle DS.
Cinq minutes plus tard, j’étais chassé de chez moi avec ma DS et mes cinquante dollars. Les seuls amis que j’avais étaient les noelistes du 15-18, alors je me décidai d’aller en France. Je prit donc la direction de l’aéroport Pierre-Elliott Trudeau. Une fois sur le stationnement, un wesh à l’allure bizarre était venu me voir en disant (vous ne comprendrez rien, Wesh québécois m’voyez ) :
- Tu veu tu fumé un gro batt juteu, men ?
- Calme-toi, je ne suis pas gay
- C de sa ke jparle, m’avait-il dit en me montrant un joint.
- Mouais, donne
Mais il m’avait empêché de le prendre.
- Fo ktu paye.
- Ok, comment tu me donne pour 50$ ?
- 1 gram.
- C’est cher
- Mé c dla bone.
- Ok, je le prends.
Je pris le joint. Je laissai sa douce fumée s’infiltrer dans mes poumons. Et c’est ainsi que des anges avec des yeux de vache m’avait attrapés pour m’apporter au paradis de la drogue. Mais j’en voulais plus, plus ! J’enfonçai mon joint dans l’œil du vendeur puis lui prit tout son stock, ainsi que mon précieux billet rouge (Ouais, les billets de 50$ sont rouges au Canada. ) Et ensuite je rentrai dans l’aéroport, enjambai la barrière de sécurité et me rendis à l’embarcadère du vol pour la France.
Dans l’avion, j’eus la brillante idée de m’allumer un joint. Il y eût au moins une vingtaine de personnes armées jusqu’au dents ainsi qu’un gorille albinos qui me sautèrent dessus pour m’enfermer dans la soute à bagage, ne me laissant que ma précieuse DS. À l’arrivée, je fût intercepté par la police, qui voulait m’amener au poste, mais heureusement, ça ne s’est pas passé comme prévu pour le policier et c’est là que je vous ai rencontré. Fin de mon histoire. »
- Et t’as réussi à raconter tout ça sous l’effet de la drogue ?
- … Ouais, ça me rend lucide des fois. De quoi on parlait déjà ?
- Je sais pas.
- Les enfants, vous me faites honte
To be continued…
Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 13
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Les pedobears que nous avions laissé dans le sous-sol quelques heures plutôt gisaient dans une marre de sang. Nous regardions cette scène en n’osant pas bouger, au cas où la cause de ce carnage se trouverait encore ici. En effet, la tête de tous les pedobears avait explosé.
- Je le savais! s’écria Simon.
- Comment ça, tu le savais? Lui demandais-je.
- En effet, le pedobears exposés au Rick Roll pendant plus de deux heures voient des pustules se former sur leur visage et puis leur tête commence à gonfler, puis finit par exploser.
- Et où est-ce que tu as su ça?
- Wikipedia
- Ok.
- Bon et bien, il faut fêter notre victoire, nous dit Ben. Tenez cadeau dit-il en nous tendant un sac remplit de petits champignons mignons ayant l’air inoffensif.
- Oh, c’est beau
Puis j’enfonçai ma main dans le sac, pour m’en prendre une poignée que je mit dans ma bouche d’un coup.
- T’aurais pas dût en prendre autant du coup, connard.
- Pourquoi, c’est mauvais pour moi ?
- Non, c’est que ça m’a couté cher
Puis il prît lui aussi sa part. Simon sauta sur le sac et avala tout ce qui en restait, y comprit le sac.
*40 minutes plus tard, le temps que les hallucinations commencent*
- Et c’est là que je suis arrivé en France, nous expliqua Ben.
- Gwaah! Trop malade! Mais euh, pourquoi t’as juste raconté la fin de ton voyage?
- Quel voyage (
- Allons les enfants, calmez-vous. J’observe présentement que l’effet de la drogue sur votre personne n’est pas très adéquate.
Simon parlait d’une manière normale. C’est sûrement la première fois que je l’entendait parler de cette manière, puisqu’il était passé de racaille à no-life hyperactif.
- C’est pas bon la drogue pour toi, Sim, lui dis-je. T’as vu l’effet que ça te fait ? Alors descends de ta licorne qu’on règle ça.
- Bon attendez, attendez ! Je me souviens de ce qui s’est passé avant que j’arrive en France ! Je vais vous le raconter.
« Je vivais dans un petit quartier pauvre de Québec. Mes parents étaient en manque d’argent pour leur bière et ma mère était rendu trop ¨slack¨ pour se prostituer. »
- Slack ?
- Je n’aime mieux pas expliquer Bon je continue :
« Comme je restais toujours à la maison à jouer à Dead Space, mon père décida un jour de me dire :
-Rends toi utile pour une fois, et trouve nous de l’argent !
Je décidai donc de vendre ma KikooLol de sœur. Je réussis à trouver un acheteur au bout de quelques minutes. Je voyais ma sœur pour la dernière fois pendant qu’elle embarquait dans la camionnette de ce barbu à l’habit léopard. J’était tout content de ramener de l’argent à mes parents lorsque je suis passé devant un magasin appelé EBGames. J’avais en tout 250$. Je m’en suis donné à cœur joie. J’en ressortait avec une Nintendo DS et le jeu Trauma Center et il me restait 50$ De retour chez moi, mon père me demanda si j’avais fait de l’argent.
- Ah, ouais, c’est vrai, l’argent… T’as vu papa, j’ai une nouvelle DS.
Cinq minutes plus tard, j’étais chassé de chez moi avec ma DS et mes cinquante dollars. Les seuls amis que j’avais étaient les noelistes du 15-18, alors je me décidai d’aller en France. Je prit donc la direction de l’aéroport Pierre-Elliott Trudeau. Une fois sur le stationnement, un wesh à l’allure bizarre était venu me voir en disant (vous ne comprendrez rien, Wesh québécois m’voyez ) :
- Tu veu tu fumé un gro batt juteu, men ?
- Calme-toi, je ne suis pas gay
- C de sa ke jparle, m’avait-il dit en me montrant un joint.
- Mouais, donne
Mais il m’avait empêché de le prendre.
- Fo ktu paye.
- Ok, comment tu me donne pour 50$ ?
- 1 gram.
- C’est cher
- Mé c dla bone.
- Ok, je le prends.
Je pris le joint. Je laissai sa douce fumée s’infiltrer dans mes poumons. Et c’est ainsi que des anges avec des yeux de vache m’avait attrapés pour m’apporter au paradis de la drogue. Mais j’en voulais plus, plus ! J’enfonçai mon joint dans l’œil du vendeur puis lui prit tout son stock, ainsi que mon précieux billet rouge (Ouais, les billets de 50$ sont rouges au Canada. ) Et ensuite je rentrai dans l’aéroport, enjambai la barrière de sécurité et me rendis à l’embarcadère du vol pour la France.
Dans l’avion, j’eus la brillante idée de m’allumer un joint. Il y eût au moins une vingtaine de personnes armées jusqu’au dents ainsi qu’un gorille albinos qui me sautèrent dessus pour m’enfermer dans la soute à bagage, ne me laissant que ma précieuse DS. À l’arrivée, je fût intercepté par la police, qui voulait m’amener au poste, mais heureusement, ça ne s’est pas passé comme prévu pour le policier et c’est là que je vous ai rencontré. Fin de mon histoire. »
- Et t’as réussi à raconter tout ça sous l’effet de la drogue ?
- … Ouais, ça me rend lucide des fois. De quoi on parlait déjà ?
- Je sais pas.
- Les enfants, vous me faites honte
To be continued…
10/02/09 à 00:48:07
Plus vite la suite connard! (
Au moins 17.3 par semaine
09/02/09 à 12:08:55
Euh...Sweet ?
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